Partie 2

843 Words
La jeune fille priait Dieu pour que ca ne soit qu'un cauchemar, elle pleure intérieurement et ne montrait que de la peur dans ces yeux. Sa mère, elle s'en fichait royalement de ce que sa fille ressentait ce qui ne choqua pas du tout la jeune Ramata qui a toujours été détestée par sa mere... Pour la première fois depuis l'arrivée de son cher mari elle décide enfin de regarder sa mère dans les yeux pour voir si celle-ci a un peu de compassion pour elle mais elle y voit un sourire radieux. Elle se pose donc la question si elle refuse ce mariage où elle va vivre ? Pas chez sa mère quand même par ce qu'elle voudrait toujours la mariée et si elle décide de s'enfuir pour elle cela est encore plus pire. Elle savait déjà les choses qui se passait dans la rue au Mali : viol , vol , meurtre et pleins d'autre choses. N'ayant pas d'autre option elle accepta alors. Ramata : ou.... oui Mah : youyouyouyou Les invités : youyouyouyou  Après le rituel Ramata ne puis s'empêcher de laisser versé une goûtée de larme qu'elle sécha aussitôt tombé.  Bangaly : bon Maman, je crois que je vais rentrer avec la femme Mah : oui bien-sûr, je vous accompagne a la porte. Lève-toi ma fille Elle s'exécuta et les suit jusqu'à la porte toujours la tête baissée. Sa mère s'approcha d'elle et lui souffle de telle sorte que personne ne l'entende. Mah : tu fais tout ce qu'il te dit et tu lui refuses jamais ton corps compris sinon tu sais ce qui t'arrivera et tu dis à ton père que tu es heureuse La mère était déjà sous l'influence de l'argent.  Le corps de la jeune femme se glaça suite aux paroles de sa mère.  Elle était triste , elle se demandait ou était son père pour l'empêcher d'y aller avec cet homme qu'elle ne connaissait pas de vue ni de personne. Sa mère l'aide donc à entrer dans la voiture et se tourna pour faire son chemin. Ramata : papa, je t'aime et ne t'inquiète pas, je serais heureuse Baba : (en pleur ) La voiture de Bangaly commence  à rouler et après une demie heure, il déposa l'imam devant une mosquée et continue de faire son chemin pour se rendre chez lui. Il est 19 h et la voiture vient tout juste de ce garé devant une immense maison. Bangaly : on est arrivé La jeune femme toujours pensive n'entendait guère ce que dit son cher époux. Bangaly : T'ES SOURDE OU QUOI,JE TE DIS QU'ON EST ARRIVÉ. TU SORS DE MA VOITURE. La jeune femme sursaute et se dépêche vite de sortir de celle-ci. Une fois, dehors, elle suit son mari jusqu'à la porte de l'entrée et récite au fond d'elle " Âyatoul Koursi " Allâhou Lâilâha.... Mon Dieu aide-moi dans cette dure épreuve. Je te supplie de m'épauler toit au long de mes séjours ici, je n'ai plus personne à part toi. Ils rentrent dans la maison, la jeune toujours derrière son mari le suivant. Bangaly Tounkara est un marchand, il est soninké et milliardaire.  Il y a une chose que Ramata ignore, elle est la quatrième femme de son mari. Oui, Monsieur a trois femmes et toutes ces trois femmes ont eu un mariage digne de ce nom à la mairie comme à la mosquée qui est tout le contraire de Ramata. Sa mère et son oncle se sont débarrassé d'elle du plus vite pour de l'argent. Surtout son oncle qui a beaucoup a gagné, chose que c'est parent ne savent pas par ce qu'il a vendue la jeune fille Bangaly Tounkara a 38 ans et 9 enfants. Sa maison est composée d'appartements, un pour chaque femme. Il conduit Ramata au plus beau appart.  Il ouvre la porte et rentre laissant la jeune fille dehors elle se demande si elle devait entrer ou pas, elle finie par entrer à l'intérieur et découvre une maison somptueuse joliment décorée avec du noir et blanc. Elle reste arrêter un peu près de la porte et son mari vient et s'arrête près d'elle et la dévisagea. Elle reste toujours la tête baissée et sans qu'elle ne réalise, il avait déjà une main sur ces fesses ce qui la fait sursauté, mais il la tient fermement pour qu'elle ne puisse pas se détacher. Elle releva la tête et le regarde avec des yeux remplie de peur ce qui amuse Bangaly qui continue toujours à tripotée ses fesses d'une main et de l'autre ces seins. Bangaly : c'est fou comme je vais me regalé Ramata : s'il te plaît (en pleur ) Bangaly : oh, tu parles ma petite Elle essaye de se détachée, mais c'est impossible l'homme, il a une carrure imposante et mesure 1m87 ce qui fait qu'elle est trop petite face à lui. Bangaly : tiens toi droit  (en lui donnant une fessée qui la brûle les fesses) Ramata : ayiii... Bangaly : tu la fermes Il continue toujours à la tripotée, elle est habillée d'une simple robe que son mari ne tarda pas à enlevé la fermeture.  Celle-ci tombe et s'arrête au niveau de ces hanches et dévoile ces seins bien bombés et droit.  Il prit en main un sein et mit dans sa bouche en tenant voilement.   La jeune femme avait peur, mais elle frissonnai aussi. Pendant qu'il joue avec ses seins, il lui enlève sa robe, son foulard et elle se tint devant lui avec un slip. Il contemplait le corps de la jeune fille et lui ordonna d'enlever son slip ce qu'elle fait sans trop tarder par peur d'être punis.  Elle est enfin nue et Bangaly ne tarda pas à ôter ces habits à lui aussi. Il s'approche d'elle la pris par sa hanche et la colla a lu. Son engin avait déjà durci et était contre le sexe de la jeune fille. Elle avait très peur, mais son corps disait le contraire, elle frissonna comme si elle en voulait plus, mais ne voulais tout de même pas perdre da virginité maintenant surtout avec un homme qu'elle pouvait appeler papa. Bangaly : je te veux sans le foulard , tu as de très beaux cheveux Elle va perdre da virginité ? Comment se passera sa nuit de nonce ? Dans le prochain chapitre
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