Chapitre 5

3573 Words
Emilie n'était pas tranquille du coup elle décida de quitter la société illico presto, elle prétexta de déjeuner à l'extérieur prit sa voiture et fila droit au FBI pour leur donner la clé USB avec tous les dossiers compromettants. Elle fut plus sereine quant elle se gara sur le parking du FBI après avoir passé la vigie de contrôle à l'entrée. Elle entra dans le bâtiment et demanda à voir le directeur John DAWSON simplement on lui dit qu'il était en plein interrogatoire, alors Emilie dit à l'agent d'accueil que c'était vital et que le directeur attendait sa venue avec impatience, il était urgent qu'elle lui parle, pas dans les 2 heures ni dans les 4 h, elle dû insister très lourdement. L'agent composa enfin le numéro de téléphone du directeur et de la salle d'interrogatoire 2, le téléphone sonna deux fois et ouf il répond très vite. C'est l'agent SIMON de l'accueil j'ai une Mademoiselle DESCHANEL qui est là et qui souhaiterai vous parler urgemment. - Ok dans ce cas là j'arrive dit le directeur DAWSON. Il regarda Jérémy BASTIDE qu'il avait convoqué et était en plein interrogatoire, quant il lui dit : - Désolé Mr BASTIDE nous continuerons plus tard, je dois m'absenter quelques minutes j'ai une affaire urgente à régler. Puis il quitta la pièce non sans avoir au préalable fait rentrer un autre agent dans la pièce pour garder Mr BASTIDE. Il traversa le couloir pour aller à l'accueil, il arriva rapidement et quand il vit Emilie il sourit et lui tendit la main, - Bonjour Melle DESCHANEL, - Bonjour Mr le directeur DAWSON, vous pouvez m'appeler Emilie maintenant je vous y autorise. - Alors lui demanda t'il vous avez le St Graal ? - Oui dit-elle parfaitement ! J'ai pris tellement de risques pour l'avoir ! - Venez on va discuter dans mon bureau. Ils traversèrent une partie du couloir et entrèrent dans son bureau. - Donnez moi la pépite s'il vous plait. Emilie ne se fit pas prier 2 fois elle lui tendit la fameuse pépite. Le directeur DAWSON mit la clé USB dans son ordinateur portable et lui fit signe de s'asseoir. Il regarda les documents à l'écran et les éplucha vite fait puis dit à Emilie : - C'est vrai c'est une sacré pépite que vous avez là ! Il y a de quoi les envoyer en prison pour plus de vingt ans ! Vous avez bien travaillé Emilie, vous avez pris de gros risques pour l'avoir. Dites moi vous partez de chez DUCHERE PRODUCTIONS maintenant non ? - Oui je n'y mettrais plus les pieds, je suis grillée dit-elle. - Bon très bien, vous pouvez rentrer chez vous, je vous appelle dès que j'ai du nouveau. - Ok dit Emilie à bientôt et bonne journée. Puis Emilie marche pour allez prendre sa voiture, quand à peine pris la sortie, Jérémy BASTIDE lui prend le bras, lui met un révolver dans le dos et lui dit : - Que faites vous ici vous ? - Euh... dit Emilie réfléchissant en même temps qu'elle parlait, le FBI m'a contacté pour que j'épie Mr DUCHERE mais je suis venue leur dire que je refusais ! - Ah bon très bien, aidez moi à sortir d'ici ! Pendant ce temps là le directeur DAWSON était de retour dans la salle d'interrogatoire n°2 mais à peine entré il vit l'agent SIMON à terre, il courut vers la sortie et cria : - Mr BASTIDE s'est enfui il faut le chercher dans tout le bâtiment et fermer la sortie. Lui était déjà arrivé à la sortie il vit Emilie monter dans sa voiture avec un révolver dans le dos, mis en joue par J. BASTIDE. Il courut mais arriva juste au moment ou BASTIDE dit à Emilie, démarrez puis Emilie démarra en trombe. Le directeur DAWSON prit sa voiture illico et suivit le fuyard, il dit tout haut : - Emilie tenez bon j'arrive ! En même temps qu'il conduisait il téléphona à ses collègues restés au bureau et leur dit de prendre une voiture et de le retrouver tout de suite. - S'il décide d'aller voir PAUL DUCHERE Emilie est morte, alors à moi de le stopper. Aussi se dit il en son for intérieur il ne faut pas que je le lâche et que je l'intercepte avant qu'il arrive au bureau de P. DUCHERE. Emilie fonça dans la barrière de sortie qu'elle cassa intentionnellement. J. DAWSON était à une voiture derrière lui et le suivait activement, quant à J. BASTIDE il mettait le révolver sur la tempe d'Emilie qui n'en menait pas large. Il lui fit prendre les petites routes ce qui arrangeait fort le directeur DAWSON. Emilie avait le cœur qui battait à cent à l'heure. - Tournez à gauche lui dit J. BASTIDE. J.DAWSON le suivait tranquillement à deux voitures derrière volontairement et bien caché derrière la deuxième voiture que J. BASTIDE ne voit pas qu'il était suivi. Quant il fit tourner Emilie à droite à la prochaine intersection, J. DAWSON se dit qu'il allait droit dans la gueule du loup, il faut que je l'intercepte maintenant. Les collègues qu'il avait appelés le suivait derrière actuellement depuis environ dix minutes. Il leur donna le top départ et tous les deux au même moment dépassèrent les deux voitures à fond les ballons et passèrent devant Emilie et se mirent en travers de la route devant sa voiture, l'opération n'avait pas duré plus de trente secondes. J. BASTIDE n'avait pas eu le temps de dire ouf qu'il était fait comme un rat. Tous sortirent des voitures armes au poing. - Vous êtes cernés Mr BASTIDE sortez les mains en l'air dit J. DAWSON. J. BASTIDE dit à Emilie : - Sortez et pas d'entourloupe s'il vous plait ! Emilie sortit de sa voiture toute tremblante avec J. BASTIDE à ses basques. Elle était beaucoup plus petite que lui et c'était une chance pour elle. J. BASTIDE n'avait pas enlevé le cran de sécurité avant de tirer, ce qu'il s'apprêta à faire pour tirer sur Emilie. Fort heureusement J. DAWSON compris ce qu'il voulait faire et lui tira dessus dans l'épaule au même moment. J. BASTIDE tomba, Emilie en profita pour aller directement dans les bras de Mr DAWSON, mais J. BASTIDE tira sur Emilie qui fut touchée à l'épaule gauche du coup elle tomba instantanément, tandis que les collègues se ruaient sur J. BASTIDE qui n'a pas eu le temps de tirer une nouvelle fois. Ils lui mirent les menottes et le mirent directement dans la voiture du FBI. Tandis que J. DAWSON se précipitait pour attraper un torchon dans sa voiture pour poser sur la plaie sur l'épaule d'Emilie. - Tenez ça lui dit-il, j'appelle deux ambulances. Les secours arrivèrent moins de 10 mn après l'appel, ils commencèrent par soigner Emilie et la mirent dans l'ambulance direction l'hôpital, J. DAWSON lui dit : - Vous allez vous en tirer ce n'est rien il n'y a que l'épaule qui est touchée. - Merci ça ira, ça ne vous ennuie pas de ramener ma voiture à la maison demanda t'elle ? C'est bien Emilie ça elle s'en faisait plus pour sa voiture que pour elle. - Oui dit J. DAWSON je m'en occupe personnellement, vous êtes très courageuse Emilie. Et les ambulanciers l'emmenèrent à l'hôpital. J. DAWSON appela tout d'abord le bureau du FBI pour leur demander de mettre Noé LENOIR au frais en l'attendant et leur dit qu'il ramènerai J. BASTIDE une fois qu'il aurait été soigné, ayant pris une balle dans l'épaule. Il passa un deuxième coup de fil à Olga la meilleure amie d'Emilie, qui venait à l'instant de rentrer chez elle car il était déjà 18h30, il lui expliqua brièvement ce qu'il s'était passé et lui dit qu'Emilie avait pris une balle et se trouvait à l'hôpital LARIBOISIERE. Olga répondit : - Ok j'y vais de ce pas, merci puis raccrocha. Olga ressortit donc de chez elle, elle n'en revenait encore pas que son amie avait pris une balle, seulement elle ne savait pas dans quel état de gravité elle se trouvait. Ni une ni deux elle repris son sac et ses clefs, ferma son appartement et partit. Elle prit sa PEUGEOT 1008 mis son G.P.S et roula direction l'hôpital. Pendant ce temps là à l'hôpital Emilie avait eu ses soins, ils avaient dû l'opérer pour retirer la balle qui s'était logée très loin et avait atterrie dans un os. Elle était restée un moment en salle de réveil mais comme elle allait bien , ils l'avait remontée dans sa chambre. Elle se reposait quand elle entendit qu'on frappait à sa porte. - Entrez dit elle. Son cœur commença à battre à cent à l'heure quand elle vit son visiteur Paul DUCHERE en personne. - Bonjour Emilie - Bonjour Mr DUCHERE - Comment se fait il que vous ayez prit une balle demanda t'il ? - C'est tout simple, j'étais allée faire des courses hier soir, en sortant du magasin il y avait une échauffourée, je ne savais pas de quoi il retournait, fait est il qu'à un moment j'ai entendu un sifflement que j'ai supposé être un tir de balle et je me suis dépêchée à aller à ma voiture et là j'ai entendu un 2ème tir de balle, j'ai senti une brûlure immédiate et la balle m'atteindre en pleine épaule puis me suis écroulée l'instant suivant, et après je ne me rappelle plus de rien. Fort heureusement Emilie avait pensé à cette éventualité et avait décidé d'une histoire à raconter au cas où il viendrait lui demander. Elle espérait donc en son for intérieur qu'il allait gober toute cette histoire. - Quelle histoire dit-il prendre une balle perdue c'est ce qu'il y a de pire ! - Je ne vous le fais pas dire. A priori avec sa dernière phrase se disait elle il ne pouvait avoir que tout avalé cette histoire, tant mieux pour moi. - C'est invraisemblable cette histoire dit Mr DUCHERE, - Oui dit elle, - Bon et bien est ce que vous savez quand vous revenez au bureau ? - Pas du tout le médecin dit qu'il me faut beaucoup de repos. - Il fallait s'en douter rétorqua t'il ! Bon j'espère que vous irez mieux je vous laisse tranquille, je prendrai de vos nouvelles par téléphone. - Ca marche Mr DUCHERE, je vous souhaite une bonne soirée. - Bonne soirée à vous aussi Emilie au revoir. Quant il fut parti elle attendit plus ou moins 5 mn qu'il se soit bien éloigné avant de faire : - Ouf je ne croyais jamais qu'il avalerait toute cette histoire. Elle prit son portable et appela directement le directeur DAWSON pour lui dire qu'elle avait eu la visite de son boss. - Ce n'est pas possible dit Emilie, il me fout les jetons dit-elle, il ne faut absolument pas qu'il apprenne la vérité sinon je suis finie. - Ne vous inquiétez pas nous devons aller l'interpeller tout à l'heure, maintenant que nous avons assez d'éléments, nous attendons l'aval du procureur. Il a fallu un peu de temps à celui-ci pour examiner les preuves et déterminer si nous en avions assez pour l'arrêter. Ne vous en faites surtout pas, reposez vous bien puis il raccrocha. Mr le directeur DAWSON, l'agent COLSON plus 5 autres agents allèrent interpeller Paul DUCHERE tandis que 3 autres agents allèrent interpeller le dernier larron Noé LENOIR le directeur de la BANQUE DU NORD. Ils arrivèrent à Pontoise lieu du bureau de Paul DUCHERE, ils ne mirent pas les sirènes pour éviter de l'affoler, seulement avant que nous débarquions dans son bureau il avait déjà disparu avec son ordinateur portable. Il avait probablement du nous voir arriver, il avait laissé 2 agents en bas et il avait bien fait car il avait disparu par une porte de derrière et les agents en bas le virent arriver, mais il n'étaient pas près car ils se firent avoir comme des bleus parce qu'il leur échappa et monta dans sa voiture illico. Pendant ce temps là DAWSON et COLSON descendirent à toute vitesse pour l'interpeller, mais c'était déjà trop tard, il était monté dans sa voiture et était en train de démarrer et fila à toute vitesse. Ils prirent leur voiture et filèrent juste derrière lui, et appuyèrent sur le champignon, ils roulaient à 130 km/h pour essayer de le rattraper, mais pour l'instant il les devançaient, il était en train de prendre la direction de l'hôpital LARIBOISIERE où il y avait Emilie. DAWSON envoya 2 agents là bas pour sécuriser Emilie car il pensait qu'il pouvait la tuer. Les agents arrivèrent sur place assez tôt et se postèrent devant sa chambre, mais Paul DUCHERE avait plus d'un tour dans son sac, il se déguisa en médecin en piquant une blouse dans la salle des employés, tandis que DAWSON et COLSON arrivaient tout juste sur le parking, ils montèrent les escaliers si vite qu'ils arrivèrent en moins de deux. Malheureusement les deux agent laissèrent passer le médecin alias DUCHERE, il arriva dans la chambre d'Emilie pris un coussin et tenta de l'étouffer quand DAWSON et COLSON arrivèrent sur place ils entrèrent directement dans la chambre alors qu'Emilie se débattait. - Mains en l'air DUCHERE tu est fait comme un rat, puis il lâcha l'oreiller et Emilie reprit de l'air, heureusement ça allait beaucoup mieux pour elle, tandis qu'ils lui mettait les menottes. - Tu est en état d'arrestation pour blanchiment d'argent et tentative de meurtre sur Emilie DESCHANEL, tout ce que tu diras pourra être retenu contre toi, si tu n'a pas d'avocat on t'en commettra un d'office, puis ils l'emmenèrent. - Ne vous inquiétez pas dirent ils à Emilie nous l'emmenons nous même. - Merci pour tout dit elle compatissante. Quand ils arrivèrent au bureau du FBI ils donnèrent DUCHERE à 2 autres agents en leur disant : - Mettez cet individu hors de ma vue avant que je lui fasse la peau. Ils rencontrèrent les 2 agents qui devaient interpeller Noé LENOIR et à priori ils n'avaient eu aucune difficulté à l'interpeller. - Maintenant nous avons tout le monde sous les verrous dit le directeur DAWSON ça c'est une bonne chose ! - Oui et c'est tant mieux dit l'agent COLSON , mais nous n'avons pas mis le grappin sur les petites mains dit-il. - Nous mettrons la main sur eux tôt ou tard dit le directeur DAWSON, dès qu'ils feront un faux pas nous les interpellerons.   Emilie resta à l'hôpital une dizaine de jours, mais elle fut ravie quand le médecin lui donna l'autorisation de rentrer chez elle. C'est Olga qui vint la chercher pour la ramener chez elle. Elles discutèrent à bâtons rompus dans la voiture, et Emilie lui raconta ce qu'il s'était produit, dans l'ascenseur après la fête. Elle lui donna tous les détails, jusque même au fait que c'était le coup de foudre car elle n'avait qu'une hâte, c'était de le revoir, elle lui expliqua comment elle avait reçu une décharge électrique quand ils s'étaient embrassés, mais la seule ombre au tableau c'était qu'elle ne connaissait ni son prénom, ni n'avait son numéro de téléphone. La seule chose qu'elle savait c'était qu'il était blond et qu'il était déguisé en James BOND le jour de la soirée. - Oh ! dit Olga, mais j'ai peut être la solution à tous tes problèmes ma chérie ! - Dis voir demanda Emilie, une grosse chance ou une petite chance ? - Je pense que c'est plutôt une bonne chance. - Mais c'est bien Olga, ça va ne fait pas durer le suspense trop longtemps, crache ta *valda ! - Et bien si c'est quelqu'un de chez nous , nous avons tous loué notre costume au même endroit, chez VIVA LA FIESTA dans le 12ème arrondissement et nous avons tous laissés notre nom en face du type de costume loué, il suffit de leur demander s'il y a un James BOND et quel est son nom. - Mais ils ne me donneront jamais son nom, ils vont dire qu'ils doivent conserver l'anonymat de leur clients dit Emilie. - Oui dit Olga c'est pas faux mais il faut la jouer fine si tu veux ta réponse ! Je m'explique, dis leur par exemple que tu as retrouvé un objet lui appartenant et que tu veux lui rendre.   - Mais oui ! Pour sûr tu as de la suite dans les idées Olga, je sais ce que je peux avoir trouvé comme objet, une montre ce serait parfait non ? dit-elle toute joyeuse.- Parfaitement parfait ! dit Olga en souriant jusqu'aux oreilles. Elles arrivèrent à son appartement et elle ouvrit la porte puis n'y tenant plus elle demanda à Olga si elle avait leur numéro de téléphone par pur hasard. - Non dit elle pas là, mais tu sais ma chérie il y a internet, en plus ils ont un site, tu trouveras certainement leur numéro de téléphone. Elle tapa le nom VIVA LA FIESTA dans le moteur de recherche GOOGLE et le site s'afficha, effectivement il y avait un bouton CONTACTEZ NOUS , elle y trouva leur adresse et leur numéro de téléphone. Ensuite elle composa leur numéro et une femme répondit, elle lui raconta toute l'histoire en en rajoutant un peu, qu'elle avait beaucoup de valeurs et dont le fait de rendre à César ce qui appartient à César, la femme qui devait sûrement avoir un petit pois à la place du cerveau, dit : - Mais certainement Mademoiselle, accordez moi un petit instant, je consulte mon ordinateur, au bout de quelques instants elle dit qu'elle a trouvé un homme qui était déguisé en James BOND, voilà son nom dit elle Dorian BASTIDE, son adresse 5 place de la Résistance 91286 GRIGNY. - Vous avez un numéro de téléphone s'il vous plaît ? - Oui dit-elle un portable 06.59.82.18.36, elle l'inscrit immédiatement dans ses contacts, - Voila Mademoiselle, j'espère vous avoir été utile. - Parfaitement dit Emilie, merci pour votre coopération, bonne journée. - Bonne journée à vous aussi, au revoir. - Au revoir dit Emilie. Emilie était absolument ravie, elle avait enfin toutes ses coordonnées, ça veut dire que tu les connais peut être dit Emilie à Olga. - Olga dit donne moi ton papier que je regarde son nom, Dorian BASTIDE, elle fit mine de chercher dans sa tête, et au bout d'un moment elle dit bon sang mais bien sûr il s'agit d'un homme de l'informatique, mais je ne m'en rappelais plus car il est nouveau il a été embauché il y a 6 mois ! - Et qu'est ce que tu sais sur lui ? - Et bien pas grand chose je sais qu'il est célibataire et qu'il aime le café c'est à peu près tout. - Ca qu'il aime le café je le savais déjà puis que je crois l'avoir rencontré au Mc Café Parisien. - Bon merci Olga grâce à toit j'ai eu ses coordonnées je te remercierais jamais assez d'avoir eu cette bonne idée. De rien ma chérie c'est normal, je ne suis pas ta meilleure amie pour rien. - C'est vrai en tout cas je suis aux anges ! Mais maintenant comment je vais trouver comment l'aborder ? - Ah ça dit Olga c'est à toi de trouver ma chérie. - Ok Ok je vais trouver dit Emilie, merci de m'avoir raccompagnée à la maison. - Bon sur ce je te laisse ma chérie je dois aller faire des courses, au revoir puis elle lui fit deux bises et partit.    Emilie regarda l'heure il était 18h, je vais l'appeler, allez un peu de courage. Elle composa le numéro de portable que lui a donné la jeune femme de VIVA FIESTA. - Allo répondit Dorian, - Allo bonjour je suis Emilie la jeune fée que vous avez rencontrée lors de la soirée costumée qu'avait organisée la société ou vous travaillez, il y a de cela deux semaines environ. - Oh fit-il Emilie ! je désespérais de vous rencontrer un jour, je suis tellement content que vous m'ayez retrouvé. Mais dites moi ce n'est pas vous qui avez fait tombé vos clefs au Mc Café Parisien ? - Si dit-elle mais comment avez vous deviné que c'était moi ? - C'est facile même si Paris est une grande ville, ressentir une telle électricité avec une personne que l'on touche ne doit pas être une chose très courante, et je l'avais ressenti aussi lors de la soirée costumée. - Oui moi aussi j'ai ressenti ça dit Emilie. - Vous êtes libre ce soir Emilie ? - Oui pourquoi ? - Je vous invite au restaurant, je passe vous chercher à 20 h ça vous va ? - C'est parfait pour moi, je vous donne mon adresse vous avez de quoi noter ? - Oui je vous écoute, - C'est au 12 rue des Coquelicots à GRIGNY. - Impeccable à tout à l'heure j'ai hâte. - Moi aussi dit Emilie puis elle raccrocha. Elle regarde l'heure il était 19h15, - Mon dieu dit-elle je n'ai plus que trois quarts d'heure pour me préparer. Elle commença par prendre une douche bien chaude, mais express car elle voulait avoir du temps pour se trouver la tenue appropriée et se maquiller en conséquence mais pas trop chargé. Elle regarda l'heure à nouveau à la sortie de douche, - Oh my god il est déjà 19h30 je n'ai plus que 30 minutes il va falloir faire fissa.      
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