Je n'attendais que l'approbation de mon père.
Dès qu'il dis oui,je mintelligence utiliser mon intelligence pour quitter définitivement le village.
Notre tante Yousra lui fit cette demande, le lendemain soir après la cérémonie de sortir des jumeaux.
Nous venons d'avoir 10 ans avec notre diplôme de brevet d'études primaires.
_ Mon frère,baba jelika j'aimerais te demander une faveur.
Ils étaient assises au salon et donc devant un bon plat d'arachide sur la table.
_ je t'écoute sœur Yousra.
_ mon frère j'aimerais juste que tu permettrees à tes deux filles de venir passer les vacances chez moi. Dès la nouvelle rentrée elle rentrera.
_ Hum, tu es ma sœur et donc que mes enfants aillent chez toi ne me dérange pas. Mais rien ne leur arrive de mal venant de toi. C'est tout…
_ hum !!!( Avec un sourire aux lèvres) Rayane tu n'as pas changé hein. Je me disais que les années t'aurais forgé. Toujours aussi protecteur
_ Ah !! Tu te souviens bien !!! Yousra tu as une bonne mémoire ( ils se mirent à rire ensemble) .
_ (ma tante repris) Oui je me souviens parfaitement. Tu m'avais transporté du champ quand le serpent m'avait mordue malgré que j'étais déjà bien agonisant. Tu m'as donné les premiers soins depuis le champ. Ce sont tes paroles de soutien sur la voie qui m'ont le plus réconforter
_ c'est normal ma petite sœur. Si je ne le fais pas, qui d'autre pourrait le faire ? Hum !!! Tu es de mon sang.
Là je comprenais plus mon père. J'observais une tout autre personne devant moi qui exprimait ses sentiments envers sa sœur.
Au fond, je pense que mon père m'aime. Mais il lui était difficile de l'exprimer envers moi. C'était sans compter la conduction qu'il donna à ma tante.
_J'aimerais bien qu'elles rentrent toutes les deux. Même si t'arrives à vouloir garder l'une d'elles. Parce que je sais que je sais que c'est ton intention. Je te conseille de ne pas penser gardez mazout.
_ pourquoi pas elle. D'ailleurs je peut les gardez elles deux.( Ma tante jouait la sur une planche sensible à mon père)
_ j'ai besoin de mazout pour des travaux importants .
_ apparemment tu as des principes envers ta fille.
_ juste que je sais ce qui est bien pour chacun de mes enfants.
_ c'est toi qui voit
Je n'en revenais pas.
Il à osé demander que je rentre malgré quelque chose.
C'est à croire qu'il est un plaisir pour lui de l'emmener au champ.
Au champ,il me traitait de la même manière que les cousins.
Le travail était réparti. Là au moins là il allégerait la tâche. Mais d'un autre côté il se faisait le malin plaisir de fixer l'heure du manger à 12 heures sachant qu'on pouvait pas le supporter
L'heure et le jour du départ furent fixés.
Jelika n'avait rien dit qui pouvait sembler de tristesse ou de joie.
Cette fille faisait la manie de ne laisser transparaître d'elle qu'un côté aimable.
Je ne m'en fait guère.
Arrivé en ville j'étais émerveillé. Tellement la beauté et la propreté était frappante et attirante. La famille de Tante Yousra vivant dans le splendide quatier résidentiel de Saint Jacques. Leur maison est digne d'une demeure de royauté, comme dans les films français.
Le mari de ma tante est un commerçant grossiste comme on le dis souvent .
Et cela au marché Dantokpa et possède également une boutique pas loin de la maison qu'il gère avec des apprentis vendeurs dans les jours non ouvrable du marché Dantokpa.
Il vend les sacs de riz, de macaroni, d'huile,sucre et de lait en poudre de divers marque.
Notre séjour fut sans encombres.
Les matins, notre tante sert le déjeuner et ordonne la seule domestiques de s'occuper de nous dans la journée.
Son mari nous accueille comme étant ses propres enfants. Je n'attendais pas moins de lui.
Il nous avait assigné avec sa femme de rejoindre la boutique les matinées au environ de 10 heures. Cela nous permettrait de ne pas nous ennuyer.
Une fois en route .
Ma sœur et moi ne cessons de contempler les alentours . Pour Un responsable fois je passais un mois et demi à ne pas tenir la houe. J'étais contente. Mais en même temps je cherchais un moyen de rester.
Ma tante essaya de se rapprocher de moi. Afin de savoir plus pourquoi cette condition de mon père.
Elle pensait à un mariage arrangé. Mais n'était pas convaincu.