La minute qui a suivi, une rafale de balles tirées dans ma direction me fait pousser des cris. Heureusement que cette armoire est assez épaisse parce qu’autrement, une des balles m’aurait transpercé le corps. Je respire bruyamment. J’ai les mains qui tremblent. Je suis assise au sol recroquevillée sur moi même en me protégeant. Mais d’un coup, le bruit des balles s’estompe. Puis la voix de Fernando retentit: -Attendez, attendez !! Nous devons d’abord savoir qui c’est avant de faire quoi que ce soit. -NON !! On doit buter cette personne qui a oser se faufiler ici. Clame cette pourriture de Francisco. L’intervention de Fernando m’a permis de rapidement préparer l’arme de Lino que je tiens fermement maintenant de mes deux mains, en me rappelant des conseils que Fernando m’avait donné. J

