Chapitre 113 : Noah suivait Alice avec une fidélité silencieuse, chaque pas résonnant comme une promesse dans l’ascenseur qui les menait à son appartement. Ses mains ne lâchaient jamais les siennes, jouant doucement avec ses doigts et déposant des baisers légers sur sa peau jusqu’à ce qu’ils atteignent l’étage. Devant la porte, Alice s’arrêta, le regardant avec une fermeté teintée de fatigue, tandis que le sourire de Noah ne faiblissait pas. — Qu’est-ce que tu fais là ? Aujourd’hui, je ne veux personne, dit-elle avec simplicité, presque froide. La veille, un moment de vulnérabilité l’avait poussée à chercher réconfort dans ses bras, mais aujourd’hui, elle désirait marquer ses limites. Depuis qu’ils avaient officialisé leur relation, son esprit se montrait plus prudent. Les élans de

