« Que pasa ? » crie-t-elle en courant vers nous. Pablo lui explique, elle paraît profondément choquée. Elle embarque Paola, et l’emmène prendre un bon bain revigorant. Pour ma part, je file au camion prendre une petite douche toute simple et me changer. Ah, ça va mieux, réchauffé, propre, relaxé, vêtu de bonnes fringues chaudes sentant le pin des landes version lessive chimique... Le soir, je me pointe à la maison sur le coup des 20 heures, frais comme un gardon. J’ai fait la sieste, je suis reposé, et une petite brise alléchante m’a revigoré le temps du trajet jusqu’à la casbah. En entrant, tout le monde me toise, je ne comprends pas de suite. Puis Pablo commence à applaudir, les autres suivent. Je suis gêné de tant de gratitude, Pablo le sent, et prend la parole derechef : « Vladimir,

