POV Jake
Une semaine qu’elle évitait tout le monde. Depuis deux ans, elle me parlait à peine et je sais que j’ai merdé cette nuit-là, j’aurais dû être plus doux dans mon refus, Apollon me le répète sans cesse. Mais maintenant, je donnerais tout ce que je possède pour agir autrement. J’avais tellement mal en dedans de moi qu’Apollon avait pris le contrôle de mon corps pour me permettre de couver ma peine. J’étais en train de former les louveteaux à l’auto-défense quand j’ai senti que quelqu’un me regardait. J’ai instinctivement tourné la tête vers sa fenêtre. Elle était là, elle me regardait… Rosy, sa louve a fait savoir à Apollon que Kate était prête à parler, donc, nous n’avons pas perdu de temps et nous avons escaladé le mur menant à sa chambre.
Je suis entré dans la chambre alors qu’Apollon avait toujours le contrôle sur mon corps. Je ne pouvais que la regarder à travers les yeux d’Apollon pendant qu’il essayait de lui extorquer la promesse de ne pas nous rejeter. Alors, quand elle commença à expliquer maladroitement comment elle se sentait, j’ai compris qu’elle aussi avait peur que je la rejette et que cette peur était dû à mon refus de lui faire l’amour il y a deux ans. Je devais lui faire comprendre que j’avais dû me battre avec moi-même pour ne pas prendre ce qu’elle me donnait. Que je savais qu’elle était mon âme-sœur, mais que comme elle ne le savait pas, j’avais dû me faire violence pour ne pas la prendre et la marquer comme mienne à ce moment-là.
Je me suis doucement approché d’elle alors que son doux parfum de petits fruits m’enveloppait. Lentement, j’ai penché la tête vers elle et je l’ai embrassé. Pour la toute première fois de notre vie, je pouvais goûter à ses lèvres pulpeuses. J’ai senti qu’elle frissonnait contre moi, alors j’ai resserré mes bras autour d’elle pour lui communiquer ma chaleur corporelle. Lentement, je l’ai soulevé dans mes bras et j’ai froncé les sourcils quand j’ai réalisé qu’elle avait perdu du poids. Elle avait tenté de le camoufler avec des vêtements amples, mais je n’étais pas dupe. Mais, nous aurions suffisamment de temps de rectifier la situation maintenant.
Tendrement, je l’ai déposé sur le lit et je lui ai demandé si je pouvais la marquer. Elle me regarda en me faisant un magnifique sourire et j’ai senti mon cœur bondir de joie.
Catherine : Oui, tu peux me marquer… si tu me veux, je suis à toi
J’ai recommencé à embrasser ses lèvres tout en promenant ma main le long de son corps. Le fait que je n’avais jamais été avec une louve ne voulait pas dire que je ne savais pas quoi faire, j’avais la mémoire d’Apollon, mais surtout, j’avais visionné des vidéos sur internet afin d’apprendre à donner du plaisir à ma douce compagne.
Alors, très lentement, je l’ai dévêtu et j’ai embrassé et caressé chaque millimètre de peau que je dénudais. Elle soupirait de plaisir à chaqu’une de mes caresses sur sa peau. Elle commença à gigoter lorsque j’ai voulu placer ma tête entre ses cuisses.
Catherine : Jake… non… c’est…
Jake : Princesse, si je me fis à Apollon, tu vas aimer ce que je vais faire…
Catherine : Mais…
J’ai passé ma langue dans ses replis et elle hoqueta de surprise
Catherine : Oh ma Déesse…
J’ai gloussé, le nez dans ses replis, alors qu’elle avait les premières vagues de plaisir. Je la léchais, jouais avec mes dents sur le petit amas de chair que je savais être son c******s, tirais dessus avec les lèvres en exerçant une succion. Elle tremblait sous moi. J’ai remonté une de mes mains vers sa poitrine et j’ai commencé à caresser la pointe de ses mamelons et les pinçant doucement et en tirant dessus. Elle gémissait de plaisir sous mes attentions et je me sentais tellement heureux de lui donner autant de plaisir.
Avec ma seconde main, j’ai commencé à masser l’entrer de sa grotte d’amour en de doux mouvements circulaire. Puis, lentement, j’ai fait pénétrer un doigt en elle, l’entrant et le retirant avec tendresse. Elle cambra le dos et hurla de plaisir. Je l’ai accompagné tout au long de son plaisir, la cajolant avec amour afin de lui permettre de redescendre. Puis, ni tenant plus, je me suis positionné sur elle, la tête de ma trique faisant pression sur sa zone intime. J’ai plongé mon regard dans le sien.
Jake : Ma princesse… je vais essayer d’être le plus doux possible… mais Apollon m’a dit que la première fois pouvait te faire mal… je suis désolé pour cela… mais, il m’a promis que c’est la seule et unique fois où tu aurais de la douleur…
Elle se lécha les lèvres en me regardant avec confiance
Catherine : D’accord…
Alors lentement, millimètre par millimètre, je me suis introduit en elle jusqu’à sentir le voile marquant sa virginité. Je me suis penché vers elle et j’ai capturé ses lèvres avec passion. Mon but était de lui faire oublier ce qu’il se passait, qu’elle se perde dans notre b****r. Quand j’ai senti qu’elle se détendait, j’ai donné un ultime poussé pour entrer complètement en elle. J’ai senti qu’elle se raidissait sous moi et j’ai cessé tout mouvement, appuyant mon front contre le sien.
Jake : Respire ma Princesse, la douleur ne durera pas, je te le promets… respire, pleur si tu en sens le besoin… je ne bouge pas, je te laisse le temps de calmer la douleur…
Catherine : Embrasse-moi… s’il te plait…
J’ai doucement capturé ses lèvres et elle répondit à mon b****r avec passion. J’ai senti qu’elle enroulait ses jambes autour de ma taille et j’ai commencé à bouger lentement. Elle soupira de plaisir contre mes lèvres et j’ai embrassé le bout de son nez avec tendresse. Puis, j’ai commencé à travailler la peau tendre de son cou, la léchant, la suçant, tirant dessus avec mes dents, le tout, dans le but de l’attendrir pour que je puisse la marquer plus facilement. Elle gémissait de plus en plus sous moi, à mesure que je stimulais son endroit à marquer. Puis, dès que j’ai senti qu’elle était sur le point de jouir, j’ai planté mes crocs dans son cou, laissant ma marque sur elle et me l’appropriant pour toujours, elle était maintenant à moi, enfin, finalement. J’étais le plus heureux des loups, j’avais enfin le droit de revendiquer mon âme sœur.
J’ai relâché ma prise et j’ai léché la plaie pour l’aider à cicatriser, puis, j’ai contemplé ma marque avec fierté. Je m’étais toujours demandé quel effet cela me ferait de voir ma marque sur le cou de mon âme sœur, maintenant, je le savais, c’était comme être au paradis, plus rien n’avait d’importance que le corps souple et chaud sous moi, c’était aussi un mélange de fierté et de possessivité. Une façon de dire aux autres de ne pas toucher, qu’elle m’appartenait. Elle profita de ma distraction pour inverser nos positions et j’ai placé mes mains sur sa taille fine alors qu’elle se penchait vers mon cou et qu’elle commençait à préparer l’endroit qu’elle marquerait.
Jake : Oh Déesse….
Elle gloussa dans mon cou et chaqu’un de ses rires faisaient tressaillir ma trique en elle, la propulsant toujours dans les limites du plaisir. Au moment où je pensais ne plus pouvoir prendre de plaisir, j’ai senti ses crocs s’enfoncer en moi, me propulsant dans la jouissance la plus époustouflante que j’ai jamais connu… certes, je n’avais jamais été avec d’autres personnes, mais je soulageais régulièrement mon stress en me donnant du plaisir en pensant à ma douce compagne. Je sais que cela peut sembler pervers lorsqu’on y pense, car quand j’ai commencé, ma compagne était encore mineure, mais je savais déjà à quoi elle ressemblerait, je savais déjà ce qu’elle goûterait pour moi, soit, un merveilleux assortiments de baies sauvages. Elle relâcha sa prise sur mon cou et lécha la plaie. Elle regarda ensuite sa marque en souriant doucement
Catherine : Tu es à moi maintenant…
Jake : Oui, depuis le jour de ta naissance, je suis à toi et uniquement à toi… c’est juste que tu ne le savais pas…
Catherine : Ni les louves qui te tournaient autour… j’avais tellement envie de les démolir à chaque p****n de fois…
J’ai gloussé en enroulant mes bras autour d’elle et en l’embrassant sur le front
Jake : Et moi, chaque fois qu’un mâle t’approchait, je devais me faire violence pour ne pas l’attaquer…
Elle gloussa la tête posée sur ma poitrine. Elle était toujours en cavalière sur moi et j’en étais très heureux. J’ai doucement embrassé son front alors que je la sentais se détendre contre moi. Rapidement, j’ai entendu sa respiration devenir régulière, signe qu’elle s'était endormi dans mes bras. J’ai lié sa mère pour lui dire de ne pas m’attendre pour le repas et que tout était arrangé avec Kate, puis, je me suis endormi à mon tour.