III-2

2039 Words

Dans le détestable patois du jour, nous étions, mon confrère et moi, ce qu’on appelle « but à but, » et il ne nous restait plus qu’à demander les instructions de nos clients. Or mon client, dans l’état actuel des choses, – miss Fairlie n’ayant point complété sa vingt et unième année, – était son tuteur, M. Frederick Fairlie. Je lui écrivis par le courrier du jour même, mettant sous ses yeux la difficulté comme elle était ; et non seulement j’insistais sur tous les arguments auxquels je pus penser, afin de l’exciter à maintenir la clause telle que je l’avais rédigée, mais je lui exposais nettement les motifs mercenaires, qui, au fond, dictaient l’opposition faite à mes combinaisons, relativement aux vingt mille livres. Un examen approfondi des affaires de sir Percival, auquel j’avais dû me

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