CHAP. XXXVLa Mazzolata– Messieurs, dit en entrant le comte de Monte-Christo, recevez toutes mes excuses de ce que je me suis laissé prévenir, mais en me présentant de meilleure heure chez vous, j’aurais craint d’être indiscret. D’ailleurs vous m’avez fait dire que vous viendriez, et je me suis tenu à votre disposition. – Nous avons, Franz et moi, mille remerciements à vous présenter, monsieur le comte, dit Albert ; vous nous tirez véritablement d’un grand embarras, et nous étions en train d’inventer les véhicules les plus fantastiques au moment où votre gracieuse invitation nous est parvenue. – Eh, mon Dieu ! messieurs, reprit le comte en faisant signe aux deux jeunes gens de s’asseoir sur un divan, c’est la faute de cet imbécile de Pastrini si je vous ai laissés si longtemps dans la dét

