Chapitre 27 : La marque du loup Leurs corps ne faisaient plus qu’un, guidés par une cadence naturelle, instinctive, ancienne. À chaque pénétration , chaque soupir, chaque frisson, ils semblaient se découvrir encore un peu plus, comme si leurs âmes se reconnaissaient à travers leurs peaux brûlantes. Riven l’embrassait avec lenteur et fièvre, ses mains la maintenant avec cette dualité envoûtante entre la protection et le désir brut. Il murmurait son prénom contre sa bouche, dans son cou, sur sa poitrine, comme une incantation, comme une promesse. — « Elisara… » souffla-t-il, sa voix rauque et éraillée par l’émotion. Elle bascula légèrement le bassin pour mieux le sentir contre elle, plus profondément, plus intensément. Elle s’accrochait à lui comme à un repère dans cette mer de sensation

