Chapitre 218 : Julian sentit son cœur se serrer en voyant Astrid disparaître dans la rue, ses traits déformés par la colère et les larmes qui coulaient librement. Sans réfléchir aux regards de ses collaborateurs, il se précipita à sa suite, l’appelant par son prénom, mais elle ne ralentit pas. Elle se dirigeait droit vers sa voiture, les mains tremblantes, essuyant rageusement ses larmes, chaque mouvement trahissant un mélange de douleur et de trahison. Julian arriva à sa hauteur et saisit son bras pour la retenir. — Astrid, attends… où vas-tu ? demanda-t-il d’une voix à la fois suppliante et pressante. Elle le repoussa vivement, libérant son bras, et tenta d’ouvrir la portière de la voiture. Mais Julian l’empêcha de s’échapper, la bloquant avec fermeté. — Parle-moi, implora-t-il

