PARTIE :2

2689 Words
J'étais déjà excitée quand il m'a dit: —Serge :« Tu es sûre de ce qu'on veut faire ?» —Moi :« Tika makelele ya pamba pamba wana (arrête tes bruits inutiles là) sois pragmatique, continue avec ce qu'on faisait. Stp bébé pénètres-moi, je te donne ma virginité et je ne regretterai jamais de te l'avoir offert ». Serge m'a regardé pendant un moment, avant de m'écarter les jambes puis me pénétrer dans toute sa longueur. Au début c'était tellement douloureux. —Moi:« Mon Dieu pardon! S'il te plaît Serge arrête! Tu risque de me tuer chéri. » Serge ne s'occupait pas de ce que je disait, il continuait calmement à faire ses mouvements de vas-et-viens. —Moi:«Snif... pitié bébé! tu risque de me tuerrrrr...» —Lui:« ..... » il ne disait toujours rien, puis à un moment donné, j'ai commencé à aimer l'acte sexuelle. Ça ne faisait ni mal ni bien ; ni froid ni chaud donc c'était waouh mes amis. —Moi en gémissant :« papaaaa, hummm, heyyyy mamaaaa » —Serge :« Joyce s'il te plaît arrête de crier car, mes voisins risquent de nous écouter !. Que je m'arrête ? Ça te fait mal ?». Serge est tellement bizarre mes amis, pourquoi voulait-il s'arrêter à moment si merveilleux ?. —Moi:« Tu veux te jouer de mes sentiments ou quoi ?. C'est vrai que ça fait mal, mais stp ne t'arrête pas! Continue mon amour. » —Lui:« Okay, alors tourne comme ça ». Il a accompagné ce qu'il disait avec un geste me montrant de lui tourner les fesses. —Moi:« Tu veux quoi ? Me pénétrer par derrière ?» -Serge :« Oui bébé ». Du coup j'ai fait ce qu'il me demandait calmement. Comme mes fesses et mes seins sont extrêmement jolis et séduisants, je pense qu'il aura beaucoup de plaisirs en y pénétrant. J'étais en décubitus ventral quand il m'a pénétré. Waouh!!! C'était mirobolant mes amis. J'ai eu des sensations étranges, puis j'ai sécrété donc j'ai eu l'orgasme avant qu'il é*****e quelque minutes plus tard. Serge était extrêmement super au lit, je crois que notre acte sexuelle avait duré pendant à peu près 35 minutes. D'ailleurs rien ne m'étonne mes amis, parce que Serge est médecin ; je crois qu'il prenait sûrement les Aphrodisiaques car, il avait une force sexuelle inexplicable. Au fait, je l'aime de tout mon coeur, il est mon socle et ma raison de vivre. Et Je suis contente qu'il m'ait dévièrgé. —Moi:« Merci mon amour » —Serge:« Bébé c'est moi qui suis obligé de te remercier. Je t'aime de tout mon coeur Joyce mais courage mon amour. Je prie pour que ton futur mari soit aussi meilleur ; il te rendra heureuse j'en suis sûr. » Juste quand il a fini à dire cela, j'ai commencé à pleurer: —Moi en pleurant:« Non chéri, c'est toi uniquement et toi seule que j'aime. Alors S'il te plaît mon amour! Epouse-moi » —Serge :« Du calme chérie! Et arrête de pleurer. Sache vraiment que moi aussi je t'aime et je continuerai toujours à t'aimer, mais je ne veux pas que tu arrives à décevoir ta famille à cause de moi. Sois forte mon amour, ça ira. D'accord ? » —Moi:« Non Serge, je t'aime de plusque tout au monde. Et si tu veux, fuyons d'ici! Nous pouvons aller à Kisangani, à Mbujimayi ou à Lubumbashi! la RDC est tellement grande mon amour!». Soudain il m'a regardé pendant un moment, puis il m'a dit: —Serge:« Non bébé, nous n'irons nulle part. Je t'aime et tu le sait, mais je ne veux pas que tu déçoive ta famille, donc vas et fais ce que ta famille te demande. » Puis du coup, il a commencé aussi à faire tomber les larmes. C'était tellement déplorable mes amis. C'est sûr que cet homme était fou amoureux de moi. Et ça fait tellement mal de ne pas épouser une personne qu'on aime. Il s'est approché vers moi et m'a embrassé pour la dernière fois avant que je sorte dans sa maison en pleurant. Puis en cours de route, mon téléphone a sonné. J'ai directement cru que c'était mon père, mais plutôt c'était Olga. Olga est ma meilleure amie, ma puce et ma confidente. Elle a 25 ans comme moi, Célibataire et mère d'une petite fille de 3ans. Elle travaille dans la même entreprise que moi, mais elle, est chargé de la communication et marketing de l'entreprise. Donc quand j'ai vu que c'était elle, j'ai directement décroché. —Moi:« allô » —Olga:« allô ma puce. Est-ce que ça va ? Tu es où ? Car je suis devant ton bureau » —Moi:« Aujourd'hui je ne suis pas venue au bureau mon amie » —Elle :« Mais tu es où jusqu'à cette heure ? Est-ce que tout va bien ma puce ? » —Moi:« Oui mais mon père m'a énervé » —Olga : « Waouh ! Qu'est-ce qu'il y a ?» —Moi:« Il veut me marier forcément à un jeune homme que je n'aime pas ». Immédiatement Olga avait commencé à rire, avant de me demander: —Olga :« Quoi ? Les mariages forcés existent toujours ? Pourquoi il veut forcément te marier à un inconnu. » —Moi:« Je ne sais pas mon amie, mais papa m'a dit que j'ai intérêt à épouser ce jeune homme là car, la survie de notre famille en dépend. Et d'ailleurs, c'est le fils de son meilleur ami ». —Olga:« Je suis désolée mon amie. Alors ce fameux jeune homme est-il riche ? » —Moi :« Probablement il l'est, car son père est le PCA de la société pétrolière ». Du coup, Olga s'est exclamée en disant: —Olga: « C'est le fils de chef Richard ?» —Moi:« Oui exactement » —Olga :« Ce gars là est de teint un peu clair, taille moyenne, et porte souvent les lunettes ?» —Moi:« Oui c'est exactement lui. Tu le connais ?» —Olga en pleurant :« Oui, c'est Constant le père de ma fille ». Oh mon Dieu ! Merde.. —Moi:« Quoi ? Est-ce lui le jeune homme que tu m'avais parlé dont sa famille avait refusé ta grossesse ?» —Olga :« Oui c'est bien lui. Et bizarrement je l'aime toujours nonobstant que sa famille m'ait ridiculisé en me jetant dehors. Constant m'appartient, et je regrette qu'il ait tombé amoureux de ma meilleure amie. » Puis tout à coup elle a commencé à pleurer. —Moi:« Ne t'inquiète pas Olga, je crois que lui aussi t'aime encore. Mais apparemment, c'est son père qui lui a forcé à m'épouser. alors qu'est-ce que nous pouvons faire pour empêcher tout ceci ? Parce que moi également je ne suis pas fière et prête d'épouser l'homme auquel ma meilleure amie est amoureuse. » —Elle :« Nous ne pouvons rien faire car c'est déjà trop tard. Tu peux seulement accepter de l'épouser, et je pense que constant sera un bon mari pour toi. » —Moi: « J'....» Soudain elle a raccroché avant que je puisse finir ma phrase. Puis immédiatement je me suis concentrée au volant, avant de conduire calmement jusqu'à la maison. Une fois arrivée à la maison, j'ai trouvé mon père et ma marâtre au salon en train de parler. Je les ai passé sans pourtant les saluer, et alors avant que je puisse franchir la porte qui se dirigeait vers ma chambre, papa m'a dit : —Papa:« Joyce reviens ici !». Je me suis arrêtée pendant quelques minutes, avant de retourner vers eux. —Moi :« Oui papa » —Papa :« Tu viens d'où ? ». Je suis restée calme, je ne me suis pas précipitée à répondre. D'ailleurs qu'est-ce je vais lui dire ? Je vais lui dire que j'étais partie offrir la virginité que j'ai dû garder pendant 25ans à l'homme que j'aime ? Non, ça non. Donc j'avais résolu de ne rien répondre, mais ma marâtre a pris la parole et a dit à mon père : —Elle :« Andy tu la poses des questions pour rien. Ta fille vient à peine de faire l'amour, regardes sa démarche. Et puis écoute l'odeur de coït. ». Hummm... Des vieilles dames africaines sont tellement dingues. Est-ce que le coït a l'odeur spécifique ? Me suis-je demandée intérieurement car c'était ma première fois d'entendre cela. Aussitôt mon père m'a regardé bizarrement de la tête aux pieds, avant de me dire: —Papa :« Joyce pourquoi tu as fait cela ? Tout ça pour me dire que j'aie fait un mauvais choix pour toi ? Mais sache que je t'aime, et aucun parent au monde ne veut voir son enfant souffrir. Joyce! Je ne veux pas te voir souffrir, je veux seulement ton bonheur. Mais ma fille tu m'as déçu, même ta défunte mère n'aurait jamais été contente avec ce que tu viens de faire. Pourquoi tu t'es laissée déflorer avant le mariage ? Est-ce que tu as oublié le sens même de notre coutume ? Tu ne sais pas qu'ici chez nous en Afrique, la virginité compte de plusque de l'or ?». —Moi:« Pap... » Avant que je puisses répondre, ma marâtre m'a rompu la parole en disant : —Marâtre:« Chéri ne t'inquiète pas pour elle! Tu as vu la façon dont elle t'a ridiculisé ce matin devant tes invités et les membres de ta famille ? Joyce est une mauvaise fille, et d'ailleurs elle n'est plus vierge depuis longtemps ». Cette femme m'énerve énormément, de quoi elle s'en mêle ? C'est ma vie! Et ça ne le regarde absolument pas. Donc je lui ai dit en le pointant de doigts: —Moi:« Toi ne te mêle pas dans ma vie. De un, que je sois vierge ou pas ça ne te regarde pas, de deux je ne suis plus une enfant, j'ai 25ans. Donc je peux faire tout ce qui me semble bon ,et en fin troisièmement tu n'es pas ma mère !» —Elle :« Tu crois que moi j'ai envie de mettre au monde une p**e ? Ma fille (Lydie) n'est pas une prostituée comme toi. D'ailleurs qu'il pleuve ou qu'il neige tu épousera Constant » —Moi:« Je n'oserai jamais épouser qui que ce soit ! D'ailleurs je sais bien que c'est toi et ta fille qui ont scénarisé tout ça mais sache que vous avez échoué, car je ne me marierai jamais à un inconnu !» —Papa :« Taisez-vous ! Joyce ta mère a raison, tu dois nécessairement épouser cet homme. » —Moi en pleurant:« Non papa, je ne l'epouserai pas ». Puis tout à coup, je suis sortie de là en pleurant. Ça fait tellement mal de se trouver obliger d'épouser un homme qu'on aime pas. Les filles me comprennent mieux. C'est pitoyable mes amis amis, et aucune fille ne mérite ça. Car on a aussi droit de choisir qui on veut... Bon bah, je suis partie m'enfermer dans ma chambre, puis avant de dormir, je suis allée prendre un bain froid. Le lendemain matin, je me suis réveillée comme d'habitude, j'ai pris mon bain, avant de faire mon hygiène buccale et aller enfin faire la vaisselle. J'avais déjà presque fini à faire la vaisselle quand cette fois-ci Nelly est venu m'appeler. Nelly est mon demi-frère, donc le petit frère de Lydie. Nelly a 22ans, il est de teint noir comme mon père et c'est mon meilleur ami. Lui et son petit frère Franck sont mes amis contrairement à leur mère et leur grande soeur. Ces dernières me prennent pour leur concurrente ou leur ennemie. Elles sont impitoyables, et n'ont aucun coeur. Bon bah, Nelly m'a salué avant de me dire: —Nelly :« Tu m'as énormément manqué grande soeur » —Moi en souriant :« Tu m'as également manqué petit frère. Est-ce que ça va ?» —Lui: « Oui, Je vais bien. Joyce papa t'appelle » —Moi: « Pourquoi ?» —Nelly :« Je ne sais pas, mais il veut te voir tout de suite » —Moi:« d'accord, je viens ». Je me suis préparé avant d'aller au salon, et une fois que je suis arrivée au salon, papa était avec ma marâtre, mes tantes et mes oncles paternels. Je les ai tous salué avant de prendre place... Du coup, papa a pris la parole pour me dire : —Papa:« Ma fille, je t'ai appelé pour t'informer qu'on vient à peine de donner ta dot. Donc tu viens d'être traditionnellement l'épouse de monsieur Constant ». Quelle tragédie!!! Même si une femme ne représente rien en Afrique, mon père allait quand même m'informer avant de prendre ma dot ! —Moi:« Ça veut dire qu'il est déjà mon mari ?» —papa :« Oui ma fille. Tu es la fierté de toute notre famille et en plus, ton mariage civil sera pour Jeudi » —Moi:« Mon mariage sera pour ce jeudi ?» —Lui :« Oui. Joyce je suis fier de toi ». —Moi:« ... » Je n'ai rien répondu, j'ai juste quitté le salon en faisant tomber les larmes comme une madeleine car, je n'avais plus besoin de le ridiculiser une fois de plus devant ses frères et soeurs. Donc du coup je suis allée me préparer, avant d'aller au travail. Ça fait tellement mal mes amis ; le mariage forcé continue d'être une monnaie courante ici chez nous en Afrique. Une femme n'est pas une chose, elle a aussi droit de choisir tranquillement qui elle veut épouser. Au fait, j'ai pleuré presque toute la journée, mais je n'avais pas le choix, car les us et coutumes de l'ethnie où j'appartiens (ethnie luba) exige fermement le respect envers ses parents, et le manque de respect envers son père ou sa mère constitue un tabou et le châtiment d'un tabou c'est la mort ou la malchance. Donc je n'avais pas autre choix que celui d'accepter ce mariage. Waouh ! ça fait très mal mes amis. Deux jours plus tard, ce fut le jeudi, donc le jour de mon mariage civil. On avait organisé une fête grandiose. Il y avait plusieurs hautes personnalités de notre pays. Mon beau-père est milliardaire, donc il y'avait seulement des riches dans notre mariage et quelques amis de Constant. Je ne me souviens plus exactement de ce qui se passait ce jour-là car mon esprit était ailleurs, mais ce que je me souviens est que Constant m'a dit ceci à la mairie sous les applaudissements de tout le monde: —Constant :« À toi ma belle et bien aimée femme de ma vie. En témoignage de l'affection que je porte pour toi, je te promets que je serai éperdument amoureux de toi et tu seras une et exclusive. Il est vrai que la main a 5 doigts, l'année a douze mois mais dans mon coeur il n'y aura que toi. Je t'aime Joyce ». —Assemblée:« Ohooo... » C'est sur ces applaudissements que j'étais devenue officiellement madame Joyce Ngoy et belle-fille d'un grand milliardaire de notre pays. Nous les mariés, donc moi et Constant avons quitté la fête vers 22h... On nous avait dit d'aller savourer le mariage. Contant m'a emmené dans une chambre d'hôtel qu'il avait déjà prévu pour notre nuit de miel. Et une fois à l'intérieure de la chambre, il m'a dit: —Constant :« S'il te plaît madame, est-ce tu peux me faire plaisir de te déshabiller ?». Je lui ai regardé pendant un moment avant de me déshabiller complètement. J'étais totalement nue devant lui quand il s'est approché vers moi pour me caresser et s***r mes seins. —Moi:« Constant arrête. Ne me touche pas ! » —Lui:« Que je ne te touche pas pourquoi ? Joyce, je suis ton mari !» —Moi:« J'ai une question que j'aimerai bien te poser avant qu'on puisse savourer notre mariage » —Constant :« D'accord chérie, tu peux me poser !» —Moi:« Répond-moi par oui ou non. Est-ce que tu connais Olga Landu ?» Il m'a regardé pendant un moment avant de me dire.... À SUIVRE.......
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