Conversation DON PIC DE FANFERLUCHIO Comment, monseigneur, sans égard pour notre haute position sociale ! ! ! Sans respect pour notre littérature principesque ! ! ! – Oh ! rare et généreuse fierté de l’homme de lettres digne de ce nom ! ! ! – Oh ! que j’ai toujours admiré la noble indépendance du journaliste qui a pris pour devise le VITAM IMPENDERE VERO du philosophe genevois ! THÉODORE, avec un dépit concentré. Dites plutôt le NIL MIRARI de Bolingbroke ! BRELOQUE, avec une assurance qui ne témoigne pas en faveur de sa modestie. Heureusement, nous pouvons nous couvrir comme d’un bouclier de la devise de Marot : LA MORT N’Y MORD. DON PIC DE FANFERLUCHIO un peu ironiquement. En y joignant celle de Montaigne : QUE SAIS-JE ? Ou celle de La Motte Le Vayer : DE LAS COSAS MAS SEGU

