Mais avant cette vision d’horreur c’est l’odeur de putréfaction qui m’envahit. Des mouches qui dansent et qui me font immédiatement faire de grands pas en arrière. Je manque même de tomber mais je suis très vite rattrapé par lino. Et sur le coup je ne supporte pas ses mains chaudes sur moi. Il n’y a rien à quoi je puisse penser pour pouvoir supporter ce que mon cœur me fait actuellement. Je crois que je suis dans un vrai état de choc. Je repousse violemment les mains de Lino et descend rapidement les marches des escaliers. Je me penche instinctivement, puis je pose mes mains sur mes genoux avant de rejeter tout le peu d’aliments que contenait mon ventre. Je vomis le dégoût, la tristesse, le désespoir et la haine qui s’emparent de moi. Mais jambes tremblent et manque de fléchir au fur et à

