4-Graham Manchester

2172 Words
Quel bonheur de pouvoir m'assoir à cette table et de la voir travailler ! Je prends un malin plaisir à la déranger à chaque fois qu'elle passe devant ma table. au départ, je voulais juste m'excuser pour mon comportement comme Le Duc me l'avais demandé, et puis il t'a eu cette situation vraiment affreuse, qui a permis à ce qu'elle me laisse venir la voir à son lieu de travail. Bon pour un début c'est pas trop mal. Vous pourriez penser que l'air que je lui ai donné, était pour bien me faire voir à ses yeux mais non. Moi même j'ai été dans ce genre de situation. J'ai vécu la mort de ma mère, toujours à cause de la drogue, et je ne souhaite à personne de vivre celà. Quand on nous voit dans nos voitures de luxes, habillés en Prada, souriant d'un air arrogant et hautain, on Pourrait croire que notre vie est toute rose. Mais non J'ai tout le temps l'impression d'être enfermé dans une cage dorée. Étant le seul fils du gouverneur, je dois me montrer discipliné, gentleman, class être toujours soigné, faire attention à mes fréquentations, participer à des déjeuners de bourgeois, des jeux de bourgeois, des soirées de bourgeois. tous des faux culs, qui te disent ce que tu veux entendre pour gravir les échelons. tous des hypocrites !! Et mon père est le pire de tous Ma mère n'a jamais aimé mon père. Étant l'héritière d'une grande famille du Canada, elle a été forcée de se marier à Mr Manchester, le Gouverneur pour avoir leur nom dans le gouvernement. Elle s'est donc réconforté dans la drogue, et est morte par overdose. Bien évidemment, dans les journaux on a parlé de cancer en phase terminale. Tout pour soigner les apparences. - si tu veux continuer à reluquer ma collègue paye autre chose à manger beau gosse. je relève la tête et tombe sur une bimbo blonde avec du cilicone sur toutes les parties où l'on pouvait en mettre. - c'est bon j'ai fini j'y vais tenez. je lui tend un billet de 100 $ et je m'en vais sans dire au-revoir à Ezer. çà va la faire rager et je serai fier car ça voudra dire qu'elle aussi m'observait. De toute façon j'avais rendez-vous avec Jamila. Elle voulait absolument me voir après une heure de route, j'arrive dans leur grande propriété dans le style oriental et me dirige vers sa chambre. Elle était nue et allait s'habiller. - je suis là - oui je t'ai vu entrer. où était tu Graham ? j'étais chez tes potes et tu n'y étais pas. - ma vie sociale ne de limite pas seulement à notre cercle d'amis - ah ouais ? alors t'es allé voir qui? - une amie. je m'avance vers elle Ses seins étaient déjà bien debout. Jamila est une passionnée de sexe. Mais elle a un corps sur lequel je ne fantasme pas vraiment. Elle est vraiment bonne certe, mais je ne le suis jamais levé à la vue de son corps. il me faut toujours des pipes pour pouvoir me mettre dans le mood. Elle est élancée et toute fine avec des fesses en coeur et des seins tout rond. ce qui n'est pas mon genre. avec une peau blanche comme la neige Par contre Ezer a une peau matte superbe. des lèvres pulpeuses et cul à tomber par terre. des seins bien dessinés et pas très gros. une taille parfaite et un charisme à en couper le souffle. Tout ce que j'aime. - si je suis là c'est pour te b****r pas vrai ? t'es en chaleur. t'es en manque et tu veux voir je te chevauche comme la chienne que t'es - t'es pas obligé vde dire çà de cette manière.. elle me touche le pantalon - c'est ce que je pense et tu say très bien que je ne lâche pas les mots. tu devrais t'habituer depuis le temps. dis-je en lui tirant le téton puis je m'assois sur le sofa qui se trouve dans sa chambre, et attend qu'elle vienne faire son job. Elle ne se fit pas prier. Une fois la ceinture défaite, elle mit mon membre dans sa bouche. Elle est très douée. Elle sait comment me réveiller. Après une bonne branlette, je la relève et la retourne pour la pénétrer sans pitié. Elle a toujours aimé la brutalité. je fais des vas et viens v*****t et rapide. puis je la retourne vers moi et je me retire. - Mets ton hijab. - j'ai jamais compris ce fantasme chez toi Graham. - çà me donne des frissons de te voir soumise avec çà sur la tête. mets le Elle s'exécute et se met face à moi. je la pénètre face à moi et j'éprouve un réel plaisir à la voir se tordre de plaisir et demander encore plus w avec son hijab sur la tête. Je défonce une arabe avant le mariage, et ça m'excite. l'interdit m'excite. J'attrape son coup et entre encore plus profondément en donnant un coup v*****t. je ressors immédiatement quand je vois du liquide s'échapper de son vagin en jet d'eau. Femme fontaine. Elle jouit toujours avant moi. Elle se met à quatre pattes sur le lit, et me s**e jusqu'à ce que je lui déverse ma semence sur le visage. - j'y vais. - Quoi déjà ?! reste. - j'ai des choses à faire Jamila. - tu ne m'aimes pas Graham - c'est pas une première. - pourquoi t'as accepté de l'épouser alors. - t'as toujours pas compris que j'ai pas eu le choix, mon père ne m'a même pas laissé donner mon avis. je ne t'aime pas et je ne t'aimerai jamais. ils nous ont lit ensemble pour pouvoir agrandir leur fortune personnelle. il s'agit toujours d'eux, mais jamais de nous. je sors du domaine et le redirige vers le café' elle doit déjà être sortie. - salut princesse je te dépose ? - Graham... elle me regardait toujours en roulant les yeux - désolé d'être partie précisément - j'avais même pas remarqué que t'étais plus là. elle avance et me laisse planter là - hey vas-y monte je te dépose - j'y vais à pieds .. elle s'éloignait déjà trop. et j'ai pas eu le choix que de la suivre et de laisser ma voiture là. et c'est ainsi que l'on passa la fin de journée ensemble. et comme à son habitude, elle refusait que je voye où elle vit, et même de me donner son numéro de téléphone. les 2 semaines avant la rentrée passèrent très vite. je passais la majeur partie de mon temps avec Ezer et plus j'étais avec elle, plus je m'attachais à elle. je découvrit avec elle la vie de prolétaire. ce qui se passait dans les bas quartier. et j'étais heureux d'apprendre tout çà. découvrir de nouvelles choses, çà m'excitait grave !!.. j'étais comme un enfant devant un magasin de jouets. cette fille commençait sérieusement à me plaire. on allait rendre visite à sa mère tous les jours. Mais la réalité me rattrapa très vite. - du coup tu vas étudier où ? - je te le dirais pas. dit-elle en suçant sa glace - je suis pas un psychopathe tu sais, je veux juste- - venir le chercher à la fin des cours pour passer le temps ? non merci. j'ai un examen à avoir cette année et je ne veux pas de distraction. - tu sais l'école et les examens çà fuit pas. - pour toi non. mais pour moi c'est la seule chance pour moi d'avoir un avenir meilleur - d'accord j'insiste pas... mais je peux quand même avoir un bisou d'adieu ? vu que l'on ne va plus se revoir. ton service au café est terminé et les cours reprennent demain. elle hesita énormément, mais se laissa enfin aller, et avec ses 1m60, souleva ses pieds pour être à ma hauteur et le faire un bisou sur la joue. Mais j'en profite pour le tourner au même moment et lui attrapa les joues avec mes mains pour l'embrasser pleinement. elle fut surprise et lâcha sa glace pour m'arrêter les bras. elle se débattait pour que je la lâche. mais je n'en fit qu'a ma tête et je la pris encore dans mes bras. - Je crois que je t'aime Ezer. Je sais que c'est pas réciproque et que tu vas sûrement le détester après ce que j'ai fait ,mais s'il-te-plaît laisse moi profit encore un peu de ce câlin. Elle ne se débattu plus et s'éloigna délicatement de mes bras, pour m'embrasser d'elle même. je me sentais comme un enfant qui venait d'avoir son premier b****r et là, il se mit à pleuvoir. - merde !! je suis pas sorti avec la voiture... - viens j'habite pas loin d'ici... - t'es sûr? t'as toujours refusé que j'arrive chez toi - tu viens avant que je ne change d'avis ? je l'ai suivi jusqu'à un immeuble délabré. çà allait être là première fois que j'entre dans ce genre d'immeubles Bizarrement, l'intérieur de leur appartement est très propre, bien rangé. Malgré le peu de meubles présents il est chaleureux. mais moi je ne vois qu'elle, dos à moi, les cheveux trempés qui lui tombe sur le visage, son t-shirt mouillé qui laisse voir son soutien gorge. Je le sens durcir dans le pantalon.... J'ai tellement envie d'elle Je tente le tout pour le tout et tantpis si elle me repousse au moins j'aurai eu un baisé de sa part. Je m'approche d'elle et l'attrape par la taille. je la retourne vers moi et l'embrasse de plus belle. elle ne me repousse pas. ses lèvres sont si bonnes. j'ai des frissons dans tout le corps. je la porte et l'emmène dans la chambre que j'avais repéré en entrant, puis je la dépose face à moi. - je ne veux pas t'obliger à faire quelque chose que tu ne veux pas. - je suis vierge.. c'est un choc. Ma règle d'or, ne jamais coucher avec une vierge. car vos destins seront liés pour toujours. et j'y crois dur comme fer... l'on premier b****r c'est toi qui le l'a donné. alors autant en finir avec la même personne. - tu veux le fais par expérience et non par consentement - je veux le faire avec toi. - tu ne ressens rien pour moi. tu dois le faire avec quelqu'un que tu aimes et qui t'aime pour que vous soyez lié à jamais - je n'ai jamais dit que je ne ressentais rien pour toi. tu as dit que tu m'aimes. alors pourquoi aurais-tu peur d'être lié à moi. elle avait retiré son haut et déboutonné son jean boy friend qui tomba directement au sol. ses formes m'excite encore plus. Je ne me fais pas prié pour pour l'embrasser encore et encore tout en me déshabillant aussi. je défais son soutien avec délicatesse, et retire sa culotte tout en lui bisoutant les jambes, puis les cuisses, pour déposer mes lèvres sur son vagin, et la lécher comme je ne l'ai jamais fait. elle gémit de plaisir et sa respiration s'accélère. Magnifique. je remonte vers ses seins, et les embrasse plus que jamais. j'ai des papillons dans le ventre. je n'ai jamais ressenti çà. .Elle est mienne. Elle s'offre à moi... Je suis l'homme le plus heureux du monde. Je me mets au dessus d'elle et la regarde droit dans les yeux. Et je le suis rendu compte, que j'aimais cette fille et je ne la connaissais que depuis un mois... - je t'aime Ezer j'avais une telle facilité à le dire.... mais elle ne me répondait pas... je le respecte. le faite qu'elle m'offre son corps prouve déjà tout. je l'embrasse tendrement, avant de la pénétrer avec toute la douceur du monde. elle me griffa le dos, à cause de la douleur. puis je m'arrêtai pour l'habituer à mon membre. Et lorsque je la sentis decrispée, je me retire, pour entrer encore et encore jusqu'à ce qu'elle se sentir à l'aise. le rapport était électrifiant. on se regardait droit dans les yeux. j'étais au paradis. et on l'a fait jusqu'à ce que la pluie s'arrête. j'étais son premier, et j'aurais aimé être le dernier. mais la réalité nous rattrape très vite. j'embrasse une dernière fois son corps nu face à moi avant de me rhabiller.... elle l'a demander de ne jamais revenir ici. Je respecte sa décision. De toute façon, nous ne sommes pas du même milieu. il n'aurai existé aucune relation entre nous.... Mais je ne considère pas cette soirée comme un coup d'un soir. non.. c'était plus que çà. Pour la première fois de la vie, je peux dire que j'ai fait l'amour, au sens propre du terme... Pour une fois que j'ai de vrai sentiments, il faille que cet amour le soit interdit. Mais l'interdit... çà m'excite.... malheureusement cette fois ci, je ne pourrai pas en faire qu'à la tête. - au-revoir Ezer.... dis-je en sortant de l'appartement - adieux Graham m'a-t-elle répondu
Free reading for new users
Scan code to download app
Facebookexpand_more
  • author-avatar
    Writer
  • chap_listContents
  • likeADD