chapitre 6

1319 Words
Arriver le soir cela doit faire au moins 7 heures que je suis dans cette position, c'est-à-dire les mains dans le dos et attaché à une chaise, je ne sais pas comment je me suis retrouvée dans cette position, mais voilà... darius revient toute les heures me voir en me demandant de capituler mais sans succès de sa par et cette fois si il reviens avec un plateau à manger il s'approche de moi et pose le plateau il tente de me caressé les cheveux, mais je recule contre ma chaise et je penche ma tête en arrière il me regarde dans le vide et il remonte en montant les escaliers de 3 en 3 je regarde le plateau et je vois toute sorte de nourriture, il me détache les mains que je puisse manger mais je la jette contre le mur en un seul coup de bras je prend la chaise et la casse au sol et je vais sur une couette que je vois plus loin et je me couche au sol et m'endors. Je me réveille et je n'est plus la notion du temps cela deviens compliqué car j'ai envie de faire mes besoins et je commence à avoir faim mais je vois rien et j'ai l'impression de devenir folle avec tout ce noir , je ne sais même pas l'heure qu'il est, et la porte s'ouvre une nouvelle fois mais en grand cette fois laissant apparaitre la silhouette que je connais bien celle de darius qui viens vers moi doucement avec un plateau il regarde celui contre le mur et il me demande : - tu n'as rien mangé ? Je bouge la tête de gauche à droite et de droite à gauche et il me dit : -t'as une bouche, c'est pour parler. - pas avec toi déjà ! Je le regarde il s'approche de moi je me lève pour lui faire face il baisse sa mains me regarde avec un regard rempli de haine et sert très fort son poing, et il part en claquant la porte et remettant le hoquet que j'entends très bien temps donner le grincement que la porte fait, et d'un coup j'entends quelqu'un hurler c'est trippe de l'autre côté de la porte et ce crie tellement fort que cela m'arracha aussitôt le cœur car c'était un cri à la fois rempli de désarroi et de tristesse..Je me recouche et je commence à compté les moutons mais je ne trouve pas le sommeil car j'ai dormi pendant je ne sais trop combien de temps je commence à faire des séries d'abdominaux mais je tombe au sol à chaque fois que je fait une serie à cause que je n'est rien dans l'estomac puis d'un coup mon envie d'uriner reprend de plus belle et cette fois-ci c'était une envie plutôt urgente je marche dans le noir et je trébuche plus d'une fois sur toute sorte de chose qui ce trouve au sol et je touche avec mes mains et constate que c'est un WC je descend mon pantalon et ma culotte que je fait glisser le long de mes jambes je commence à cherché le papier WC comme si cela pouvais se trouver ici j'appuie sur un bouton et d'un coup une porte s'ouvre pour faire place au soleil : - la liberté... C'est ma seule chance ... Je pars en courant, je ne sais pas pars ou je dois partir, mais je cours aussi vite que possible, mais vue que je n'ai rien mangé depuis hier, j'ai la tête qui tourne, je n'ai même pas le temps de sortir de la propriété que quelqu'un me rattrape pars la taille et m'assomme. Je pars en courant, je ne sais pas pars ou je dois partir, mais je cours aussi vite que possible, mais vue que je n'ai rien mangé depuis hier, j'ai la tête qui tourne, je n'ai même pas le temps de sortir de la propriété que quelqu'un me rattrape pars la taille et m'assomme. Il me regarde et il me dit : - tu retournes plus dans la cave ... - tu sens bon ... -je sais, c'est ton parfum préférée je te suis depuis le premier jour où je t'es vue devant ton collège et puis je tes revue devant un magasin de parfumerie tu étais avec ton ami Lola j'ai attendu dans la voiture avec trevor le temps que tu sorte du magasin et quand je tes vue sortir je suis rentrée et je les ai tous acheter comme ça aucun autre homme sentira meilleur que moi ... - tu connaissais toute ma vie, mais moi non ... - le sens de la mafia commence enfin à rentrer dans ta tête, on dirait ... Il rigole et il réplique : -comment tu es sorti ? - j'ai été faire la commission et il y avait ... - il y avait quoi ? - une porte et au fait Darius, je crois que ... je peux marcher ... Je suis attaché à un diable et il y a une planche derrière mon dos pour mon confort personnel qui est médiocre et je suis ficelé comme un rôti avec de la corde, d'un coup, j'entends : - libère, Laura. Il me libère et je tombe au sol il m'avais remis dans la cave alors qu'il m'avais promis le contraire je cours vers le boutons qui m'avais servis une première fois et la porte s'ouvre à nouveau je regarde chaque rayon de soleil je me mets courir dans la propriété je me retourne et je vois darius qui est à la fenêtre de sa cuisine et dès l'instant ou il me vois il cesse de boire son café et crache sur qu'il avais dans sa bouche dans la tasse il passe pars la fenêtre qui est au rez-de-chaussée et se mets à courir je fait de même je suis hors de la propriété et je cours dans le centre ville en espérant ne pas mourir si darius me retrouve avant... Je siffle un taxi qui se gare directement devant moi : - la banque la plus proche ainsi que l'aéroport - d'accord, vous avez de quoi payer ? - Bien sûr Je lui demande son téléphone et il me le prête aussitôt et j'appelle mon ami qui vit en France. - c'est leur, je viens chez toi. - Laura, je n'ai rien préparé, je regrette, tu ne peux pas venir. Je vais quand même débarquer chez lui, je n'ai pas le choix, il faut que je le fuie au plus vite, j'arrive à la banque et m'empresse d'aller voir mon conseiller banquier et je lui dis : - j'ai besoin que vous videz tous mes comptes et que vous me les donnez en liquide ! - pas de soucis numéro client -09837******* - Merci, veuillez patienter. Je sors 2 minutes plus tard avec mes comptes vides, il y a en tout seulement 3 000 euros, je rentre de nouveau dans le taxi et dis : - l'aéroport s'il vous plaît... - Bien sûr ... Il m'arrête devant l'aéroport et me tend sa main je lui offre généreusement qu'il mets dans sa poche tout en souriant je sort de la voiture et je me dirige vers la borne de vente pour les billets je prend un billet pour l'avion en direction de la France et plus précisément à paris là bas il me retrouvera jamais vue le monde qu'il y a là-bas, je lui donna dans l'immédiat l'argent et elle s'empressa de calculer les billets et de regardé si c'est pas des faux Billets et elle me dis : - bienvenue à la compagnie yolies en espérant que vous passerai un bon vol ! Je passe dans l'embarquement, je souris et chuchote dans ma moustache. - pas si mafieux que ça ! Il est très con de m'avoir laissé seul sachant qu'il savait que je m'étais libéré une première fois.
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