Chapitre 8
Je dansai. J’élevai mes bras dans la chaleur de la nuit et je tournoyai. Mes seins tressautèrent. Le désir s’enivrait d’amour, et j’avais la chair ivre. Des envies de caresses sur tout le corps. J’entourai ma taille de mes bras, je palpai mes fesses et mes cuisses, je suçai mes doigts. Je renversai ma tête, et mes cheveux caressèrent ma descente de reins. Je me laissai tomber sur le lit. Au creux des oreillers. Il me décrit sa vie. Comme si j’étais à lui… J’écartai les jambes. Je jouai avec ma toison. Elle devint tout humide. D’un doigt, je caressai mes lèvres, pénétrai le petit trou et en explorai le velours. Raphaël ! Je t’aime ! Je gémis et enfonçai un deuxième doigt. Le plus loin possible. Mes sens s’affolaient et des larmes ruisselèrent. La douleur de trop vouloir. C’est t
