Là, c’est parfait. Mon pied se pose sur le sol. J’avance manuellement de quelques mètres avant que je ne juge bon de totalement me stopper puis j’abaisse la béquille. Je me suis arrêté sur une colline qui nous offre une vue sur la grandeur et la splendeur de cette ville qui est à présent étoilée par les lumières des maisons n’ayant pas encore éteint leur lampes. Cette ville semble si petite vue d’ici mais ce qui est plus époustouflant c’est ce ciel qui est maintenant bien dégagé. C’est vaste, sombre, sans nuages, ni traces. C’est tout simplement grandiose et il nous berce avec cette lune. Je décide de me retourner enfin. Son bras réchauffe toujours mon torse. Et je tombe sur les yeux de cette femme qui ne finira jamais de le rendre fou rien qu’avec un seul regard. Un large sourire illum

