Note de l’auteurSi les personnages et les évènements de ce livre sont fictifs, certains éléments restent authentiques. Les prédateurs sexuels fleurissent sur les pages internet, notamment sur les sites de rencontre auxquels de nombreux adolescents se connectent sans avoir toujours conscience du danger. Le « gender team » de l’hôpital universitaire de Gand existe bien et j’espère qu’ils me pardonneront de leur avoir attribué, pour les besoins de l’histoire, un invraisemblable défaut de vigilance ! Quant aux tunnels abandonnés et aux stations oubliées du métro parisien, c’est un labyrinthe fascinant, mais où la déambulation reste interdite, même si elle est pratiquée, à leurs risques et périls, par des tagueurs et des adeptes de l’exploration urbaine.
