Un nouveau départ

4648 Words
Yaël, ne nous complique pas les choses, déjà que ce qui s’est passé ne pas honorant ni pour toi ni pour moi Et moi, je me fiche d’honneur, tout ce que je veux, c’est mon enfant qui n’est autre que la seule chose que je pourrai avoir de toi, la seule et unique Et mon mariage ? et les yeux des gens mais par-dessus tout, comment pourrai je regarder mon mari, avec cette trahison personnifiée ? ne penses-tu qu’à toi ? ah, j’avais oublié, c’est Yaël, celui qui ne pense qu’à lui-même, et jamais aux autres Arrête ça Jayden tu sais que tu as toujours été le motif de mes actions, mais ce que tu me demande aujourd’hui n’est facile pour aucun homme, tu le sais bien. Pitié, regarde un peu à mon foyer, mon bonheur, ma famille, ma dignité, ça ne te dit rien tout ça ? Toi aussi, pense à moi, je t’en supplie Laisse-moi réfléchir Cette discussion avait déclenché une guerre ouverte entre Yaël et moi. La journée au boulot n’était plus facile et je ne pouvais plus sentir Yaël, il m’énervait jusqu’ au dernier degré. J’ai alors décidé de démissionner et de rentrer pour être avec mon mari. Une décision que Yaël n’avait pas du tout approuvée. Donc tu penses qu’en allant vivre avec ton mari, en quittant le boulot et ce pays même, tu pourras me faire oublier mon enfant et facilement le donner à ton mari ? tu te trompes Je n’en ai nullement l’intention, cet enfant est la punition divine pour moi afin d’être un bon exemple et une bonne leçon pour toutes ces femmes qui veulent ou qui trompent actuellement leurs maris avec un idiot comme toi Oui, tu peux me traiter de tout ce que tu veux, mais je ne donnerai pas mon enfant à un autre, un autre homme n’éduquera jamais mon enfant, c’est tout D’accord, tu as raison car c’est moi qui ai trahi mon mari, et ce regret, je vivrai avec toute ma vie, tu peux me croire. Ce n’est pas que je veux te faire du mal, mais je veux juste mon enfant, Jayden, est-ce trop demander Si tu m’aimais comme tu le dis actuellement, tu allais vraiment sauver mon honneur, mais je vois que les cieux ne veulent même pas laver mon affront Je voyais grandir cet enfant en moi, et je me sentais de plus en plus coupable. Le temps passait et mon habibi prenais soin de moi-même en distance, il me protégeait de toutes ses forces, comme si c’était son enfant, son propre sang. . . et il demeurait le même Ethan que j’avais épousé. J’avoue que souvent je me demandais comment il faisait pour encaisser tant de douleur et toujours demeurer calme. Comme faisait pour toujours pardonner avec tant de félicitant et d’aller de l’avant avec une telle aisance. Chéri, je voudrai te poser une question Vas-y, toi et tes questions bizarres Sérieusement, dis-moi comment fais-tu pour pardonner avec tant d’aisance et de toujours vouloir le bien de tous Je prie pour ça, chaque jour pour ça J’ai vraiment de la chance de t’avoir comme mari Et moi, je suis le plus chanceux, j’ai la plus merveilleuse des femmes Merveilleuse ? la femme qui te trompe, qui n’a pas su te de donner une descendance Même la fleur la plus belle peut avoir des épines, mais cela n’empêche sa beauté Hum. . . t’es un ange Chaque jour qui passait me faisait encore réaliser mon erreur. Quant à Yaël, il maintenait sa position. Et moi, je maintenant aussi la mienne, c’était soit l’enfant prenait le nom de mon mari. Alors il s’était arrangé de faire quelque chose dont aucun d’entre nous n’avait pensé. Chez nous, il y’ a un adage qui dit : un chien ne n’abandonne son ancienne manière de s’asseoir juste par ce qu’il est venu rendre visite dans sa belle-famille. Yaël avait encore un plan en réserve juste par pure jalousie, c’est à dire, ne pas voir son enfant avec mon mari. Alors il est passé par ma femme de ménage pour me faire manger quelque chose dont jusque là nous ignorons tous le nom. Je n’oublierai jamais ce jour, oui un autre jour rempli de tristesse. Je me suis vue tordre de douleur à cause d’une douleur atroce que j’avais subitement eu au bas ventre. Je ne me suis pas vite rendue compte de l’effet que cela avait sur mon enfant. Nafi, aide-moi s’il te plait Madame, vous avez quoi ? Aucune idée, j’ai vraiment mal au bas ventre C’est peut-être dû à la grossesse, essayer de supporter J’ai supporté pendant environ une heure de temps, mais ça ne se calmait pas. Nafi, apporte-moi le téléphone, c’est dans ma chambre, à côté du lit J’arrive tout de suite Nafi, je saigne là, c’est mon bébé ? Calmez vous madame, ça va aller, voilà votre téléphone Appelle vite le chauffeur Le chauffeur est venu, mais j’avais déjà perdu assez de sang. On se dirigea directement à l’hôpital. Cette douleur était sans pareille, insupportable et tout ce qui va avec. Docteur, mon bébé, comment va mon bébé ? Calmez-vous d’abord, ça va aller Non, dites-moi comment va mon bébé Désolée, le poison était vraiment fort Le poison était fort ? Que veut dire ça ? Quel poison ? Oui, les analyses ont révélé l’existence des traces de poison dans votre organisme et votre enfant n’a pas survécu Docteur vous avez bien dit poison ? comment ai-je pu avoir ça dans l’organisme ? Où avez-vous mangé aujourd’hui ? Seulement à la maison et c’est. . . J’avais déjà compris, ce qui se passait. Nafi m’avait empoisonné, mais pourquoi ? Que lui avais je fais. J’étais perdue encore, d’un côté, je venais encore de perdre un enfant, d’un autre, on venait de Mme faire un coup dans ma propre maison. Ce qui veut dire que même ma propre vie était en danger. J’étais pressée de rentrer à la maison pour avoir une explication à tout cela. Chéri, je viens de l’hôpital. . . L’hôpital ? comment vas-tu ? et le bébé ? qu’est ce qui ne va pas ? Moi, je vais bien, mais le bébé n’a pas survécu Le bébé n’pas survécu ? comment ça ? survécu à quoi ? J’ai été victime d’un empoisonnement et voilà Un empoisonnement, de qui ? Nafi, ma femme de ménage, mais le fait est que je me demande pour quoi D’accord, elle est là ? Oui, elle est dans sa chambre Appelle là et pose-lui des questions ensuite amené lui directement en prison D’accord, mais je voudrai te dire que je suis vraiment désolée de perdre encore un autre enfant Non, tout ce qui doit arriver arrivera, on n’y peut rien Alors, je me suis reprise et je voulais juste lui donner une bonne leçon. Nafi, viens ici. . . Madame, comment allez-vous, le docteur as dit quoi ?? Tu vas bientôt le savoir, prépare-toi, on s’en va au commissariat Commissariat ? comment ça ? Tu ne sais pas ce que veut dire commissariat ? c’est à la police Mais pour quoi, que se passe t- il madame ? Tu vas aller leur expliquer pourquoi tu as mis du poison dans ma nourriture ? Ce n’est pas moi madame, je vous le jure Ne t’inquiète pas, tu vas expliquer tout ça à la police, allez, on s’en va Madame, attendez, je vais vous l’expliquer, lui, je vais tout vous expliquer D’accord, je te donne une chance, je t’écoute et crois-moi, tu n’as pas intérêt de me mentir C’est monsieur Yaël qui est venu me donner une poudre en sachez avec une somme de 200000f pour que je ne vous dise rien D’accord, je vais juste te poser quelque question, et je te prie de me répondre D’accord, madame (elle tremblait comme ça en parlant, je pouvais sentir de la peur dans ses paroles, ses actes. Elle regrettait aussi ce qu’elle avait fait, mais c’était déjà trop tard) Ne t’ai-je pas toujours bien traité, soigné quand tu tombes malade, être sociable avec tout et tout ? Oui madame N’ai-je pas été à ton écoute ? sensible à tes requetés ? Oui, madame Mais pourquoi tu m’as fait ça ? la poudre que tu m’as donnée a tué mon enfant, Nafi, tu as tué mon enfant Madame, je ne savais pas, il n’a rien voulu me dire Je pouvais aussi voir du regret dans ses yeux, et ensuite, elle s’est mise à genoux pour me supplier. Je ne pouvais rien contre elle et après tout, le vrai responsable était Yaël, le démon en personne. J’appelle mon mari pour lui dire ce qui c’était vraiment passé et il n’était pas étonné de ça venant de Yaël. Chérie, tu veux que je te dise pour de vrai ? Yaël pourra te faire pire que tout ça, je te conseille de rentrer le plus vite que possible. Tu as raison, j’ai déjà soumis ma démission, mais on me demande de faire trois mois pour conclure des choses pour le projet, c’était une demande, mais j’ai déjà accepté. Je vois, mais il ne te reste que deux moi pour cela, n’est-ce pas ? Oui, mon habibi Rentre juste après ça, je t’en supplie D’accord, je t’aime. . . Je devais rentrer dans deux mois auprès de mon mari. Loin de tout cela, vivre mon mariage reconstituer mon foyer. Oui, ce foyer que moi-même j’avais détruit en donnant l’occasion à Yaël de de se mettre dedans. Je regrette mon acte jusqu’ à ce jour, mais heureusement que mon habibi avait eu cette force au fin fon de lui-même, cette force que seul l’amour pouvait donner. Quand on me demandait de décrire mon habit en une seul phrase, je dirai juste que : Ethan est amour. L’amour est patient, Ethan est patient ; l’amour n’est pas orgueilleux, Ethan n’avait pas orgueilleux ; l’amour ne souhaitait pas le malheur à l’autre, Ethan ne pouvait pas me souhaitait du mal. Je ne me lasserai jamais de remercier le Seigneur de m’avoir donné un mari aussi magnifique et merveilleux comme Ethan. Quant à la voix, elle était de retour car ce qui était sale dans ma vie n’était plus là. Je suis désolée de t’avoir offensé de la sorte Je voulais juste que tu apprennes aussi de tes erreurs, ce qui te servira encore plus. J’ai vraiment compris, je me suis vraiment fais du mal à ton absence Mais tout cela t’a servi de leçon non ? Oui, mais je te prie de ne pus me faire ça. Si je m’égare corrige moi, mais pitié ne m’adonne plus comme ça. Ma vie est juste perdue sans valeur sans toi Mais, ton mari est là pour te soutenir aussi, fais lui confiance, je suis avec lui. . . J’avais ressenti ce qui me manquait tant. La présence de la voix. Elle était comme cette petite lumière dans un tunnel rempli d’obscurité. Elle me guidait sr les chemins les plus difficiles. Entre temps, Yaël était dans son monde. Il ne faisait plus signe. Pourquoi ? je ne savais pas, était par ce qu’il avait honte ? Était-ce par ce qu’il était rongé par cette culpabilité de tuer son propre enfant juste. Le temps passait et les jours aussi quand un soir je me suis vu bayer par son appelle. Allo, Jayden comment vas-tu Je vais bien et toi Yaël ? Moi je ne vais pas bien, je me sens vraiment tes maux Ah, ça va aller, c’est la vie rien est éternel (je me sentais vraiment bouillir au-dedans de moi, mais je me retenais vraiment pour ne pas lui donner raison ou encore quelque chose du genre car il n’en valait pas la peine) Tu fais quoi ? Je suis à la maison entrain de causer avec mon mari et utiliser mon temps libre pour faire des choses encore plus bénéfiques pour moi Ah merci de m’avoir fait comprendre que je ne suis pas bénéfique pour toi aujourd’hui, merci ça me va droit au cœur. Non, je ne dis pas que n’es pas bénéfique, mais pas pour moi, j’ai juste appris à classer les choses et les personnes de ma vies selon les priorités, c’est juste ça Tu sais, je me demande, pourquoi la vie est si méchante avec moi, elle est trop méchante avec moi Vraiment, elle ne fait pas de cadeau non plus, mais on fait avec, mais ne t’inquiète pas, ça va aller pour toi C’est tout ce que tu trouves à me dire ou bien ? dis-moi et le bébé ? comment va-t-il ? J’ai décidé de ne plus reparler de ça, donc trouves un autre moyen de m’énerver Sérieusement, je vues juste que tu me dises ce que tu as sur le cœur, insulte-moi, maudis-moi, mais libère-toi s’il te plait Pour quoi je devrai t- insulter ? Par ce que c’est moi qui ai tué notre enfant, je l’ai fait, mais en ce moment, j’étais hors de moi à cause de la jalousie, je n’ai même pas mesuré mes actes et leur impact probable. C’est bien, mais le fait est que je trouve que c’est juste un peu tard pour les regrets et remords, il fallait y penser avant Je sais, mais je veux juste que tu me pardonnes, je veux juste ton pardon Tu veux la vérité ? (Je ne savais pas comment, mais je venais de tout simplement perdre le contrôle total de moi, chose que je craignais vraiment) Juste t’entendre ce que tu as au fond de moi me soulagera Tu es méchant, tu es mauvais, tu es égoïste tu ne penses qu’à toi, tu es d’une méchanceté qui n’a pas son égale. Tu sais pourquoi je dis ça ? ça vaut environ quatre semaines que tu m’as fait une poudre pour tuer l’enfant, sachant bien que je pouvais mourir. Amis jusque là où nous sommes tus n’as pas songer à me demander comment tu te sens, comment vas-tu ? et c’est juste la preuve de ta méchanceté qui est là. Tu as eu ce que tu voulais, voilà aujourd’hui, tu as juste disparu et tu reviens me voir comme si de rien était disant que tu veux mon pardon ? mais tu es un démon en personne. Ok, je l’accepte, tout ce que tu viens de dire, je suis méchant, je suis égoïste, sans cœur et tout ce que tu veux. . . parle encore. Ne me rappelle plus, oublie-moi pour de vrai, ce qui pouvait nous unir n’existe plus Ecoute moi, s’il te plait, (attends . . . j’avais déjà coupé l’appel car mon cœur ne supportait) Cette discussion avec Yaël avait révélé cette douleur en moi, cette douleur de perdre un autre enfant. Elle était trop forte et vive comme nulle autre et le pire était qu’elle faisait revivre la mort de notre petite princesse. Je Mme sentait encore plus mal et je ne retrouvais plus de sens à ma vie. Tout ce que je voulais, c’était de vite rentrer chez moi et me retrouver dans les bras de mon habibi. Il me manquait pour de vrai, que dis-je ? encore plus fort même. . .il m’appelait, on causait très bien comme les premiers jours. Tout était si magnifique et merveilleux entre nous. Ce qui nous divinité n’était. Nous étions unis en esprit, oui tous unis par le cœur et notre prière était que ce qui nous divise ne soit plus. Nous pouvons faire savoir à qui le voulait que nous fussions mari et femme par l’amour dont nos actes étaient emprunt. Nous nous étions remis à marcher cote à cote et la main dans la main, à la table de la vie, nous partagions le même pain. Ce que j’avais vécu avec Yaël était déjà passé, une erreur que j’avais bien compris. C’était une toute belle leçon. . . Yaël regrettait vraiment son erreur et voulais vraiment, de toutes ses forces avoir ce pardon. . . J’étais prête à lui accordé mon pardon car qui étais je si, le mari, mon habibi qui avait été trahi par une femme qu’il a aimé sans condition, de toute ses forces. Une femme qui n’a pas pu lui donner un enfant, qui s’est permise de l’abandonner seul, et pire de lui tromper, jusqu’ à tomber enceinte, avait été pardonnée par ce mari, comment ne pourrai-je pas pardonner quelque’ un qui m’a aussi fait du mal ? C’était une véritable leçon que mon habibi m’avait donné. Encore, j’avais reçu son appel et maintenant, j’étais vraiment prête à lui parler. Jayden, s’il te plait, ne me raccroche pas au nez. Ecoute moi s’il te plait, jus’ au bout ensuite tu me diras tout ce que tu veux. Quand tu as dit que j’ai eu ce que je voulais et que c’était pour cela que je m’étais allé, tu te trompes grave, crois-moi. Ce que j’avais prévu pour nous ne se limitait pas seulement au s**e non. Jayden, je t’ai aimé pour de vrai, et je me suis toujours battu pour t’avoir comme femme. Sauf que les moyens que j’ai utilisés n’étaient vraiment pas dignes de valeur. Et le fait que j’ai décidé de te faire avorter n’avait pas pour moi, mais j’avais juste bien réfléchi à tout ce que tu m’avais dit. Donc je voulais t’aider à sauver ton foyer, ton honneur, ta dignité, ton couple et et tout. Je savais que tu n’allais jamais accepter ce médicament, donc voilà le seul moyen que j’ai trouvé. Je te promets aujourd’hui de te laisser tranquille, toi et ta famille, par ce que je t’aime et je veux te voir heureuse, ais je ne serai pas en paix tant que tu ne m’as pas pardonné, je te prie, trouve cette force en toi de me pardonner. Voilà j’ai fini. D’accord, j’ai compris, je veux juste que tu comprennes quelque chose, l’amour ne fait pas le mal et tu n’avais pas à réagir en mal comme ça. Tu es un homme charmant et je suis sûr que tu pourras te faire une belle relation et un très beau mariage même. Certes, je me suis vraiment senti mal à cause de toi. . . mais j’ai juste compris une chose, tu n’étais pas le seul fautif dans cette histoire, moi aussi, j’ai ma part de responsabilité dedans. Mais le seul vrai blessé dans l’histoire, c’est Ethan, si lui, il a eu la force de me pardonner malgré ma trahison sans qualificatif, moi je ne peux que te pardonner à mon tour aussi. La prochaine femme que tu rencontreras, je te demanderai juste de penser à sa dignité afin de ne pas la conduire dans un regret total comme celui dans lequel je suis aujourd’hui. Je te pardonne Yaël. D’accord, merci beaucoup et je te souhaite le meilleur avec ton mari. Vous êtes une référence pour moi. Allez, bonne nuit sœurette Bonne nui à toi aussi. . . Enfin, j’avais pu me libérer de ce que j’avais dans le cœur et qui me rongeait comme jamais. Je me sentais libre comme un ballon que le vent pouvait apporter partout. Mes trois étaient arrivés à leur terme et je Mme préparait à rentrer chez moi. Chéri, ça y a, je rentre le mercredi, j’ai enfin fini Hum. . . rentre vite, tu me manques à un tel point que tu ne peux imaginer toi-même Tu me manques fort aussi, tu ne peux pas aussi imaginer combien, la maison me manque, tout me manque J’espère que tu as tout préparé, j’espère que tu ne vas plus rien avoir faire là-bas Mrd, non, cette fois, c’est pour de bon, je rentre à la maison. . . Oui, c’était vraiment ça, je rentrai à la maison pour de vrai après une année, pleine de tourment pour moi, j’étais toute émue. Avec Yaël, tout allait pour le mien, il avait vraiment changé et j’avoue que je me méfiais vraiment de lui malgré tout son changement, je me demandais ce qu’il pouvait encore préparer ou manigancé pour détruire ma vie. Mais une chose était sure, cette histoire ou situation m’avait donné une bonne leçon. D’abord, le mariage nécessite un maximum d’engagement qu’on se doit de respecter peu importe la pression et le prix. J’avais deux options, oui, deux options quand mon habibi avait commencer à me manquer, je devais juste rentrer au près de lui, si cela était impossible, je devais me maitriser. Mais tout sauf, sortir avec quelque’ un pour combler le manque de mon mari. La trahison n’est jamais une bonne option, peu importe la motivation. Elle n’est suivie que de regrets et de remords, vouloir tout changer deviendra notre désir, oui nitre seul et unique désir. Ce désir qu’on ne puisse plus jamais réaliser. Je faisais mes valises avec des mélodies vraiment dansantes et je dansais comme dans un mariage. J’avais acheté tout un tas de belles choses pour mon habibi, oui beaucoup de cadeaux. J’étais aussi vraiment pressée que le mercredi arrive. Oui, ce mercredi que j’attendais avec tant de joie, tant d’espoir, j’allais enfin quitter le bénin pour entrer dans mon pays. Il enfin mercredi, j’appelle mon chauffeur qui vena me chercher. On a mis toutes mes affaires dans la voiture. Je me suis arrêté pour regarder ma maison toute un derrière pour me rappeler de tout ce qui s’y est passé . . . Les joies avec Yaël, cette nuit où l’irréparable a été fait, ce soir ou Nafi m’adonner le poison, les saignements, les appels avec mon habibi. . .oui tout me revenait comme dans un film. . . Je me suis alors tournée, faire quelque pas pour me retrouver dans la voiture. Je m’y suis bien installée pour être conduite à l’aéroport. Sur le chemin je fus surprise par discussion que commença mon chauffeur avec moi Madame, je peux vous dire quelque chose ? Oui, Kalé, ne te gêne pas Vous êtes la meilleure patronne que j’ai jamais eue, la meilleure de tous Je suis vraiment touchée par ce que tu me dis, merci beaucoup Sérieusement, votre personnalité m’a beaucoup touchée, j’ai été témoin de beaucoup de vos discussions que ça soit avec votre mari ou encore monsieur Yaël A, bon. . . Oui, désolée car je sais que ça ne me regardait pas, mais j’avoue que j’étais vraiment déçu à un moment quand vous avez su toutes cette histoire avec mon Yaël, mais j’ai vraiment été touchée par la manière dont vous avez su revenir avec votre mari. Oui, encore quand vous été allée jusqu’ à abandonner un poste aussi bien payer ici juste pour sauver votre foyer. Beaucoup sont ces femmes qui commettent des erreurs, mais peu d’entre elle savent revenir en arrière quand il le faut. Merci beaucoup, on est arrivé, merci beaucoup pour tout à toi également, tu vas beaucoup me manquer Je me suis installé dans l’avion et tout le trajet m’a permis d’analysé beaucoup des choses. Toutes ces choses qui venaient dans ma tête on dirait un film. Et là je me rendais compte déserteurs que j’avais faite à différents niveaux. Je voyais que je devais agir comme ça au lieu de comme ça. Je me rendais compte que je ne devais pas venir là mais qu’il fallait plutôt aller là-bas. . . mais je voyais en chaque erreur une leçon apprise, oui, cette leçon donnée par la nature elle-même. Je réfléchis ais aussi à ce que j’allais faire de ma vie une fois rentrée. Mais par-dessus de tout, j’avais une forte envie, celui de refaire un enfant avec mon habibi. Oui, et de rester à la maison rien que pour m’occuper de mon habibi et de l’enfant que nous aurons ensemble. Entre temps, je me suis revenu sur terre quand j’entends les directives pour descendre de l’avion. Je pouvais voir mon habibi m’attendre, je n’arrivais pas à y croire. Il m’attendait avec tellement d’impatience. Et quand il m’a vu, il courait vers moi et moi aussi pour lui rencontrer. Je me suis jetée dans ses bras comme pour le jour de notre mariage. Oui, je pouvais le sentir me serer comme si c’était la première fois. Je suis restée dans ses bras pendant longtemps jusqu’ à ce que les gens commençaient à s’arrêter pour nous regarder. Je ne voulais pas quitter ses bras. . . Tu m’as trop manqué mon trésor, trop à tel point que tu ne peux même pas l’imaginer. Toi aussi chéri, mais j’avais peur sur la route tu sais ? je me disais que n’allais pas venir m’accueillir, après tout ce qui s’est passé Je suis ton mari et tu es ma femme alors comment ne pas venir te chercher pour entrer chez nous ? Alors, on rentre ? Oui, allons On fit installer les bagages dans la voiture et le trajet fut trop magnifique. On n’avait vraiment trop de chose à nous dire. Il ne pouvait s’empêcher de me toucher partout et s’exclamer après. . . On est enfin arrivé à la maison, c’est fou comme elle m’avait manqué cette maison Hum. . .tu l’avais aussi manqué, grave même Alors, dis-moi, qu’est-ce que j’ai manqué, je vois déjà que tu n’as rien changé au décor Non, c’est à la maitresse de maison de le faire, alors, nous n’allons pas mélanger son travail. . . Tu as raison. . .je m’en vais prendre une douche Je me suis prise une belle et magnifique douce comme je le faisait avant, oui c’est-à-dire que mon habibi savonnait, faisait couler l’eau sur moi, c’était le paradis sur terre. Ça m’avait grave manqué tout ça Bienvenue à la maison alors, on est de nouveau réuni . . . voilà tu es propre on dirait un poisson qui vient de sortir de l’eau Merci beaucoup mon habibi, je suis vraiment désolé pour tôt ce qui s’est passé, je . . . Shunt… laissons le passé au passé, allons de l’avant, on ne va plus reparler de tout ça, promis ? Promis, je t’aime, je t’aime vraiment très fort Moi aussi, maintenant laisse toi aller, ne pense qu’à nous deux, rien que nous deux Il me fit me coucher sur le dos comme la première fois. Tout ce que je pouvais sentir, c’était la chaleur de son corps. Cette chaleur qi m’avait tant manquée. Oui, cette chaleur qui me manquait tant et à peine un mois, je me rendis encore chez le médecin à cause des malaises Madame, mes félicitations, vous êtes enceinte de trois semaines Quoi ? enceinte vous avez dit ? Oui, de trois semaines Merci docteur, que Dieu te bénisse Un autre jour pas comme les autres. Je criais toute seule et j’avais juste envie de le crier sur tous les toits. Enfin, c’est le soir et mon habibi viens de faire son entrée. J’vais décoré la maison avec des accessoires de bébé. . . Et la lumière était éteinte, j’ai allumé la lumière dès qu’il est rentré et il a directement compris le message Merci mon Dieu, Trésor, on sera parents, c’est ça ? … (je ne faisais que crier tout en larmes et lui il me serra contre lui) Merci pour le cadeau, tu es la meilleure des femmes. C’ était la chose dont nous avions le plus besoin. Un enfant pour nous unir, remplacer tout ce qu’ on a perdu. Cet etre qui nous apportera joie et bonheur et tout ce qui va avec. Peu importe le prenom, nous etions prets à lui accorder tout nitre amour et attention car il merite plus que tout ça. Cet enfant allait acgever la tache que Michaelle avait commencer et il sera la lumière de notre famille. Quelque chose me disait au fond que celui là allait rester peu importe et que c’ était lui qu’ on attendait depuis. 15 ans de mariage pour ensuite l’ acceuillir, ce n’ était qu’ en meme pas pour rien. Nous remercions les cieux pour sa venue. Cette venue tant attendue. Oh oui !
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