Parallèle entre l’homme et l’animalL’homme s’estime assez généralementPour cette lumière qu’il a de la raison,Et moi justement pour cela, en vrai coïon,À dire vrai, je ne l’estime pas du tout.Je prise infiniment davantage les bêtesQui, si elles n’ont pas tant de connaissance,N’ont pas non plus de si violentes passionsEt vivent bien plus tranquillement que nous.Pour une seule chose je ne voudraisÊtre un animal, mais pour tant d’autresAvantages qu’ils ont, je me troquerais ;Cette chose, c’est que, tous tant qu’ils sont,Hors de la saison jamais ne feraient l’amour,Et qu’ils ne savent comment le mettre par devant.

