Je monte dans une limousine immaculé noir brillante et je comprends que c'est un riche peut être un vieux à la retraite qui sais, je vais devoir trouver un moyen de fuir, il me place une arme feu en bas du dos et il me chuchote :
- je te déconseille de faire le moindre mouvement.
Je peux dire au revoir à ma liberté dans ce cas... Je vais devoir vivre avec quelqu'un de force alors que je n'ai même pas envie... Et je vais devoir lui parler, et même ... Non, je ne veux pas y penser. L'école va énormément me manquer et de plus je ne sais pas comment je vais faire pour commencer mes études d'avocate si je pars de ma ville, j'espère qu'il va me laisser continuer mes études et franchement je maîtrisais tout dans ma vie même mes notes sauf la relation avec mes parents qui pouvais être électrique malgré l'amour irrévocable que j'avais pour eux je ne sais pas si il m'ont aimée un jour ... Ce n'était pas toujours la joie dans le cocon familial car mon père frappé sur ma mère, parce que forcément la vie et dur mais on avance et l'on continue...
J'ai assez peur de cette nouvelle vie car si c'est quelqu'un de la mafia il risquerait d'être v*****t donc il faudrais mieux que je trouve un moyen de partir avant de me faire tuer dès la première seconde, et je n'est pas envie que mes parents me trouve dans le journal nécrologique je constate que la limousine s'arrête à un stop je veux ouvrir la fenêtre de la porte arrière de la voiture et remarque qu'il a mis la sécurité enfant, je refais une tentative en espérant que cette situation change mais sans succès.
Je m'enfonce dans le siège de la voiture et souffle agacé pars leur intelligence dans un élan de connerie et de panique, je regarde la route et vois que l'on passe dans une forêt la chance qui ne peut se présenter qu'une seule fois passer dans une forêt, car personne ne me retrouvera là-bas et au moins.
Je repense à ce que j'avais vu à la télévision et cette dernière solution ne fait qu'un tour dans mon cerveau, je décide de frapper contre la vitre avec mon coude, elle se brise mais des éclats reste présent, aussitôt je passe par la fenêtre je me prend un morceau de verre dans le coude pas très grand donc facile à retirer même si je souffre tout de même, et même si c'est fortement déconseillé de faire ça.
Je cours dans la forêt pour pouvoir m'enfoncer dans la forêt au maximum pour être sûr que le chauffeur ainsi que le livreur ne me retrouvent pas, mais le livreur le chauffeur me court derrière toute en m'insultant de tous les noms, il hurle :
-reviens, sale ingrate ! Attends que ton propriétaire te retrouve sale chienne.
Il se met à me poursuivre dans la forêt et je finis par les semer au bout de 20 minutes de course intensive ou je me retournai toutes les minutes même après avoir fui. Je déambule dans la forêt pendant plus de 20 minutes et quelques heures plus tard après avoir marché, je m'endors derrière exténué par cette course-poursuite.
Je me réveille il fait déjà sombre sombre et il fait légèrement froid et je vois un chevreuil qui me renifle je lève un peu la tête il me regarde et pars en courant il me jette de la terre contre mon visage je m'essuie le visage avec ma manche de veste se qui me provoque une traîner de boue très élégante sur mon visage je me relève difficilement et marche quelques pas je tourne autour de moi et je trébuche sur une pierre et tombe à quatre pattes mes genoux me brûle et son remplis de feuille morte :
- je te hais ! Sale chevreuil de merde
Une voix grave et masculine retentit derrière moi dans la forêt :
-t'a une feuille dans les cheveux.
Je me retourne et je vois l'homme qui est censé me livrer comme un vulgaire colis, il me pointe un fusil sur la tempe et se rapproche davantage de moi, mais avec un regard qui serait capable de glacer le sang, il me pointe son arme à feu et me prend part le bras fermement et il me hurle :
- tu reviens avec maintenant ça suffit pour aujourd'hui, maintenant ton propriétaire t'attend là
On rentre dans la limousine il me pointe cette fois-ci un mouchoir et un plus petit pistolet une sueur froide coule le long de mon front et dévale jusqu'au menton il me fait changer de place pour me mettre du côté gauche là où la fenêtre et encore présente je regarde la vitre pour ne rien laisser paraître mais au fond de moi je tremble de peur il me dit:
- non loin de là, il se situe une station essence, on doit juste y faire un saut rapide pour la voiture, on doit faire le plein d'essence et puis pour mon ventre crie famine
On arrive à la station, il fait le plein, il prend de quoi manger pour lui pour son ami et pas pour moi, il me pointe son arme et dit :
- tu n'as pas le droit ton propriétaire veux pas car il imagine déjà que tu es allergique à quelque chose.
Je hausse les épaules incline la tête légèrement vers la gauche et hausse les sourcils, il souffle et commence à manger, je plaque ma tête contre la vitre et écrase mon nez contre celle-là, il rouspète :
- je ne sais pas ce qui lui trouve ...
Je fais une grimace au même moment une petite fille marche dehors et hurle de peur et lâche sa sucette, j'éclate de rire ce qui fait sursauter le conducteur ainsi que le livreur, il se retourne la pointe une nouvelle fois sur moi et hurle :
- recommence encore une fois et tu n'arriveras pas à destination.
Je plaque une nouvelle fois ma tête contre la vitre, je m'amuse à faire de la buée le chauffeur dis d'une voix grave :
- tu nettoieras les fenêtres de voiture si tu continues !
Je m'endors contre la vitre alors que le jour vient à peine de se lever.