J'ai décidé de vérifier mes dits en allant le Confronter chez lui. Ce dernier n'a tout simplement pas nier et sans aucune méfiance ou gêne, il m'expliqua comment il s'y prenait et combien il gagnait. Loin de moi l'idée de me trouver des excuses. Cependant, j'eus comme un déclic qui me disait qu'avec cet argent, je pourrais subvenir aux besoins de ma sœur et de ma mère. Oumar n'était pas vraiment réceptif à l'idée d'inclure son « beau-frère » dans des histoires louches, mais il avait besoin d'une nouvelle tête non connue de la police étant donné que la plupart de ses vendeurs s'étaient déjà fait attraper au moins une fois. Et, on peut dire que je l'ai aussi menacé de tout balancer à ma sœur s'il n'acceptait pas ma requête même si j'étais maintenant contre l'idée qu'il soit son petit ami.

