Il a réduit en un instant la distance qui nous séparait. Je sens maintenant sa main se saisir de mon visage, en coupe. Sa poigne est toujours aussi ferme et autoritaire mais elle n’est pas douloureuse. Ses doigts exercent une pression, que je trouve douce, dans le creux de mes joues. Je perds complètement la tête parceque je me déteste à présent pour ce que ses doigts me font lorsqu’ils rencontrent ma peau. -Où ?! Me questionne-t-il durement. -Euh..c’est Francisco qui l’a, ta cargaison. Je crois qu’il nous a tous piégé. Ma cousine..moi..toi. Et ..et c’est lui qui a voulu mettre fin à tes jours quand tu t’es pris cette balle. Je vois immédiatement son front se plisser de colère. Puis il me relâche lentement avant de se précipiter de l’autre côté de la pièce. -p****n !! Je vais bute

