Les flèches de CupidonFosse où le buffalo a rafraîchi sa peau et que vide, boursoufle et dessèche un brûlant soleil, – Bûche solitaire qui se dissimule dans l’herbe épaisse, – Digue où le rat des champs a semé ses monticules, – Creux sur le bord de quelque ruisseau sournois qui coule à la dérobée, – Aloès qui poignarde au ventre et aux talons : Faites sauter par-dessus tout cela, si vous l’osez, un fougueux cheval que vous ne connaissez pas. Mais il est plus sûr de passer à l’écart, très à l’écart. Écoutez le cri qui vient de l’avant-garde où galopent les meilleurs cavaliers : « Obliquez sur la droite, les enfants ! Passez à l’écart, très à l’écart ! » (La Chasse de Peora.) Il y avait une fois à Simla une très jolie fille ; son père était un pauvre mais honnête juge de sessions et de di

