Chapitre 161 Les traits de Stephan se crispèrent, la stupeur peignant son visage d’une incrédulité flagrante. Il fixa Julian, incapable de masquer la rage qui bouillonnait sous sa peau. — Tu n’es pas sérieux, Julian… murmura-t-il, sa voix tremblante à la fois de colère et d’étonnement. C’est une blague ? Julian, lui, conservait un calme inquiétant, la faiblesse physique qui l’entravait contrastant avec la fermeté de ses mots. — Une blague ? répéta-t-il, son rire rauque glissant comme un avertissement. — Ce qui existe entre nous… c’est fini, Stephan. Notre amitié s’arrête ici. Astrid restait immobile, balancée entre incompréhension et choc, ses yeux courant entre les deux hommes. — Julian… qu’est-ce que tu es en train de faire ? sa voix tremblait, hésitante. Stephan, le visa

