Épisode 4 : jour de la messe

3365 Words
Après une quinzaine de minutes de marche, nous arrivons en fin au lieu dit de la messe. Mais, il n'y avait presque personne. À peine quelques têtes. Cela n'avait pas trop étonné les prêtres, mais par contre le chef du village lui était entré dans une rage folle simplement parce qu'il avait compris que les villageois refusaient de venir y assister. Mais néanmoins, tous ceux qu'on avait trouvés, tous autant qu'ils étaient surpris en voyant ma mère. Pour la simple raison que personne ne s'attendait à ce qu'elle vienne d'elle-même. De tous les absents de ce jour, aucun des membres de la famille du jeune homme qui était décédé récemment n'était également venu. C'était dans une colère folle que le chef du village mandatait cinq hommes de sa garde personnelle pour qu'on aille cueillir chacun dans son lit s'il le fallait. Encore ces fameux gardes, vous vous rappelez ? C'étaient également eux qui étaient entrés dans la maison de la sorcière pour sortir son cadavre en putréfaction pourtant tout le monde craignaient d'y mettre ne serait-ce que qu'un seul pied. Bref... De ces hommes-là, tout le monde en avait peur, c'était quand même les gardes du chef... Ces gens étaient de sinistres personnes. Je ne les avais jamais vus rire, ni même en colère, toutes les fois ou je les avais vus j'avais l'impression qu'aucune émotion ne se dégageait d'eux un peu comme s'il n'avait pas d'âme et d'ailleurs on disait souvent d'eux qu'ils ne sont pas humains... Ce qui se racontait sur eux était juste incroyable. Certains disaient qu'ils étaient capables d'abattre tout un arbre à main nue... Même de porter des troncs d'arbre rien avec la force de leur bras... Et encore, c'était peu, ils étaient même capables d'abattre l'animal le plus sauvage rien que par leur force physique, il était capable de le maîtriser ou de le tuer. Donc, lorsque le chef te les envoyait, même si tu trouvais dans l'endroit le plus protégé du monde, que ce soit la maison blanche à Washington, le Pentagone, même si tu étais sous l'eau ou dans la plus dangereuse forêt qui existe, les gars là allaient te trouver et te ramener mort ou vif selon les consignes du chef. Ces histoires étaient certe exagérées, mais tout était vrai. En tout cas, tout le monde dans mon village y croyait, même moi, et ce, jusqu'à aujourd'hui. Comme je vous les dis, une fois que ces gardes avaient été envoyés ils étaient revenus moins d'une demi-heure plus tard avec tous ceux-là qui manquait. Maintenant que tout le monde était là, ma mère et moi étions déjà assis, et la messe pouvais commencer. Ils commencèrent d'abord par une messe normale comme cela se passe les dimanches à l'église. Et après, ce fut le moment de trouver les sorciers. - PRÊTRE : Avant que je n'arrive ici, j'avais demandé à ce que chacun apporte ce qu'il garde chez lui pour nuire aux autres, à l'exception d'une seule personne dont je vais taire le nom, personne n'est venu. Peut-être, vous vous dites que je ne vous vois pas parce que je n'ai pas vos yeux de sorcier n'est-ce pas ? Mais sachez-le et mettez-vous bien ça dans le crâne je n'ai point besoin de vos yeux, car le Seigneur ne m'en a pas donné, car je n'en ai pas besoin, mais à la place il m'a plutôt ouvert les yeux. Donc pour la dernière fois, que celui qui a quelques choses dont il se sert pour nuire aux autres vienne tranquillement me remettre. S'en est ensuivi une dizaine de minutes pour attendre avant qu'il ne reprenne la parole. - Donc vous êtes entrain de vouloir me faire croire que la sorcellerie n'existe pas dans ce village ? Qu'il n'y avait ici qu'un seul sorcier ? Si c'est donc le cas, pour quelle raison le chef a été obligé de mandater ses gardes pour qu'on aille vous pêcher chez vous ? Ils ont été obligés de courir pour venir vous chercher dans vos maisons ! Mais bon, qu'à cela ne tienne ce n'est même pas un souci, puisque vous êtes tous là grâce au chef, je n'aurai aucun mal à vous trouver... Donc ce qui va se passer maintenant est que tour à tour, je vais venir devant chacun. Et une fois que je serai devant toi, ne discute même plus. J'espère que je me suis bien fait entendre. Tout de suite après ces mots, il s'approcha du père du jeune homme qui était décédé... C'était le premier. Cet homme était vraiment étrange, tout le monde avait fait l'effort de se mettre bien, mais lui, était venu avec une de cette vraiment très vielle chemise à courte manche dont la couleur se confondait à celle de la terre et pour couronner le tout un autre vieux short à la couleur de l'équipe nationale soit la couleur verte... Troué de partout et il n'avait pas même pris la peine d'enfiler des sous-vêtements avec sa chemise aussi qui n'avait plus de boutons laissant son gros ventre dehors. Vous direz peut-être que ce sont les gardes du chef qui ne lui ont pas laissé le temps de s'habiller, mais n'y pensez plus, le papa était toujours comme ça. Donc, il était responsable de la mort de son propre fils... Il avait usé d'un appel mystique. Vous ne savez certainement pas ce qu'est un appel mystique ou encore comment ça se passe, laissez-moi vous expliquer un peu. Alors, apparemment il était responsable du décès de son fils ; le prêtre le savait, et je ne sais comment, mais il savait aussi comment il avait procédé. Pour y arriver, il avait usé d'un appel mystique. Qu'est-ce qu'un appel mystique ? Vous vous posez certainement la question n'est-ce pas, alors laissez-moi vous décrire un peu. Pour un appel mystique, tu peux par exemple être là tranquillement chez toi, dans la rue ou même au travail... Et puis tout d'un coup, tu entends une voix qui t'est très familière prononcer ton nom ou bien t'appeler... Et à partir du moment où tu réponds, on t'a pris. Pour le cas de ce jeune homme, il avait eut une envie soudaine de rentrer dans son village pour un allé simple... Mais en fait dès le moment où lui avait répondu il était déjà mort... Il ne manquait plus qu'il vienne au village de lui-même pour qu'on l'enterre ou plutôt qu'on le mange. - PRÊTRE : Ce n'est pas possible ! Comment est-ce qu'on en vient à tuer son propre fils ?! Ton unique garçon, qui avait un très bon travail et qui comptait certainement changer la vie de toute votre famille. Mais, tu as osé le livrer à tes congénères afin de le manger. m***e ! Pendant que le prêtre était entrain de lui parler, il voulut ouvrir sa bouche, mais le prêtre ne le lui permit pas. - BOUCLES MOI ÇA ! Que peux-tu bien vouloir dire ?! Tu n'as rien à dire. Il voulut quand même réinterer et le prêtre lui hurla dessus une fois encore. - JE T'AI DIT DE ME FERMER TA SALLE BOUCHE DE SORCIER !! Incroyable ! Ton propre enfant ! Même si tu es sorcier, pourquoi ne pas le défendre des aux autres sorciers avec ton pouvoir là ? Au contraire, c'est toi son père qui va le livrer. - Mon père, moi je ne sais même pas de quoi tu es entrain de parler depuis, demande même à mes enfants ci, moi je prie beaucoup... Et je commence même déjà à partir souvent à l'église mon père. Je ne suis pas moi sorcier. - PRÊTRE : Donc Dieu me dit que tu es au service du mal, et toi tu veux me faire comprendre qu'il se trompe ? Tu sais ce qui va t'arriver si je pose ma main sur toi ? - Mon père, je dis que je n'ai rien... Pourquoi tu ne me crois pas ? Je ne suis pas sorcier, ce n'est pas moi... J'ai même beaucoup pleuré pour mon fils là. Je te le jure comme ça. Je jure mon père. - PRÊTRE : Tu jures même. Et pourquoi si tu n'es pas sorcier, tu n'es pas venu de toi-même. Je pense que c'est toi qu'on traînait par les pieds là non. - Mon père ce n'est pas ça. Ce n'est pas que je ne voulais pas venir... Je voulais venir... Mais un truc là est que, j'avais même oublié que c'était aujourd'hui. Oui, j'avais oublié que la messe là se passait aujourd'hui. Tu vois, mon beau, j'avais seulement oublié. Le prêtre s'était d'abord mis à ricaner en le regardant lamentable se trouver des explications, puis il avait retroussé les manches de sa soutane est allé sur sa table ouvrir le petit coffret qui s'y trouvait d'où il sortit un chapelet qu'il enroula sur sa main avant de se rapprocher à nouveau du père là tout marmonnant quelques choses. Moi, je voyais juste ses lèvres bouger, mais je suppose qu'il récitait des prières. Une fois qu'il fut arrivé devant lui, il avait juste posé la pomme de sa main sur son front, ce qui se passa après était du venez voir. Le père là, c'était mit à hurler, mais pas comme homme, mais on aurait dit les cris d'un animal blessé et de la fumée qui se dégageait de son corps pendant qu'il s'enroulait au sol... Une fumée très épaisse. Tout le monde se mit à crier, et bien-sûr même ses complices juste pour sauver les apparences. Mais personne ne pouvait berner ce prêtre... Il était vraiment très fort. - Vous êtes comme ça entrain de crier pourtant vous-même, faite les mêmes choses que lui ! N'est-ce pas vous avez aussi mangé l'enfant là ?! Certains ont voulu s'éclipser en douce, mais sous haute instruction du chef personne n'était autorisée à sortir et ses gardes y veillaient. Qui était alors assez fou pour tenter les gardes là. Au bout de quelques minutes, le père du défunt fini par sortir de son oreille une longue brindille de balai sur laquelle était roulé un fil rouge au deux extrémités. Le prêtre prit la brindille de balai et alla déposer sur sa table. Pour vous décrire un peu dans quel état était ce père maintenant, il était épuisé comme quelqu'un qui avait fait un marathon de plus 100 000 mètre... Il avait tellement transpiré que ses habits même était trempé comme s'il sortait de l'eau... Et la tristesse l'avait envahie comme ci sa vie était terminée. Le prêtre avait fini avec lui et continua à demander... Certaines personnes tombaient même et parmi ces personnes, il y avait en majorité des femmes, mais comme je vous les dis personne ne pouvait berner ce prêtre, il avait très vite su que tout ça était de la simulation pure et simple. Une grand-mère qui avait prise peur, alla d'elle-même devant le prêtre pour lui remettre quelque choses. Notez que cette femme était vraiment, mais alors vraiment très très vielle... Au point où je me demandais bien comment elle faisait pour encore tenir sur ses jambes. Elle sortit donc de ses cheveux une petite bille comme celle avec lesquelles les garçons s'amusent souvent avec. Cette bille était très neuve comme si elle n'avait jamais touché le sol et celle-ci lui servait de boule de cristal dans la nuit. Pour l'utiliser, elle n'avait qu'à mettre de l'eau dans une calebasse et d'y jeter la bille et à travers cela elle pouvait voir l'avenir de tous ceux qu'elle désirait voir et si elle le voulait te bloquer aussi. Entre autre, elle lui servait aussi à attirer les enfants à qui elle volait des années de vie. Cela m'avait fait un peu rire, une femme aussi vielle, elle pouvait avoir plus de 100 ans, mais ne faisait que voler les vies pour rallonger la sienne. Bref... Le prêtre alla déposer la bille sur sa table. Après ce qui avait été infligé au père là... Les autres avaient pris peur... Et dès que le prêtre se plaçait devant eux il sortait seulement leur objet mystique, mais pas de leur poche... Mais de leurs orifices et autre partie de leur corps. Le prêtre alla devant un autre vieux et celui-ci lui avait remis une bible, dans sa confession il avait dit que ceci lui servait à initier ceux dont ils avaient choisi qui devait leur rejoindre. Lui, il avait juste tendu la main et la bible était apparue. Une femme avait sorti de ses parties intimes des gants d'infirmiers, ceux-ci lui servaient à prendre les enfants dans le ventre de leurs mères... Lorsque je dis prendre, c'est dans la mesure où, dans la nuit elle devenait une sorte de sage-femme et faisait accoucher mystiquement les femmes enceintes du village. C'est où certaines se réveillaient avec des fausses couches ou même elle ne ressentait rien, mais à la prochaine échographie l'enfant n'était plus là pourtant son ventre est toujours gonflé. Elle pouvait aussi bloquer les grossesses comme les accouchements... D'ailleurs, dans ses aveux, elle avait confié avoir utilisé comme congélateur l'utérus de plusieurs femmes au village ce qui les empêchaient à concevoir. Laissez-moi vous dire que dans mon village à cette époque-là, le nombre de femmes stérile était incomptable. Ça m'avait aussi rappelé cette femme qui avait été enceinte pendant pratiquement 2 ans, cette femme avait finalement dû quitter le village... Donc je n'ai jamais su si elle avait finalement accouché. Tellement de choses étaient sorties, il y a même eu des animaux qui apparaissaient et tout de suite après devenait des amulettes, mais de tout ça, il y avait surtout des objets dont il s'en servait pour bloquer la vie des pauvres gens du village ! Un autre cas qui cette fois m'avait donné froid dans le dos était celui d'un jeune garçon il devait avoir dans les 12 ans, nous étions dans la même école donc je connaissais bien. Celui-ci avait sorti en posant la main sur sa poitrine une photo et grande surprise lorsqu'on lui demanda qui était sur cette photo. - PRÊTRE : Une photo ? Qui sont les personnes sur cette photo ? - Il... Il... C'est... - PRÊTRE : RÉPOND RAPIDEMENT ! Je n'ai pas de temps à perdre. - Ce sont les enfants du fils de ma fille. Quand je vous disais grande surprise, la voici. Le petit garçon âgé de 12 ans à peine avait déjà en sa possession la photo de ses arrières petits-enfants. Si vous aviez vu l'expression du prêtre, ou plutôt de tous les prêtres qui étaient là. Je crois qu'aucun d'entre eux ne s'attendaient à un tel niveau de sorcellerie et tenez-vous bien, le petit garçon en fait, faisait partie des sorciers les plus crains du village. - PRÊTRE : Attends, tu veux dire que, les enfants sur cette photo, leur grand-père c'est ta fille ? Et où est-elle ? - Elle... Elle n'est pas encore née. Elle doit naître dans 15 ans. - PRÊTRE : Incroyable !!! Vous vous rendez compte, il avait déjà une photo de sa descendance. Ceux-là n'étaient même pas encore nés, mais lui il avait déjà leur photo, et ce qu'il faisait avec être de se nourrir de leur énergie et chance avant même que ceux-ci ne soient déjà sur cette terre. Et c'est comme ça que quand ils viendront au monde, ils ne seront que des enfants à problème ; condamné à vadrouiller au quartier refusant tout pour leur succès. Et jamais ils ne sauront que c'est leur propre grand-père qui est la cause de leur blocage. Vous voyez un peu à quel point la sorcellerie peut être dangereuse ? C'était incroyable... C'était tout simplement, du venez voir. Puis maintenant il se mire à se rapprocher de nous, il venait dans notre direction et là mon cœur s'est mis à battre comme jamais dans un village où dans 3 maisons sur 5 on trouvait un sorcier, je vous avoue que j'avais eu très peur et j'avais cette interrogation qui ne me quittait « Et si mama était la sorcière que tout le monde dit ? » Mais à ma grande surprise, il avait traversé ma mère sans même la regarder ne serait-ce qu'une demi fois. Il l'avait traversé pour prendre une dame qui était assise derrière nous. Et là, c'était la surprise générale... Vous imaginez, le regard de tout le monde sur elle... Même le chef du village avait été surpris. Et les chuchotements à propos. Ils se demandaient comment est ce que ma mère n'était pas une sorcière aussi... Les questions, les yeux sur elle... Le prêtre avait terminé son travail, il prit les objets et demanda au chef si ses gardes pouvaient les entasser. J'ai peut-être oublié de vous dire que les gardes du chef n'obéissaient qu'à lui et à lui seul. Une fois le tas fait, le chef en profita également pour demander à ses gardes de regrouper tous les malheureux sorciers. Quant aux prêtres, il se plaçait devant et avec les autres prêtres, ils se mirent à prier de dessus et au bout de 5 minutes comme ça, les objets prirent feu. Le feu brûlait sans problème, un brasier énorme comme si on y avait mis de l'essence... Mais rien, même une allumette n'avait été utilisé pour allumer ce feu. Entre les pleures, lamentations et injures les prêtres étaient restés égale à eux même. Puis fut le tour du chef, qui ordonna à sa garde de correctement lyncher tous ces sorciers, tous autant qu'ils étaient jusqu'à ce qu'il renonce à leur pouvoir mystique. Avec des tiges de macabo et taro, ils avaient été battus plusieurs jours durant dans la brousse à l'écart des simples villageois ont les voyait seulement ressortir chaque fois que l'un d'eux avait accepté renoncer. Mais pour le cas de ce jour, la messe était terminée. - On rentre ! M'avait subitement dit ma mère ! Pourtant, il s'ensuivait une fête après ça... Et bien sûr, moi je voulais encore un peu rester pour en profiter. Certains des villageois, c'était organiser afin de concocter un peu de nourriture et aussi qu'il y ait du bon vin de palme plus communément appelé matango. - Auriole, je dis qu'on rentre... Tu as mis tes oreilles où ? Elle était même déjà debout, la nuit était déjà présente, elle n'avait même pas pris la peine de manger, ni même boire aussi. Contrairement à moi qui voulais encore rester pour en profiter, car m'étais-je dit, m maintenant que tout le monde avait vu qu'elle n'était pas une sorcière tout allait changer. Mais, pour mama, c'était juste l'heure de rentrer ! Jusqu'ici je n'avais encore jamais désobéi à mama, alors pourquoi maintenant je devrais commencer à discuter avec elle sur une décision. Je l'avais suivie alors qu'elle marchait très précipitamment. Je n'arrivais presque pas à la suivre avec ce rythme. - AURIOLE : Mama, c'est comment ? Ralenti un peu non... Pourquoi on est si vite rentrée ? J'aurais voulu rester encore un peu. - Ma fille, ma place n'est pas là-bas ! Je préfère quand on est à la maison avec les autres. AURIOLE : Hein ma'a !? Les autres ?! C'est-à-dire qui ou quoi exactement ? - Auriole, tu vas arrêter avec tes questions là ! Rentrons à la maison et tu te couches tu dors il est tard. Nous sommes arrivées et maman avait directement prise la direction de sa chambre où elle s'est enfermée, moi j'étais donc restée au salon toute seule quant au bout de quelques heures, j'entendis la porte de maman s'ouvrir, tout doucement, elle avait l'aire très suspecte, puisqu'elle essayait de savoir si je dormais déjà. J'ai eu peur qu'elle me gronde si elle se rendait compte que j'étais encore éveillé même si je n'étais pas dans ma chambre, il fallait au moins que je sois en endormi alors rapidement, je fis semblant d'être dans un profond sommeil, ensuite elle a ouvert la porte et elle est sortie, sortie de la maison. Et quelques minutes plus tard, j'avais seulement entendu dehors. - m***e ! Eeeh ! Mais ça, c'est quelle malchance ça ?! Qui a fait ça ? Weerrrr ! Je suis fini ! Je suis foutu ! Ce n'est pas possible !
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