5. Rosalia

1251 Words
La table est devenue silencieuse après ma réponse, je n'aime pas parlé, d'elle. Pour moi, mon père est mon seul parent, il a fait tous les rôles possible sans rechigné alors que ça a dut être difficile pour lui et je trouve ça admirable. Sans lui, que serais-je devenue? Je serai sans doute, à l'heure qu'il est, dans la rue à airer pour avoir de l'argent. Je suis fière de mon père et même de son ancien travail car il a fait tous ça pour moi.  Généralement, j'évite le sujet mais là, je n'ai pas pus, tant pis.  Je croise le regard sombre de Giulian, j'adore ce prénom... Quand je suis venue ici, c'était dans l'optique de me faire de nouvelle connaissance mais de devoir donner mon numéro, quand je me suis assise à coté de lui et que j'ai découvert mon voisin de table, j'ai faillis prendre mes jambes à mon coup! Il est irrésistible dans son magnifique costume bleu marine... I surprend mon regard et il sourit, je détourne le regard et m'intéresse à la nouvelle conversation qui a prit place. Cette soirée est... pleine de surprise!  Quand une musique se fait entendre, des couples se lève et vont danser, Enzo, l'ami de Giulian à ce que j'ai compris, se lève à son tour et entraîne sa femme sur la piste. Dina et son mari y vont aussi, je reste à les regarder, ils en ont de la chance, ils doivent être heureux et ne pas souffrir. Une ombre me gâche la vue donc je relève la tête et je remarque que Giulian se tient devant moi, sa paume de sa main levé au ciel, je fronce es sourcils. -Puis-je t'offrir une danse? Je le scrute du regard puis je tends également ma main, quand ma main touche la sienne, un courant délicieux me traverse. Il a dut le sentir, lui aussi, car ses muscles se sont crispés. Je me lève et il nous emmènes sur la piste improvisé. J'entoure sa nuque de mes bras et ses mains se posent sur mes hanches, je suis prés de lui, je peux sentir son odeur m'envelopper avec douceur. -Je suis désolé... Je relève sa tête pour le regarder, je suis perplexe, pourquoi s'excuse-t-il? -Des questions embarrassante de ma sœur, elle ne s'arrête jamais. Je souris gentiment. -Ce n'est pas grave, ce n'est rien de particulier. Je hausse des épaules, la musique s'arrête doucement, je suis presque déçu mais une autre musique commence. -Je ne m'attendais pas à vous voir, ici. -Moi aussi, je ne savais pas que votre mère était ma cliente de la semaine. Il me rends mon sourire et me fais tournoyer dans les airs, monsieur sait dansé! -Vous êtes magnifique dans votre robe. -Merci, vous êtes élégant, vous aussi. -Merci, je suis finalement content que cette réception est lieux, je vais pouvoir avoir un numéro de téléphone de la plus ravissante femme. -Je pensais que je n'étais pas obligé de vous donner mon numéro de téléphone? -Bien sûr, je vais vous donner le mien, soyez en sûr. Il me décroche un clin d'œil qui me fais rougir, cet homme signera ma perte! Et moi qui pensais ne plus jamais ressentir ça... -Qui vous dit que je vais vous rappeler? -Personne mais je crois que vous le ferrais. -Ah bon? -Si vous ne serez pas intéressée, ça ferais un moment que vous seriez partis et vous ne serais pas aussi réceptive que ça. Ses bras m'encercle puis fermement pour me faire sentir son désir, et je sais qu'il peut sentir mes pointes, ponté à travers le tissus de ma robe. Je déglutis difficilement, il a raison, si je ne voudrais pas de lui, je serais déjà partis depuis un bon moment mais je n'y arrive pas. J'ai l'impression de me liquéfier en sa présence. Comme je ne réponds rien, nous continuons notre danse en silence au bout de ma troisième danse, je m'arrête et j'enlève mes bras de sa nuque mais ses mains, à lui, ne bouge pas. Je hausse un sourcil. -Où vas-tu? -Je vais aller m'asseoir car j'ai mal aux pieds et j'ai soif. -Je t'accompagnes. Je lève les yeux au ciel mais n'argument pas, quand on se rassoit à notre table, Giulia n'est plus là. Je me sers un verre d'eau et en bois une grande gorgée. Ça fait du bien de s'hydrater et d'avoir les fesses assissent. -Tiens... Il me glisse un bout de papier avec marqué un numéro, le sien je présume. Je me retourne vers lui et souris. -Merci. Je prends le petit papier et le glisse dans mon sac à main. -Tu es venus comment? -En voiture. Il soupire. -Je veux dire avec ta voiture ou en taxi? -Avec ma voiture. Je comprends bien qu'il aurait voulus que je sois venu en taxi mais dommage pour lui, ce n'est pas arrivé et de toute façon,je ne l'aurais pas laissé entre chez moi. -D'accord. -Je vais vous laissé, je suis attendus demain. Giulian fronce les sourcils, ça le rends encore plus irrésistible. -Où ça? -Cela ne vous regarde pas mais pour votre tranquillité d'esprit, je vais vous le dire. Je vais dîner chez mon père et il y aura de la famille. Il acquiesce doucement et me raccompagne jusqu'à ma voiture, il a passé son bras derrière mon dos et la paume de sa main me pousse doucement. Un voiturier va cherche ma voiture. -Faite attention sur la route. -Ne vous inquiéter pas et vous passé une bonne soirée. Le voiturier revient avec mon Audi au bout de cinq minutes, je monte coté conducteur, Giulian tient la portière ouverte. -Appelez moi... -Je tacherai d'y penser. Je lui offre mon plus beau sourire ce qui lui fais rire. -Bonne soirée, Rosalia. Je fonds littéralement quand j'entends mon prénom sortir de sa bouche, c'est tellement...sexy! -Bonne soirée à vous aussi, Giulian. Il ferme me portière et j'avance, il reste là, ses mains dans ses poches et son regard rivé sur la voiture. Je le vois jusqu'à se que je sorte de la propriété. J'ai vraiment passé une bonne soirée, Giulian est le petit plus. J'aimerai le revoir, sentir ses lèvres sur les miennes qui m'appellent de toutes ces forces, ses mains sur mon corps brûlant et haletant... Cet homme m'a toute retourné en juste une semaine.  Dès que je suis chez moi, je me lave et me couche immédiatement dans mon lit, j'aime dormir nue. Quand ma tête touche mon oreillé, je ne m'endors pas comme je l'aurais penser, non, le souvenir de Giulian fait surface. Ses beaux yeux gris, son costume impeccable qui lui allé comme un gant. Je l'imagine sur moi, ses baisé ardent. Ma main glisse au sud de mon ventre pour trouvé mon intimité, mes doigts glisse sur mon c******s qui pulse douloureusement. Je l'image bougé en moi avec de long va et vient intense, son regard de braise qu'il pose sur moi dès qu'il me voit. Je ne pense qu'à lui, j'augmente le rythme jusqu'à sentir un chaleur se répandre en moi, partant de mon bas ventre.  Quand je repends mes esprits, je suis pantelante, ça ne pas satisfaite comme je l'aurais souhaité mais c'est déjà un bon début. Que me fait-il? Je sens qu'il est dangereux mais quand j'étais dans ses bras, j'ai eu l'impression d'être en sécurité, qu'il pourrait me protéger de tout. Mais est ce que je pourrais me protéger moi, de lui? Je sombre dans un sommeil sombre remplit de cauchemar, encore et encore...
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