« C’est en plein succès et à l’apogée de sa gloire et de sa prospérité que Lionel de Vermont disparut. « Sans tambour ni trompettes. Un jour, l’huissier qui veillait aux barrières de son Louvre, ne le vit point arriver à dix heures sonnantes, comme il en avait invariablement coutume. Le jour même, William W. Lorris reçut une lettre de son associé, l’informant que Lionel se rendait en Europe pour quelque temps, qu’il ne fallait pas s’attendre à recevoir de ses nouvelles et que l’on ne s’inquiétât d’aucune manière. Il reviendrait en temps voulu. « Une année, deux années s’écoulèrent. Confiant dans la parole de son ami, William W. Lorris administra l’office du mieux qu’il put et sa gestion fut heureuse. Il ne cessa jamais d’espérer le retour de Lionel, prêt à lui exposer, le jour où l’on tu

