Mate 3

1114 Words
Yong-sook était descendu rejoindre les autres employés. En entrant en cuisine il vit quelques employés préparer le déjeuner de la famille, alors il enfila son tablier et s'empressa de faire celui du jeune maître. L'amitié qu'ils partageaient depuis petit, lui avait mit dans cette position, s'occuper personnellement de lui était la chose qu'il rêvait depuis qu'il avait su pour leur lien, mais tout le monde ne voyais pas cela du bon œil. - Yong-sook ? Interpella madame jung en entrant dans la cuisine. Yong-sook arrêta se qu'il faisait et se rapprocha d'elle, elle se courba respectueusement, avant de demander poliment. - Oui madame que puis-je faire pour vous ? Madame jung sortie une feuille de papier et le lui tendit, yong-sook fut perplexe par cette demande. - Mi-jae est occupé alors j'aurai besoin que tu me trouve tout ce qui se trouve sur cette liste. Dit-elle en lui souriant. Mi-jae était la servante de madame jung, elle exécuter tout les ordres qu'elle lui donner, mais lui,ou elle parce qu'en ce moment il se trouvait être yong-sook la jeune et jolie oméga. Par moment il ne se reconnaissait pas, ho-joo ne lui considéré pas en tant que femme connaissant déjà la vérité, mais faire semblant devant tout se monde, bref nous nous égarent. Cette dame connaissais déjà le tempérament de son fils, si ce dernier venait à ne pas recevoir son déjeuner, qu'allait il faire ?, il vit du coin de œil sa mère lui faire signer d'accepter, et c'est ce qu'elle fit à contre cœur. - Bien madame. Elle lui sourit chaleureusement. - Merci ma petite Yong-sook tu me sauves la vie. Puis elle s'en alla, yong-sook soupira avant de retirer son tablier, de prend un sac de courses et se s'en aller lui aussi par la porte arrière. L'air frais en cette saison lui fit un grand bien, il leva un instant le yeux au ciel et soupira, cette dame trouvait toujours un moyens de lui donner plus de travail à croire qu'elle ne l'aimez pas. - Ah mon petit Yong tiens bon plus que quelques mois. Murmure-t-il à lui même. C'était un moyen qu'il avait de supporter tout cette mascarade, il aimait ho-joo et s'était aussi son âme sœur, mais devoir vivre dans le mensonge toute sa vie n'était pas dans ses projets. Il serra fort le papier qu'il avait entre les doigts et continua son chemin. •••••• Après un quart d'heure yong-sook était rentrer avec les affaires que lui avait demander madame jung, après avoir revêtit son tablier,il rejoignit la chambre de la dame, à cet heure ho-joo était déjà allé en cours ce qui le fit soupirer une nouvelle fois, arrivée devant la chambre de madame jung , il souffla puis porta trois coups à la porte, puis il entendit un entrée venant de l'intérieur, il poussa la porte et s'introduit dans la pièce. C'était une première fois pour lui d'entrée dans la chambre de ses employeurs, la pièce était grande, elle faisait deux fois sa chambre qu'il avait à la dépendance, il y avait un magnifique lit à baldaquin, une grande baie vitrée qui donné vue sur le jardin, et un petite salon qui ce trouvait au centre de la pièce sans parler du reste, madame jung qui se trouvait assis sur son sofa l'intima de le rejoindre ce qu'il fit. - T'as un peu tarder. Commence-t-elle. Mais bon je n'ai plus besoins de tous ça, tu peux prendre les prendre ? Dit-elle en lui montrant le sac qu'il tenait du doigt. - Mais.... Madame j'ai fait au plus vite, il y avait un peu de trafique sur le chemin du retour. Explique-t-il - Je ne t'en veux pas ma petite , tu peux tout garder. Yong-sook se sentit extrêmement humiliée, il avait fait comme elle le lui avait demandé, était-ce sa faute s'il y avait du trafic sur le chemin du retour, pourquoi cette dame lui déplacé pour ensuite ne plus utiliser ses affaires, voyant que cette dame lui regarder avec insistance, elle se courba avant de s'empresser de sortir de la chambre. Il retourna en cuisine et retira son tablier, le sac qu'il avait, il le posa sur le plan de travail. - Qu'est-ce-que c'est ? Demanda sa mère. Mais elle s'en alla rapidement sans dire un mot. Enfin hors de la maison, il s'empressa de rejoindre la dépendance, la chose qu'il voulait était de rester seule un moment. Petit il n'avait jamais eue affaires à ce genre de choses, c'était rabaissant et humiliant pour lui, certe il cacher sa véritable identité, mais était-ce une raison pour un t'elle traitement, le fait qu'il soit aussi proche de son fils,lui dérangeait-elle ? Il se laissa tomber sur son lit après avoir retiré son cardigan, ses larme ne tarda pas à coulé le long de ses joue, pendant un quart d'heure c'est ce qu'il fit, pleurer. La porte de sa chambre s'ouvrit doucement et l'intrus se rapprocha du corps du jeune homme, Yong-sook sentit le matelas s'affaisser, puis des doigts ce faufila dans sa chevelure, replaça ainsi sa mèche de cheveux. - Hyung que t'a t'elle fait cette fois ? Demanda l'intrus mais il n'obtient aucune réponse de sa part ce qui le fit soupirer. - Hyung dis quelque chose ? Se plaignit il à nouveau. Yong-sook se mit sur le dos, son regard se perdit sur le plafond de sa chambre, celle-ci était de couleur blanche, mais se n'est pas de ça qu'on parle. - Elle.... Elle m'a demander d'aller faire des courses pour elle, sachant bien que je n'avais pas terminer de servir le jeune maître et tu connait ho-joo, c'est quelq'un de très colérique, mais malgré ça j'ai accepté.les larmes commençais à coulé une nouvelle fois et il porta ses mains à son visage, cachant ainsi l'état dans lequel il se trouvait. Elle m'a fait marcher pendant des heures pour finalement me dire qu'elle n'avait plus envie de ses choses, dis-moi je ressemble à quelqu'un qui aurait besoin qu'on lui fasse l'aumône. Le jeune homme se coucha près de lui et lui prit la main, empêchant ainsi son ami de cacher son visage. - Hyung peut importe ce qu'elle fera, ne le prend pas à cœur,il ne reste plus que six mois, support encore un peu, et en plus tu n'est pas seul...je suis là hyung. - Merci jungguk... D'être là pour moi. Jungguk hocha simplement la tête, soutenir son ami était la chose qu'il savait mieux faire, il voulait lui donner tout le soutien dont ce dernier avais besoin, ainsi il pouvait compter sur lui lorsqu'il serait dans son mauvais jours, cela avait toujours étaient ainsi entre nos deux amis.
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