Le claquement de la porte me sort subitement de mes pensées. Assis lourdement sur le siège derrière mon bureau, je relève lentement ma tête, que je maintenais avec mes deux doigts, pour tomber sur cet individu qui ose troubler ma paix. -Bonjour jefe j’espère que vous vous sentez beaucoup mi- -Ferme moi ta gueule avant que je ne te fasse bouffer ta langue. Coupais-je rapidement Franco qui était sur le point de prendre des nouvelles de ma santé. J’avais bien été clair. Je n’ai pas besoin que l’on ait pitié de moi. Il se la ferme immédiatement et je peux à présent lire de la crainte dans ses yeux. Voilà. C’est tout ce que je désire. Que l’on me craigne. Il est debout. Il attend que je lui communique les ordres pour la suite des événements. Moi j’ai vraiment envi de prendre tout mon temp

