Je suscitais encore du désir ! Troublée, je m’enfuis. Je le regrettai par la suite, j'aurais peut-être passé un bon moment. Dans les jours qui suivirent, j’allai chez la coiffeuse et l'esthéticienne, je m’achetai des vêtements, je recommençai à me caresser, à fantasmer et à dormir nue dans mon lit. Mais j'aime que le désir se combine à l'amour. Je ne suis pas allée encore dans le lit d'un autre homme. Tu es satisfait ? Je me suis encore laissée aller au plaisir de te raconter, alors que toi, tu n'en as que pour l'écoute. Affectueuse Nana R. LaVérendry, 2014-09-21 À : Nathalie Séverin J'aime que tu te confies sans ambages, ni fausse pudeur. Je le ferai pour toi, un peu plus tard. Je redeviens parfois le petit garçon timide, pudique que j'étais... J'aime beaucoup ce très joli récit de

