De sa grande main droite, il me caressait les cheveux. Je pouvais ressentir le souffle de ses émotions me glisser sur la face. Puis, il me demanda "Tu as aimé?" D'une voix si modulée. Et des larmes éclaboussèrent le plaisir qui gelait dans mes yeux. "Pourquoi me fais tu ressentir tout cela pour me traiter différemment après ?" Demandais je en retour. Et ne trouvant aucune excuse, il essaya plutôt de diminuer la douleur d'une blessure qu'il ne pouvait peut être plus guérir "Demandes moi tout ce que tu veux. Pour te prouver que je tiens à toi, je te le donnerais." Déclarait il avant d'ajouter "temps que tu es près de moi, je n'agirais plus comme un fou." Je relevais alors la tête, remarquant que nos lèvres se faisaient maintenant face "Tu as détruit ma mère juste parce que tu voulais me