VII Chaque matin, les jours suivants, le vieillard quitta le château vers onze heures et dirigea sa promenade du côté où se trouvait, dans le parc, le cottage de lady Brasleigh. Derrière son étroit parterre fleuri, la petite demeure semblait fort avenante. Cependant, rien en elle ne justifiait l’intérêt que semblait tout à coup lui porter sir Hector, qui ne manquait jamais, chaque fois, de passer devant la barrière de bois verni et d’inspecter d’un rapide coup d’œil le parterre où, généralement, jouait la petite Maud, sous la surveillance de sa nurse. Le cinquième jour, dans une des allées qui avoisinaient le cottage, il se trouva en face de Hulda qui flânait, un livre à la main. – Enchanté de vous rencontrer, lady Brasleigh. On ne vous voit plus ? Je me demandais même si vous n’étiez p

