chapitre 1

1760 Words
Je me lève ce matin en ouvrant lentement les yeux toute en prenant le temps de sortir du lit quand d'un coup, j'entends la grosse voix de papa hurlé depuis le bas de l'escalier : - Laura lève toi merde ! Tu vas être en retard ! Je bondis hors de la chambre et fonce à la douche en un temps record de cinq minutes, je suis déjà sous le jet d'eau de la salle de bain miteuse du minuscule appartement de mes parents. Je sors au bout de 10 minutes sinon il coupe l'eau chaude et je devrais terminer la douche à l'eau froide comme vous l'avez plutôt bien compris mes parents pensent que leurs appartements, c'est le service de l'armée. Je m'habille d'une jupe couleur jean accompagné d'un tee-shirt blanc et d'un gilet blanc. Que j'ai acheté moi même temps donner mes jobs d'été, je prend une pomme et un café froid et je sors de la maison en direction du lycée, après 10 minutes de marche à pied constructive pour mes tibia ainsi que mes mollets, je commence à cherché lola et steven en espérant pouvoir les trouver facilement mais cela aura s'en le moindre foutu doute temps donner la foule qui se présente et se prépare à rentrer dans le lycée. D'un coup, deux personnes me sautent dans les bras pars l'arrière ce qui me fait pousser un cri de terreur. Rapidement après les embrassades et les anecdotes sur nos vacances que chacun a plus racontées, c'est-à-dire Steven et Lola et les miennes, on était nul car mes parents ne sont pas stable financièrement donc avoir 10 euros en fin de mois et un miracle et temps donner que j'ai aussi travaillé toutes les vacances. Nous nous dirigeons vers le premier cours, qui est avec notre professeur principal, on se range devant la salle et l'on regarde autour de nous pour trouver des visages familiers, mais sans succès, on se tape la même classe pourris que l'année dernière et aucun nouveau ça promets d'être long cette année... Je suis en cours avec lola et Steven et cela fait 20 minutes que je suis presque à m'endormir sur mes cahiers un filet de bave coule sur le long de mon nouveau cahiers car c'est cours là j'ai plus les travailler pendant les vacances après avoir été travailler temps donné que m je suis une élève très assidue et très intelligente car je veux devenir avocate, Steven me montre un garçon du bout de son doigt et me dis : - il est trop beau le mec-là pas vrai ? - son fait trois ans qu'il est dans notre classe Steven - oui, mais ... - il n'y a pas de mais ... je ne veux pas être une de c'est fille pathétique qui s'accroche à un homme et n'avoir aucune indépendance émotionnelle et psychologique. je repose ma tête sur mon cahier pour continuer mon sommeil toute en pensant que de ne pas avoir d'attache avec un homme ou même une femme car sa fini toujours de la même façon trahison ou déception donc forcément vous vous doutez bien aussi que je n'ai pas de copain et donc vous vous doutez bien aussi que je suis la seul vierges de cette école remplie de fille qui n'en sont pas a leur coup d'essai, qui en plus de son bourré de fric, alors que m'a mère et infirmière et fait des heures supplémentaire pour subvenir à nos besoins et quand à mon père il et éboueurs pour notre ville. Une blonde platine, avec un déhanché qui peut faire penser à une péripatéticienne avec des ongles manucurés rouge vif elle s'arrête devant moi me regarde d'hôte en bas du haut de ses talons blanc, elle me dit : - la petite vierge de l'école n'a pas encore eu d'acte sexuel ? - désolé de ne pas être en chaleur comme les chiennes en plus c'était la saison ? mais toi tu a plus en profiter et en profondeur en plus non ? - Tu insinues quoi p*****e ?!! - rien, je ne s'insinue pas que tu es une chienne - pff elle tourne sur ses talons aiguilles d'un peu près 10 cm de hauteur de couleur blanche, et lorsqu'elle pivote sur elle même je me prends ces longs cheveux contre mon visage, mais avant même qu'elle ne parte je lui dis : - attends tu as un nœud dans les cheveux ? Je sors mon ciseaux de mon sac d'école ainsi qu'une brosse, je lui dis qu'elle a un nœud et se retourne pour que je puisse lui démêler elle crois que je suis une coiffeuse pas de soucis, je vais vraiment faire la coiffeuse alors ... Je prends le ciseau en main et fais attention à ne pas couper mes cheveux parce que oui, le karma existe, je lui coupe une bonne partie de ses cheveux qui se trouve à gauche et je lui dis : - c'est bon ! -merci. Je tiens toujours sa longue chevelure dans mes mains, mais avant qu'elle ne parte, je décide de lui laisser un souvenir, je sors un élastique de ma poche et enroule l'élastique dans cette chevelure. - attends, tu as oublié quelque chose ? Je lui prends rapidement la main. - quoi ? Je lui donne ses cheveux, je rétorque avec enthousiasme : - tiens !! - mes cheveux ! Je fais demi-tour et je m'en vais après avoir ri de son malheur pendant une bonne vingtaine de minutes. Pendant que Lola déclaré haut et fort qu'elle n'aimerais pas être mon ennemi. Il est 9 h du matin et actuellement je suis entrain d'étudier le pacifisme en classe quand ma mère décide d'appeler sur mon numéro de téléphone à plusieurs reprises et en plus en plein milieu d'un cours agacé par la sonnerie qui et tous sauf cool je décide de couper la sonnerie de mon téléphone et je reçois une tonne de message de toute sorte je lève la main à contre coeur et dit : - monsieur, il faut que je décroche... Ma conscience me chuchote : Trouve une excuse Laura ! Tu es futé non ? - C'est à propos de mon frère, il a été hospitalisé pendant la nuit, il risque de mourir. Ma conscience chuchote : Mais tu n'as même pas de frère ... Le professeur me répond : - vous pensez que je suis bête ? Vous n'avez pas de frère, c'est marqué sur votre dossier scolaire. Ma conscience : Tes pas si intelligents que ça alors. Je sors du couloir sans rien dire et sans donner de justificatifs et je décroche mon téléphone, ma mère me dit : - Laura rentre à la maison. - pourquoi maman, c'est important ? - oui. - je rentre entre midi alors - non - À tout à l'heure maman - non - quoi ? Il se passe quoi ? - rentre, c'est un ordre, je suis ta mère. Je raccroche et rentre dans la classe et je range mes affaires, le professeur hurle : - vous faites quoi, Laura ? - je range mes affaires ça ne se vois pas ? - qui vous permet de ranger vos affaires ? - moi, c'est le principal non ? Je passe à côté du professeur sans lui lancer un seul regard et sors du lycée rapidement et je cours et les 10 minutes de marche à pied se transforment en 5 minutes de course contre la montre, car la dernière fois qu'elle m'avait appelé comme ça, c'était pour me foutre une grosse claque après que notre chien Charlie cassé le vase de famille. je cours devant la porte d'entrée et rentre doucement pour éviter le bruit car visiblement il n'y avais aucun bruit je n'entend même pas Charlie ce qui m'inquiète d'avantage car il aboie comme un fou dès que je rentre normalement je m'avance toute en me méfiant et je pénètre dans le salon lentement et j'y trouve plein de gens vêtus d'une chemise blanche et des vestes en cuir noir j'aperçois ma mere ainsi que mon père à genoux à la merci de c'est gens avec une arme pointé sur leur front deux hommes qui on leurs doigt posé sur la gâchette et qui sont prêt à tiré à tout moment quelqu'un ce place directement derrière moi et place son avant bras sous ma gorge je me debat mais sans succès je hurle de me lâcher mais sans succès. Car l'homme qui se trouve derrière moi n'est pas prêt de me Lâcher. - pas besoin d'avoir peur, on va juste vous poser une question ! Dans un sanglot, je finis pars dire : - oui ? - voulez-vous, vous marié avec quelqu'un pour sauver vos parents. - non Maman se met à hurler : - laura s'il faut on te traîne par les cheveux ! On le ferait sans hésiter donc arrête de nous défier pour une fois dans ta vie ! L'homme derrière moi répond : - de toute façon, ce n'était pas une question, c'était un ordre. - à quoi cela sert de me poser la question alors ? L'homme répond d'une voix sombre : - j'appuie sur la gâchette ? - Laura si tu ne te maries pas avec l'inconnu, on meurt ! - vous préférez gâcher ma vie et sauver vos fesses plutôt que de faire ce que j'ai envie ! - oui, s'il faut, on te vend donc Laura pense à nous, on a trop de dettes. Ma mère a les larmes aux yeux et pour la première fois, j'ai mal, mais cette fois, je ne dois pas céder, c'est mon avenir... - et puis quoi encore ! Vous me forcez à me marier avec quelqu'un que je ne connais pas. - tu vas apprendre à le connaître et à sûrement l'aimer ! - hors de question L'homme par derrière moi me mets un liquide sur un tissu je me debat comme je peux et respire fort du au mouvement très rapide mais du au produit qui et disposer sur le tissus je m'endors lentement avec mes narines qui brules comme si on me mets du feu sous les narines je commence à m'endormir mais dans des paroles aussi vague que le bruit de la mer j'entends ma mère dire : - elle sera parfaite pour votre chef maintenant laissé nous vivre. J'essaie de reprendre mes esprits, mais il revient avec le tissu et dit à mes parents : - elle doit dormir. Durant le trajet, le patron en a décidé.
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