LE POINT DE d’Alejandro
Je pouvais sentir le poids de cette situation sur mes épaules. Chaque seconde me semblait plus lourde que la précédente. La tension dans l’air était palpable, et je voyais bien qu’Aurélia était totalement terrifiée, sa respiration saccadée et ses yeux grands ouverts, cherchant une issue à ce qu’elle vivait. J’avais mal pour elle. J’avais mal de la voir dans cette position, d’avoir été celui qui l’avait emmenée ici, d’avoir été celui qui l’avait exposée à ça.
J’avais sous-estimé l’impact de cette scène sur elle. La réalité me frappait de plein fouet alors que je la regardais, debout là, les mains tremblantes, les larmes qui ne cessaient de couler. Mais il était trop tard maintenant. Une fois qu’Aurélia avait vu ce qu’il fallait, elle n’aurait plus l’innocence de l’
