Chapitre 1

1128 Words
1 JAMISON Je regardais les clients entrer et sortir du Silky Spur. Comme c’était soirée country dans ce bar local situé en bordure de la ville, tout le monde sautillait. Et contrairement à tous ces gens venus s’amuser, je me retenais. Enfin je me retenais parce qu’elle était là. Et je faisais mine d’ignorer ma bite calée contre l’intérieur de ma cuisse, si dure qu’elle en était douloureuse, sans le moindre espoir de débander. Si c’était elle qui commandait mon corps plutôt que mon cerveau, je serais déjà en elle jusqu’à la garde. Mais je ne faisais plus ce que me dictait ma bite—je n’avais plus dix-neuf ans—enfin, jusque-là. Jusqu’à elle. Je l’avais vue entrer avec Shamus et Patrick et quelques autres employés du ranch il y a quelques heures. Ouais, je la suivais, mais il fallait bien quelqu’un pour la surveiller. Pour la protéger. Comparée à d’autres femmes portant des minishorts qui couvraient à peine leurs fesses, elle était modestement vêtue dans sa robe en jean, ses bottes de cowboy et une chemise. Peu importe qu’elle porte cela ou un sac à patates. Je pouvais imaginer chaque centimètre de son corps. Un petit lot tout en volupté. Tout ce qui comptait, c’était que personne d’autre ne voie toute cette perfection. J’agrippai le volant à m’en faire pâlir les jointures, en pensant que je défoncerais quiconque lèverait le petit doigt sur elle. A l’exception de Boone. J’avais envie de le voir promener ses mains partout sur elle. Putain. J’étais assis au milieu du parking, à rien faire. Cela faisait trois jours que j’avais posé les yeux sur Penelope Vandervelk, la deuxième fille et héritière Steele à être arrivée dans le Montana et, depuis, toutes mes pensées me ramenaient à elle. Ses longs cheveux blonds. Elle était si petite. J’étais sûr que le haut de sa tête ne m’arrivait pas à hauteur d’épaule. Ses yeux bleus. Et ces seins, et ce c*l. Pour une fille si petite, elle avait plus de courbes qu’une route de montagne. Et nul doute que ces montagnes rempliraient la paume de mes mains, tout comme ses hanches… elles seraient parfaites à agripper quand je la prendrais par derrière. Je grognai dans le confinement de la cabine de mon camion. Je la désirais avec un désespoir que je n’avais jamais ressenti. J’avais vu comment Cord Connolly et Riley Townsend avaient succombé vite et bien à la petite Kady Parks. Et, bien que je ne me sois pas moqué de leur connexion aussi soudaine qu’intense, je n’aurais jamais imaginé qu’une chose pareille puisse m’arriver. p****n que j’avais eu tort. Ils se foutraient bien de ma gueule s’ils pouvaient me voir maintenant. Toujours rien, rien à faire, et tout ça avec une bite dure comme une barre de fer. Je désirais Penelope. Ma queue—et mon cœur—ne voudraient personne d’autre. Je ne voyais plus les autres femmes désormais. Trop grandes, trop maigres, peu importe. C’était elle que je voulais. Le pire dans tout ça ? Elle avait vingt-deux ans, j’avais seize ans de plus qu’elle. Seize ! Bien assez pour avoir mieux à faire que de la salir. Et ce que je voulais lui faire allait la souiller. Je ferais mieux de la laisser tranquille, p****n. Lui dire de se trouver un petit copain de son âge. Ouais, petit copain. Aucun gamin de son âge ne saurait se débrouiller avec sa petite chatte. Elle passerait à côté de ce que Boone et moi étions en mesure de lui donner, et qu’elle méritait. Et pourtant je savais que j’avais tort. C’est pour ça qu’elle était à l’intérieur du Silky Spur avec Patrick et Shamus. Ils étaient toujours à la fac, nés dans la même p****n de décennie. Comme les autres employés du ranch qui les accompagnaient. Ils l’avaient invitée à venir danser, un groupe de types qui s’utilisaient les uns les autres pour s’approcher d’elle. Et comme ça, la pensée qu’un seul d’entre eux ne la touche—ou n’ait seulement l’intention de s’approcher de ses cuisses appétissantes—me faisait voir rouge. Boone et moi serions les seuls à voir ces seins rebondis, à en s***r les tétons. A goûter son parfum de miel directement à la source. A l’entendre crier nos noms quand elle jouirait. Quand elle enserrerait ma bite en elle pour en aspirer chaque goutte de sperme. Putain, oui. Et quand elle m’aurait complètement vidé, je la regarderais continuer avec Boone parce qu’une seule bite ne lui suffirait pas. Et quand le jour arriverait, elle ne serait plus capable de marcher droit et aurait oublié son propre nom. Et c’est pour ça que j’étais là. Je m’étais assez retenu. Ma bite me criait d’y aller. Ma tête disait « bas les pattes ». Jusque-là. On devrait me donner une médaille pour avoir tenu aussi longtemps. Trois jours de t*****e. Rien qu’à l’imaginer danser et remuer ce petit c*l devant d’autres gens fit tomber ma dernière barrière. Cela faisait trente ans que j’attendais l’élue, et elle était arrivée. Ce ne serait pas une histoire sans lendemain. Ce n’était pas une démangeaison à gratter. Non. C’était du sérieux. Je désirais Penelope—pour toujours—et j’allais l’avoir. Ma décision était prise. Je sortis mon téléphone et appelai Boone. « J’abandonne. » C’était tout ce que je dis, mais il sut exactement à quoi je faisais allusion. « Il était temps que tu te décides. Ma bite en a plus qu’assez de ma main. » On aurait dit qu’elle avait nourri nos fantasmes des derniers jours. Alors que Boone avait soulagé la pression en pensant à Penelope, je m’étais retenu. Je voulais épargner chaque goutte de mon sperme pour elle au grand désespoir de mes couilles douloureuses. Ma main ne suffirait plus. Un seul regard sur elle et je voulais sa petite chatte humide autour de ma queue. Pour toujours. Boone était au ranch à son arrivée, quand elle était descendue de sa petite berline remplie de ses affaires. Jeune, douce et innocente. p****n qu’elle était belle. Il m’avait lancé un seul regard et j’avais su qu’il pensait tout comme moi. C’était l’élue. Elle serait à nous. Comme je n’étais pas préparé, je m’étais tenu à distance pour éviter les présentations formelles, tout comme lui. Nous l’approcherions ensemble parce qu’elle nous appartiendrait à tous les deux. Nous allions la prendre, la conquérir, la b****r, l’aimer. Ensemble. Manifestement, il savait que j’allais finalement céder aux tentations que représentait la petite blonde. Je détestais sa patience à toute épreuve. Je la détestais depuis que nous étions gamins, l’enfoiré. Je n’avais pas la gâchette facile mais comparé à Boone, j’étais impétueux et spontané. C’est pour ça qu’il était si bon médecin. Mais ses mots avaient révélé qu’il n’était pas aussi détendu que je pensais. « Ramène-toi au Silky Spur, aboyai-je en ouvrant la porte de mon camion pour en descendre. Le moment est venu de conquérir notre femme. »
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