Chapitre 2

765 Words
C’est samedi matin. Léa descend du train, impatiente de retrouver Thomas. Elle attrape son sac, traverse la ville en bus et finit par arriver devant l’immeuble de Thomas. Elle sort les doubles des clés de son sac, sourire aux lèvres, et entre discrètement dans l'appartement. Le lieu est calme, baigné dans la lumière du matin. Elle sait que Thomas est encore au lit, profitant de son samedi pour se reposer. Léa enlève doucement ses chaussures pour ne pas faire de bruit, puis se dirige vers la chambre de Thomas. La porte est entrouverte, et elle aperçoit Thomas, allongé, profondément endormi, une couverture à moitié tirée sur lui. Elle avance silencieusement et s’assoit doucement sur le bord du lit. Léa se penche vers lui, ses cheveux effleurant son visage. Elle dépose un léger b****r sur sa joue, puis murmure près de son oreille. _Léa : "Réveille-toi, mon cœur... Je suis là."chuchota-t-elle avec tendresse Thomas bouge légèrement, un sourire se formant sur ses lèvres avant même d’ouvrir les yeux. Il sent la présence de Léa, sa chaleur, l’odeur douce de son parfum. Lentement, il ouvre les yeux et la voit, assise près de lui, son regard plein de douceur. Thomas, à moitié endormi,souriant :"Est-ce que je rêve, ou est-ce vraiment toi ?" Léa (riant doucement, passant sa main dans ses cheveux) : "Non, tu ne rêves pas. Je suis là, pour de vrai." Thomas se redresse un peu, encore engourdi par le sommeil, puis tend les bras vers elle pour l’attirer doucement contre lui. Thomas, murmurant: "Le meilleur réveil de ma vie…" Léa taquine, tout en se blottissant contre lui : "Je me suis dit que je pourrais bien te surprendre. T’es content de me voir ?" Thomas, avec un sourire tendre, ses bras autour d'elle : "Tellement content. J’attendais ce moment toute la semaine… Tu m’as manqué, Léa." Léa, lui caressant doucement le visage :"Toi aussi, tu m’as manqué. Mais maintenant, je suis là. Et on va passer un super week-end ensemble." Ils restent un moment dans cette étreinte, profitant de la présence l’un de l’autre. Puis, après quelques instants, Léa se redresse légèrement. Léa, avec un sourire complice :"Allez, je vais poser mes affaires et te préparer quelque chose à manger. Tu dois avoir faim après tout ce sommeil." Thomas la regardant tendrement: "Tu lis dans mes pensées. Mais tu es sûre que tu ne veux pas te reposer un peu d'abord ? Tu viens de faire un long trajet." Léa, secouant la tête avec détermination) :"Non, non. J’ai trop envie de te gâter ce matin. Et puis, j’adore cuisiner pour toi." Elle se lève, ramasse son sac et se dirige vers la cuisine. Thomas la suit du regard, toujours ébahi par la douceur et l'attention qu'elle lui porte. Léa entre dans la cuisine, pose son sac sur une chaise et commence à sortir quelques ingrédients de son sac : des œufs, des tomates, du pain frais et une petite boîte de fraises qu’elle avait spécialement achetée pour eux. Thomas, toujours avec une couverture sur les épaules, la rejoint dans la cuisine. Il s’appuie contre le cadre de la porte, un sourire amusé sur les lèvres. Thomas, doucement: "Tu as tout prévu, hein ?" Léa, en train de fouiller dans un placard pour trouver une poêle : "Évidemment. Je ne pouvais pas venir les mains vides." Elle allume le feu, commence à battre les œufs dans un bol. Thomas s’approche et passe doucement ses bras autour d’elle, l’embrassant sur la tempe. Thomas d’un ton doux : "Tu sais, rien que le fait que tu sois là, c'est déjà tout ce dont j'ai besoin." Léa, souriant, en tournant légèrement la tête pour le regarder : "Tu dis ça pour que je te laisse cuisiner à ma place, c’est ça ?" Thomas riant doucement : "Non, c’est juste la vérité. Mais maintenant que tu le dis, je pourrais bien t’aider…" Léa, se retournant pour faire face à lui, taquine : "Pas question. Toi, tu t’assois et tu me laisses faire. Je m’occupe de tout." Thomas lève les mains en signe de reddition, puis va s’installer à la table, la regardant préparer leur petit déjeuner avec soin. Thomas, la regardant avec tendresse : "Je suis vraiment chanceux de t'avoir, tu le sais ?" Léa, en souriant, tout en faisant sauter les œufs dans la poêle : "Et moi, je suis heureuse de pouvoir être là pour toi. Tu rends tout tellement facile, Thomas." Ils échangent des regards complices, et l’atmosphère est douce, paisible. Ils savourent ces moments partagés, où chaque geste est empreint de tendresse et de complicité.
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