CHAPITRE 27 QUAND LÉO ARRIVA À PROXIMITÉ de son repaire, il entendit, avec une irritation mêlée de soulagement, des bruits sourds à l’arrière de la Mercedes. Au moins, son prisonnier était vivant. Après s’être assuré que les environs étaient toujours déserts, il ouvrit le coffre. Coincé dans ses liens, Dylan gigotait et donnait des coups de pieds. Il puait l’urine. Ce c*****d s’était pissé dessus ! Pourvu qu’il n’ait pas endommagé l’ordinateur portable. – Tu vas te calmer, Paulo ? Sinon, je t’en remets une dose ! L’adolescent s’immobilisa. Il jetait des regards affolés autour de lui. Le Mexicain réalisa qu’il avait oublié de lui b****r les yeux. Dès lors, il sut qu’il allait devoir tuer ce témoin gênant. Il traîna son prisonnier dans la maison, le fit descendre à la cave et l’installa

