Episode 2: Du courage

1444 Words
J’arrive devant le lycée, j’était la seule, personne n’était encore arrivé, je décide de m’asseoir sur l’un des banc qui ce trouvais dans le parc d’en face, puis je repense à ce garçon, Haron, il était gentil, certes, mais que faisait il dans notre immeuble, je ne l’avais jamais vu auparavant. Shirine : Alors comme ça tu ne répond pas à mes appels Je sursaute, je ne l’avais ni entendu, ni vue, elle ce met à rire, elle m’as fait peur et sa lui faisait rire, elle s’assit finalement à côté de moi, je n’avais pas l’envie de discuter, et elle le savait, alors elle la mise cette chanson, notre chanson, « supermarket flowers », le marché des fleurs, une mélodie tellement douce, elle m’attristais aussi. Shirine : Allez Camilia tu as peur, c’est ça ? Shirine : S’il te plais parle-moi, dis quelque chose, je n’aime te voir comme ça, tes yeux sont rouges Elle me prend dans ces bras, violement, comme si à mon tours j’allais m’en allez, j’aimerais tellement partir moi aussi, rejoindre mon frère, le prendre dans mes bras, lui dire que je l’aime, le regarder dans les yeux, caresser son visage, il est partit et il as emmené avec lui cette lanterne qui nous éclairais tous, mais je sais aussi que je n’avais pas le droit de punir une nouvelle fois ma mère et mon père de cette souffrance, ils voulaient que je soit forte, que je lui ressemble et que je le rende fière de la où il était, un ange, au ciel, il me surveillait et à lui aussi je devais lui prouver que j’étais forte. Shirine était toujours accroché à mon cou, comme un petit singe, un petit serpent, je l’aime tellement, alors je répond à son câlin, et je sentis son étreinte ce resserrer autour de moi, cette fille était tellement gentille et adorable, elle as fait tellement de chose pour moi, je lui en redevait tant moi aussi, la moindre des choses était elle aussi de la soutenir dans cette rentrée qui je le sentais s’annonçais pénible, je dois me relever, et retrouver le chemin de ma vie, je ne pouvais pas éternellement vivre ainsi, dans les larmes, le silence. J’ai un jours vu une phrase qui disait qu’une personne pouvais mourir de chagrin, je ne l’avait pas cru, je m’était dit que c’était impossible, puis j’ai ri, et maintenant, maintenant je le sais, tout es vrai, la douleur peut tuer, combien de foire j’ai cru que j’allais mourir tellement j’avais mal, tellement mon cœur ce torturait, la souffrance est abominable, je devais donc me relevé, il n’était plus là, Reda n’est plus là, je devais essayer de tourner la page, ce seras dure, je le sais mais je le dois. Moi : tu vient ont va au lycée, j’ai peur, imagine quelqu’un me reprend pour cible, je sais pas pourquoi les gens me veulent autant de mal, je ne calcule personne pourtant, mais ce Haron lui il est bizarre Elle ce détache de moi et me regarde, j’avais parler trop fort, mais je pensais à lui, il était tellement beau, c’est limite comme ci il n’avait jamais exister Shirine : QOUUIIIIIII, mais c’est qui Haron, Moi : je sais pas c’est un nouveau dans l’immeuble, j’était assise sur les escaliers et il m’as demander si j’avais besoin d’aide Shirine : nonnnn allez dit moi tout il est beau, vous allez vous revoir, il t’as donner son numéro, Je la regarde, elle divaguait totalement, mais la voir aussi curieuse me faisait rire, je pensait à faire durer le suspense ou à lui abolir son rêve de me voir un jour en couple, ce qui ne risquait pas d’arrivée, je pense simplement que ce gentil jeune homme à eu pitié de moi et de ma face de truand pleine de crotte de nez, je devais faire tellement peine à voir, alors je préférais abolir son rêve, sinon je risquerais d’entendre mille est une question durant toute la journée. Elle risquerais donc d’être longue, très longue même ; Moi : Non arrête de rêver qui va vouloir de moi, abuse pas, il m’as juste tendu un mouchoir pour que je nettoie mon nez qui coulait à flot et il c’est barrer, imagine toi la scène, j’était assise au sol, le nez qui coule et les yeux rouge, il as juste eu pitié de moi, Shirine : tu sais pas imagine sa été le coup de foudre pour lui, AHHHH ma coupine je t’en supplie prend soin de toi tu es tellement belle, c’est du gâchis. Je la regarde et je lui rit au nez, moi belle, je ne crois pas, si j’était belle jamais je ne me saurais pas faite autant taclé l’année dernière, et jamais ce qui est arrivé ne serait arrivé, je me rappelle de toute ces préventions que les adultes faisaient contre le harcèlement, ils se croyaient tous innocent, ils étaient juste des victimes des faibles, ils ce défendaient, ou ils rigolaient justes avec eux, en les bousculant, en les insultants, en les frappants, mais c’était juste pour rire, disait-il, et les surveillants riaient eux aussi, ils étaient amis avec les brutes, ils s’entendaient bien, alors ils ne disaient rien, ils voyaient toutes les scène ce passer mais il ne disait jamais rien, au début je n’était pas une des victimes, j’avait réussi à me faufiler, à me faire passer entre les élèves sans me faire remarquer, et je voyais de loin, cette fille, au cheveux roux et taches de rousseurs souffrir à chaque instant de sa journée, parce qu’elle était rousse, parce qu’elle ne rentrais pas dans le code de la société, belle est maquillée, parce qu’elle ne s’habillait pas comme toutes ces filles populaires, elle ce faisait insulter, parce qu’elle était différente, et j’était comme elle, mais moi j’avais réussi à me cacher elle non, puis j’en ai eu marre, les larmes ne quittaient jamais son visage, jours après jours elle pleurait et elle avait peur, alors elle as sautée, ces parents l’ont retrouvée pendu dans sa chambre, lorsque la directrice du chercher un accusé pour les parents de la pauvre fille, personne n’avaient levé la mains, personne ne la connaissait, ils avaient dit qu’elle était très solitaire, qu’elle ne parlais à personne, tout le monde disait la même chose, alors que tout le monde savaient que cela était faux, c’étaient ces brutes de la classe, ces gens sans humanité et plein d’orgueil qui l’avait mené à commettre cette acte atroce, à chaque fois que je me souvient de ce qui c’est passer ensuite mon cœur pleure, mon cœur crie, Shirine : Sava, tu viens ont va devoir y allez l’école à ouvert ces portes, ont va devoir y allez, et ne t’inquiète pas je suis avec toi, et je ne t’abandonnerais jamais Moi : d’accord Shirine : Je te le promet Je me lève alors de mon banc et je la suis, nous entrons dans l’établissement, certain visage m’était familier, d’autre moins, après ce qui c’était passer l’année dernière de nombreux élèves avaient décider eux aussi de quitter l’école, certains disaient ne pas ce sentir en sécurité, d’autres voulaient fuir la responsabilité de leur acte, mais moi, je ne pardonnerais jamais à tout ceux qui m’ont menée jusqu’as maintenant, qui m’ont mis face à ce désespoir sans fin, la douleur, la souffrance et la culpabilité était devenu mon quotidien, je n’avais pas ri de plein cœur depuis bien longtemps, je n’étais plus celle que j’avais été avant, ils ont réussi à me briser, à vie, ils m’ont pris, m’ont jetée comme un vase en porcelaine, moi, ma famille, jamais nous ne lui pardonneront, jamais. Shirine : Allez ma belle on y va J’avance doucement pour allez vers les tableaux ou était affiché les classes, nos noms à moi et Shirine étions dans une même classe, puis soudain je vis un nom, Haron, je regarde Shirine qui elle aussi me regardait, Shirine : c’est ton Haron Moi : Déjà c’est pas mon Haron et ensuite sa m’étonnerais que ce soit lui. Je le regarde, elle était dubitatif, mais si c’était réellement lui, que vais-je faire, j’avais dit que je ne voulais plus le revoir, cette année commençais déjà mal, et j’avais peur de la suite, j’avais ce présentiment qui me hurlais que je vais devoir me préparer au pire, et que je devrais faire attention. Nous allons ensuite chercher notre emploi du temps, mais en chemin je le vis, debout, face à elle, une fille aux cheveux lisse coupé court en carré, Shirine me vit fixée quelque chose, elle ce mit elle aussi à fixer cette chose, Shirine : NONNNNNNNNNN
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