CASTES (TOME 2)

Partie 2

Après une journée chargée à cause du boulot,le jeune homme Malick descend très fatigué à 17h,il allume sa voiture et prends le chemin qui me mène chez lui. A peine 15minutes,il reçoit un appel de sa mère.Il décroche,Il parlait au téléphone en même temps en conduisant. 

Yaye Nafi:Allo mon fils 

Malick:Allo maman comment tu vas?

Yaye Nafi:je vais bien. Tu es où là 

Malick:je viens de quitter le bureau, je suis en chemin.

Yaye Nafi:dépêche toi car y a tes deux amis là:Tapha et l'autre là que tu refuse de laisser. 

Malick:maman l'autre là a un nom, il s'appelle aziz et c'est mon ami même si tu l'aime pas(tout énervé)

Yaye Nafi:jamais de la vie. Il est pauvre et toi t'es riche. Il ne fait pas parti de notre classe sociale (dou sa nawlé)

Malick:en tout cas aziz reste mon ami et le sera pour toujours .si tu m'aimes pourquoi n'aimerais tu pas aziz?

Yaye Nafi:c'est toi que j'ai mis au monde pas ce vaut rien de Aziz.

Malick:maman ce vaut rien c'est mon ami et tu dois y faire avec même si tu le veux pas (tout en criant)

Yaye Nafi:eh je suis pas ton égal.tu parles avec moi doucement d'accord. Je suis ta mère pas ton enfant. C'est à cause de ce pauvre aziz que tu cries sur ta mère. Je ne sais pas où il t'a mis mais je vais le savoir. 

Malick:je suis désolé maman. C'est que tu dois me comprendre. 

Yaye Nafi:y a rien à comprendre. Ok je te laisse, on continuera la discussion à la maison. 

Malick:OK ciao à tout à l'heure 

Il était tellement énervé.Pour lui le groupe de mot classe sociale n'existe pas dans son langage.

"Aziz pour rien au monde je le laisserai, c'est mon meilleur ami, il est là à mes côtés dans les bons comme les mauvais moments. Je me moque des classes sociales. Nous tous nous sommes égal devant Dieu et c'est de là bas que nous provenons" se disait il.

Il était sur le point de raccrocher au téléphone avec sa mère quand oup il faillit renverser une jeune fille qui traversait la route pour vendre ses oranges.Il fait vite stopper la voiture pour éviter l'accident. La fille était à terre et terrifiée.Il sortit vite fait de la voiture. 

Malick:Est ce que ça va? 

Aïcha:Oui ça va. Comment pouvez vous conduire en étant au téléphone (toute énervée).si je meurs c'est moi qui va perdre pas vous. Vous demandez juste pardon et le pardon ne règle rien du tout. 

Malick:désolé je ne vous ai pas vu 

Aicha:comment pouvez vous me voir alors que vous étiez au téléphone (énervée)

Malick:je vous demande encore pardon. Laissez moi voir si vous avez des blessures. 

Aicha:je n'ai rien. Ne me touchez pas. 

Malick:d'accord donc laissez moi vous emmener à l'hôpital. 

Aicha:je vous dis que je n'ai rien donc laisser moi,je dois partir. 

Malick:je ne peux pas vous laisser partir comme ça. Vous étiez entrain de vendre vos oranges et là j'ai tout gaspillé. Allez prenez cette argent. 

Aicha:vous pouvez gardez votre argent . allez laisser moi partir 

Malick:non hors de question. Vous êtes en état de choc. Je suppose que vous rentrez chez vous. Laissez moi vous déposez. 

Aicha:non c'est pas grave, j'habite pas loin. Juste un conseil (la prochaine fois concentrez vous sur le volant)petit irresponsable (thip)

Elle ne laisse même pas à Malick le temps de lui répondre qu'elle s'en alla.

Et puis Malick entre dans sa voiture et continua son chemin. A peine une demi heure Il arrive chez lui et voit ses deux potes Tapha et Aziz dans le salon. 

Malick:ça ceux sont mes potes,ça va comment vous allez. 

Tapha: Cool Je vais bien 

Aziz:Nice je vais bien aussi

Malick:Aziz j'espère que ma mère t'as bien traité. 

Aziz:comme d'habitude. Je m'y suis habitué. Je la comprends. 

Malick:oh ma mère. Je suis désolé mon pote. 

Aziz:c'est pas grave. On est ensemble. 

Tapha:mais toi Malick t'as mis du temps deh. On aura pas le temps de faire ce qu'on avait prévu et là je vois que t'es heureux. T'es passé par où.

Malick:si vous savez ce qui m'est arrivé (rire)

Aziz:qu'est ce qui t'es arrivé (curieux )

Malick:j'ai failli renverser une jeune fille 

Aziz:renverser!!!!(surpris)

Malick:mais c'est le plus beau cadeau que Dieu m'a offert. 

Aziz:quoi!!!!tu délires boy 

Malick:moi attendez je vous raconte. La fille que j'ai renversé vendait ses oranges.elle était si belle wallay. 

Tapha:amoureux d'une vendeuse d'orange (mort de rire)

Malick:qu'est ce qu'il y a avec une vendeuse d'orange. Elle travaille comme toi tu travailles dans ton bureau. 

Aziz:c'est génial ça. Ne l'écoute pas. Y a rien avec une vendeuse d'orange. Nous tous nous sommes égal devant Dieu. 

Malick: absolument. Mais le problème est que je ne connais ni son nom, ni son adresse. 

Tapha:t'as intérêt à ne pas le savoir car tu sais ta mère ne sera jamais d'accord avec une telle relation. 

Malick:qu'est ce qui aime. Réponds moi?

Tapha:bien sûr toi mais aussi ta mère doit aussi donner son avis.

Malick:tu l'as dit c'est moi qui aime pas ma mère. cette fille je vais la conquérir. 

Tapha:en tout cas, je t'ai dit ce que je pensais.je m'en vais, moi je ne peux pas parler avec vous.

Malick:d'accord merci d'être venu. On s'appelle ciao. 

Aziz:Tapha tu ne m'attends pas. On est venu ensemble donc rentrons ensemble. 

Tapha:tu connais le chemin OK 

Et puis il s'en va. A peine parti 

Aziz:ne l'écoute pas. Fais ce que ton coeur te dit. 

Malick: OK. Si tu voyais cette fille même toi tu tomberai sur son charme. Elle est rayonnante machallah.

Aziz: oh le petit amoureux. Personne ne va entendre maintenant(rire)

Et puis il était entrain de parler de tout et de n'importe quoi quand Yaye Nafi entra dans le salon. 

Yaye Nafi:mon fils t'es rentré. Je t'ai pas vu arrivé. 

Malick:je suis arrivé depuis longtemps. 

Yaye Nafi: où est Tapha (thiip juste en regardant Aziz )

Malick:il est parti ça fait un bon moment. 

Yaye Nafi:tu sais mon fils j'aime pas les personnes sans vergogne.

Malick:maman toi aussi laisse nous parler en paix (chuchote à l'oreille de ma mère)

Aziz:mon pote je crois que je vais partir. Il commence à faire nuit et je dois aller me préparer pour la prière du crépuscule. 

Yaye Nafi:c'est mieux pour toi. Vas y avec ton dos de voleur là (thiip)

Malick:maman toi aussi. Pourquoi ne peux pas tu aimer aziz comme moi qui suis ton fils (tout en criant car j'étais super énervé)

Aziz:Malick ne cries jamais sur ta mère. Quelques soit son comportement, elle restera toujours ta mère donc un peu de respect. Excuses toi auprès d'elle. 

Yaye Nafi:tes conseils tu peux les garder pour toi (thiip)

Aziz:mon pote d'accord je m'en vais. Au revoir. 

Malick: OK laisse moi te raccompagner. 

Puis Malick le raccompagne jusqu'à la porte puis reviens. 

Yaye Nafi:je ne sais pas où il t'a mis mais je vais le savoir . depuis que tu le connais, y a toujours des différends entre nous. Tu ne peux pas le laisser.

Malick:on n'aura plus de différends que quand tu l'acceptera. 

Yaye Nafi:c'est ça que tu dis(toute fâchée)

Malick: OK ne te fache pas. Je suis désolé. Tu sais que je ne veux pas te voir fâché aussi.allez souris. Je t'aime

Yaye Nafi:tu sais que je t'aime aussi mais tu dois laisser Aziz. Encore une fois vous n'êtes pas de la même classe sociale. 

Il ne la répond même pas sinon ils vont encore se disputer.

Malick:OK je te laisse, je vais monter dans ma chambre et prendre un bon bain pour me rafraîchir car il fait grave chaud. 

Yaye Nafi:allez vas y. 

DANS LA PEAU D'AÏCHA 

Après avoir parlé avec ce monsieur qui était sur le point de me renverser. Je prends mon chemin. J'avais grave peur car je me disais si je meurs qui va s'occuper de ma mère et de mes deux petites soeurs Nafi et Sarata. A peine 15minutes j'arrive chez moi car j'habite pas loin de mon lieu de travail. Arrivé ma mère me dit:

Yaye kiné:t'es rentré tôt aujourd'hui et la journée ça était.

Moi:Que dois je faire. Tout mes oranges sont gâchées. 

Yaye kiné:qu'est ce qui t'es arrivé ma fille? 

Moi:j'ai failli être renversé par une voiture. 

Yaye kiné:enverser!!t'es blessé? 

Moi:non j'ai rien du tout. 

Yaye kiné:Alhamdoulilah.allez raconte. 

Et puis je lui raconte tout. Après avoir fini. 

Nafi:(une des jumelles )t'as de la chance toi. Y a des personnes quand il te renverse il ne s'arrête même pas. 

Moi:toi. Tu vas me tuer. Comment connais tu ça (rire)

Yaye kiné:elle ne parle pas de choses dont les petites doivent parler (rire)

Sarata:on a de la chance. Et si t'étais morte. Que va t'ont faire.

Yaye kiné:ferme ta bouche . tu dis que des malheurs toi. 

Moi:maman je te laisse je vais aller préparer le dîner. 

Nafi:qu'est ce que tu vas préparer. 

Moi:sombi(bouillie de riz )car on a pas d'argent aujourd'hui. 

Sarata:c'est bien. L'essentiel est que nous mangerons. 

Yaye kiné:allez vas y ma fille. dépêche toi d'aller à la boutique et revenir vite car il commence à faire nuit. 

Moi:d'accord ne t'inquiète pas. 

DANS LA PEAU DE MALICK

Après avoir pris mon bain, je me pose sur le lit pour essayer de dormir un peu mais je pouvais pas car ma pensée était envahi par cette jolie fille que j'ai renversé tout à l'heure et dont je suis tombé éperdument amoureux. 

À SUIVRE 

Comment va faire Malick pour encore rencontrer Aicha la fille qu'elle a renversé? 

Se rencontront t-ils au même endroit? 

Si vous voulez savoir, regardez la suite. N'oubliez pas de commenter et de voter si l'histoire est bon. Je vous donne rendez vous pour une partie.

Après une journée chargée à cause du boulot,le jeune homme Malick descend très fatigué à 17h,il allume sa voiture et prends le chemin qui me mène chez lui. A peine 15minutes,il reçoit un appel de sa mère.Il décroche,Il parlait au téléphone en même temps en conduisant. 

Yaye Nafi:Allo mon fils 

Malick:Allo maman comment tu vas?

Yaye Nafi:je vais bien. Tu es où là 

Malick:je viens de quitter le bureau, je suis en chemin.

Yaye Nafi:dépêche toi car y a tes deux amis là:Tapha et l'autre là que tu refuse de laisser. 

Malick:maman l'autre là a un nom, il s'appelle aziz et c'est mon ami même si tu l'aime pas(tout énervé)

Yaye Nafi:jamais de la vie. Il est pauvre et toi t'es riche. Il ne fait pas parti de notre classe sociale (dou sa nawlé)

Malick:en tout cas aziz reste mon ami et le sera pour toujours .si tu m'aimes pourquoi n'aimerais tu pas aziz?

Yaye Nafi:c'est toi que j'ai mis au monde pas ce vaut rien de Aziz.

Malick:maman ce vaut rien c'est mon ami et tu dois y faire avec même si tu le veux pas (tout en criant)

Yaye Nafi:eh je suis pas ton égal.tu parles avec moi doucement d'accord. Je suis ta mère pas ton enfant. C'est à cause de ce pauvre aziz que tu cries sur ta mère. Je ne sais pas où il t'a mis mais je vais le savoir. 

Malick:je suis désolé maman. C'est que tu dois me comprendre. 

Yaye Nafi:y a rien à comprendre. Ok je te laisse, on continuera la discussion à la maison. 

Malick:OK ciao à tout à l'heure 

Il était tellement énervé.Pour lui le groupe de mot classe sociale n'existe pas dans son langage.

"Aziz pour rien au monde je le laisserai, c'est mon meilleur ami, il est là à mes côtés dans les bons comme les mauvais moments. Je me moque des classes sociales. Nous tous nous sommes égal devant Dieu et c'est de là bas que nous provenons" se disait il.

Il était sur le point de raccrocher au téléphone avec sa mère quand oup il faillit renverser une jeune fille qui traversait la route pour vendre ses oranges.Il fait vite stopper la voiture pour éviter l'accident. La fille était à terre et terrifiée.Il sortit vite fait de la voiture. 

Malick:Est ce que ça va? 

Aïcha:Oui ça va. Comment pouvez vous conduire en étant au téléphone (toute énervée).si je meurs c'est moi qui va perdre pas vous. Vous demandez juste pardon et le pardon ne règle rien du tout. 

Malick:désolé je ne vous ai pas vu 

Aicha:comment pouvez vous me voir alors que vous étiez au téléphone (énervée)

Malick:je vous demande encore pardon. Laissez moi voir si vous avez des blessures. 

Aicha:je n'ai rien. Ne me touchez pas. 

Malick:d'accord donc laissez moi vous emmener à l'hôpital. 

Aicha:je vous dis que je n'ai rien donc laisser moi,je dois partir. 

Malick:je ne peux pas vous laisser partir comme ça. Vous étiez entrain de vendre vos oranges et là j'ai tout gaspillé. Allez prenez cette argent. 

Aicha:vous pouvez gardez votre argent . allez laisser moi partir 

Malick:non hors de question. Vous êtes en état de choc. Je suppose que vous rentrez chez vous. Laissez moi vous déposez. 

Aicha:non c'est pas grave, j'habite pas loin. Juste un conseil (la prochaine fois concentrez vous sur le volant)petit irresponsable (thip)

Elle ne laisse même pas à Malick le temps de lui répondre qu'elle s'en alla.

Et puis Malick entre dans sa voiture et continua son chemin. A peine une demi heure Il arrive chez lui et voit ses deux potes Tapha et Aziz dans le salon. 

Malick:ça ceux sont mes potes,ça va comment vous allez. 

Tapha: Cool Je vais bien 

Aziz:Nice je vais bien aussi

Malick:Aziz j'espère que ma mère t'as bien traité. 

Aziz:comme d'habitude. Je m'y suis habitué. Je la comprends. 

Malick:oh ma mère. Je suis désolé mon pote. 

Aziz:c'est pas grave. On est ensemble. 

Tapha:mais toi Malick t'as mis du temps deh. On aura pas le temps de faire ce qu'on avait prévu et là je vois que t'es heureux. T'es passé par où.

Malick:si vous savez ce qui m'est arrivé (rire)

Aziz:qu'est ce qui t'es arrivé (curieux )

Malick:j'ai failli renverser une jeune fille 

Aziz:renverser!!!!(surpris)

Malick:mais c'est le plus beau cadeau que Dieu m'a offert. 

Aziz:quoi!!!!tu délires boy 

Malick:moi attendez je vous raconte. La fille que j'ai renversé vendait ses oranges.elle était si belle wallay. 

Tapha:amoureux d'une vendeuse d'orange (mort de rire)

Malick:qu'est ce qu'il y a avec une vendeuse d'orange. Elle travaille comme toi tu travailles dans ton bureau. 

Aziz:c'est génial ça. Ne l'écoute pas. Y a rien avec une vendeuse d'orange. Nous tous nous sommes égal devant Dieu. 

Malick: absolument. Mais le problème est que je ne connais ni son nom, ni son adresse. 

Tapha:t'as intérêt à ne pas le savoir car tu sais ta mère ne sera jamais d'accord avec une telle relation. 

Malick:qu'est ce qui aime. Réponds moi?

Tapha:bien sûr toi mais aussi ta mère doit aussi donner son avis.

Malick:tu l'as dit c'est moi qui aime pas ma mère. cette fille je vais la conquérir. 

Tapha:en tout cas, je t'ai dit ce que je pensais.je m'en vais, moi je ne peux pas parler avec vous.

Malick:d'accord merci d'être venu. On s'appelle ciao. 

Aziz:Tapha tu ne m'attends pas. On est venu ensemble donc rentrons ensemble. 

Tapha:tu connais le chemin OK 

Et puis il s'en va. A peine parti 

Aziz:ne l'écoute pas. Fais ce que ton coeur te dit. 

Malick: OK. Si tu voyais cette fille même toi tu tomberai sur son charme. Elle est rayonnante machallah.

Aziz: oh le petit amoureux. Personne ne va entendre maintenant(rire)

Et puis il était entrain de parler de tout et de n'importe quoi quand Yaye Nafi entra dans le salon. 

Yaye Nafi:mon fils t'es rentré. Je t'ai pas vu arrivé. 

Malick:je suis arrivé depuis longtemps. 

Yaye Nafi: où est Tapha (thiip juste en regardant Aziz )

Malick:il est parti ça fait un bon moment. 

Yaye Nafi:tu sais mon fils j'aime pas les personnes sans vergogne.

Malick:maman toi aussi laisse nous parler en paix (chuchote à l'oreille de ma mère)

Aziz:mon pote je crois que je vais partir. Il commence à faire nuit et je dois aller me préparer pour la prière du crépuscule. 

Yaye Nafi:c'est mieux pour toi. Vas y avec ton dos de voleur là (thiip)

Malick:maman toi aussi. Pourquoi ne peux pas tu aimer aziz comme moi qui suis ton fils (tout en criant car j'étais super énervé)

Aziz:Malick ne cries jamais sur ta mère. Quelques soit son comportement, elle restera toujours ta mère donc un peu de respect. Excuses toi auprès d'elle. 

Yaye Nafi:tes conseils tu peux les garder pour toi (thiip)

Aziz:mon pote d'accord je m'en vais. Au revoir. 

Malick: OK laisse moi te raccompagner. 

Puis Malick le raccompagne jusqu'à la porte puis reviens. 

Yaye Nafi:je ne sais pas où il t'a mis mais je vais le savoir . depuis que tu le connais, y a toujours des différends entre nous. Tu ne peux pas le laisser.

Malick:on n'aura plus de différends que quand tu l'acceptera. 

Yaye Nafi:c'est ça que tu dis(toute fâchée)

Malick: OK ne te fache pas. Je suis désolé. Tu sais que je ne veux pas te voir fâché aussi.allez souris. Je t'aime

Yaye Nafi:tu sais que je t'aime aussi mais tu dois laisser Aziz. Encore une fois vous n'êtes pas de la même classe sociale. 

Il ne la répond même pas sinon ils vont encore se disputer.

Malick:OK je te laisse, je vais monter dans ma chambre et prendre un bon bain pour me rafraîchir car il fait grave chaud. 

Yaye Nafi:allez vas y. 

DANS LA PEAU D'AÏCHA 

Après avoir parlé avec ce monsieur qui était sur le point de me renverser. Je prends mon chemin. J'avais grave peur car je me disais si je meurs qui va s'occuper de ma mère et de mes deux petites soeurs Nafi et Sarata. A peine 15minutes j'arrive chez moi car j'habite pas loin de mon lieu de travail. Arrivé ma mère me dit:

Yaye kiné:t'es rentré tôt aujourd'hui et la journée ça était.

Moi:Que dois je faire. Tout mes oranges sont gâchées. 

Yaye kiné:qu'est ce qui t'es arrivé ma fille? 

Moi:j'ai failli être renversé par une voiture. 

Yaye kiné:enverser!!t'es blessé? 

Moi:non j'ai rien du tout. 

Yaye kiné:Alhamdoulilah.allez raconte. 

Et puis je lui raconte tout. Après avoir fini. 

Nafi:(une des jumelles )t'as de la chance toi. Y a des personnes quand il te renverse il ne s'arrête même pas. 

Moi:toi. Tu vas me tuer. Comment connais tu ça (rire)

Yaye kiné:elle ne parle pas de choses dont les petites doivent parler (rire)

Sarata:on a de la chance. Et si t'étais morte. Que va t'ont faire.

Yaye kiné:ferme ta bouche . tu dis que des malheurs toi. 

Moi:maman je te laisse je vais aller préparer le dîner. 

Nafi:qu'est ce que tu vas préparer. 

Moi:sombi(bouillie de riz )car on a pas d'argent aujourd'hui. 

Sarata:c'est bien. L'essentiel est que nous mangerons. 

Yaye kiné:allez vas y ma fille. dépêche toi d'aller à la boutique et revenir vite car il commence à faire nuit. 

Moi:d'accord ne t'inquiète pas. 

DANS LA PEAU DE MALICK

Après avoir pris mon bain, je me pose sur le lit pour essayer de dormir un peu mais je pouvais pas car ma pensée était envahi par cette jolie fille que j'ai renversé tout à l'heure et dont je suis tombé éperdument amoureux. 

À SUIVRE 

Comment va faire Malick pour encore rencontrer Aicha la fille qu'elle a renversé? 

Se rencontront t-ils au même endroit? 

Si vous voulez savoir, regardez la suite. N'oubliez pas de commenter et de voter si l'histoire est bon. Je vous donne rendez vous pour une partie.

Après une journée chargée à cause du boulot,le jeune homme Malick descend très fatigué à 17h,il allume sa voiture et prends le chemin qui me mène chez lui. A peine 15minutes,il reçoit un appel de sa mère.Il décroche,Il parlait au téléphone en même temps en conduisant. 

Yaye Nafi:Allo mon fils 

Malick:Allo maman comment tu vas?

Yaye Nafi:je vais bien. Tu es où là 

Malick:je viens de quitter le bureau, je suis en chemin.

Yaye Nafi:dépêche toi car y a tes deux amis là:Tapha et l'autre là que tu refuse de laisser. 

Malick:maman l'autre là a un nom, il s'appelle aziz et c'est mon ami même si tu l'aime pas(tout énervé)

Yaye Nafi:jamais de la vie. Il est pauvre et toi t'es riche. Il ne fait pas parti de notre classe sociale (dou sa nawlé)

Malick:en tout cas aziz reste mon ami et le sera pour toujours .si tu m'aimes pourquoi n'aimerais tu pas aziz?

Yaye Nafi:c'est toi que j'ai mis au monde pas ce vaut rien de Aziz.

Malick:maman ce vaut rien c'est mon ami et tu dois y faire avec même si tu le veux pas (tout en criant)

Yaye Nafi:eh je suis pas ton égal.tu parles avec moi doucement d'accord. Je suis ta mère pas ton enfant. C'est à cause de ce pauvre aziz que tu cries sur ta mère. Je ne sais pas où il t'a mis mais je vais le savoir. 

Malick:je suis désolé maman. C'est que tu dois me comprendre. 

Yaye Nafi:y a rien à comprendre. Ok je te laisse, on continuera la discussion à la maison. 

Malick:OK ciao à tout à l'heure 

Il était tellement énervé.Pour lui le groupe de mot classe sociale n'existe pas dans son langage.

"Aziz pour rien au monde je le laisserai, c'est mon meilleur ami, il est là à mes côtés dans les bons comme les mauvais moments. Je me moque des classes sociales. Nous tous nous sommes égal devant Dieu et c'est de là bas que nous provenons" se disait il.

Il était sur le point de raccrocher au téléphone avec sa mère quand oup il faillit renverser une jeune fille qui traversait la route pour vendre ses oranges.Il fait vite stopper la voiture pour éviter l'accident. La fille était à terre et terrifiée.Il sortit vite fait de la voiture. 

Malick:Est ce que ça va? 

Aïcha:Oui ça va. Comment pouvez vous conduire en étant au téléphone (toute énervée).si je meurs c'est moi qui va perdre pas vous. Vous demandez juste pardon et le pardon ne règle rien du tout. 

Malick:désolé je ne vous ai pas vu 

Aicha:comment pouvez vous me voir alors que vous étiez au téléphone (énervée)

Malick:je vous demande encore pardon. Laissez moi voir si vous avez des blessures. 

Aicha:je n'ai rien. Ne me touchez pas. 

Malick:d'accord donc laissez moi vous emmener à l'hôpital. 

Aicha:je vous dis que je n'ai rien donc laisser moi,je dois partir. 

Malick:je ne peux pas vous laisser partir comme ça. Vous étiez entrain de vendre vos oranges et là j'ai tout gaspillé. Allez prenez cette argent. 

Aicha:vous pouvez gardez votre argent . allez laisser moi partir 

Malick:non hors de question. Vous êtes en état de choc. Je suppose que vous rentrez chez vous. Laissez moi vous déposez. 

Aicha:non c'est pas grave, j'habite pas loin. Juste un conseil (la prochaine fois concentrez vous sur le volant)petit irresponsable (thip)

Elle ne laisse même pas à Malick le temps de lui répondre qu'elle s'en alla.

Et puis Malick entre dans sa voiture et continua son chemin. A peine une demi heure Il arrive chez lui et voit ses deux potes Tapha et Aziz dans le salon. 

Malick:ça ceux sont mes potes,ça va comment vous allez. 

Tapha: Cool Je vais bien 

Aziz:Nice je vais bien aussi

Malick:Aziz j'espère que ma mère t'as bien traité. 

Aziz:comme d'habitude. Je m'y suis habitué. Je la comprends. 

Malick:oh ma mère. Je suis désolé mon pote. 

Aziz:c'est pas grave. On est ensemble. 

Tapha:mais toi Malick t'as mis du temps deh. On aura pas le temps de faire ce qu'on avait prévu et là je vois que t'es heureux. T'es passé par où.

Malick:si vous savez ce qui m'est arrivé (rire)

Aziz:qu'est ce qui t'es arrivé (curieux )

Malick:j'ai failli renverser une jeune fille 

Aziz:renverser!!!!(surpris)

Malick:mais c'est le plus beau cadeau que Dieu m'a offert. 

Aziz:quoi!!!!tu délires boy 

Malick:moi attendez je vous raconte. La fille que j'ai renversé vendait ses oranges.elle était si belle wallay. 

Tapha:amoureux d'une vendeuse d'orange (mort de rire)

Malick:qu'est ce qu'il y a avec une vendeuse d'orange. Elle travaille comme toi tu travailles dans ton bureau. 

Aziz:c'est génial ça. Ne l'écoute pas. Y a rien avec une vendeuse d'orange. Nous tous nous sommes égal devant Dieu. 

Malick: absolument. Mais le problème est que je ne connais ni son nom, ni son adresse. 

Tapha:t'as intérêt à ne pas le savoir car tu sais ta mère ne sera jamais d'accord avec une telle relation. 

Malick:qu'est ce qui aime. Réponds moi?

Tapha:bien sûr toi mais aussi ta mère doit aussi donner son avis.

Malick:tu l'as dit c'est moi qui aime pas ma mère. cette fille je vais la conquérir. 

Tapha:en tout cas, je t'ai dit ce que je pensais.je m'en vais, moi je ne peux pas parler avec vous.

Malick:d'accord merci d'être venu. On s'appelle ciao. 

Aziz:Tapha tu ne m'attends pas. On est venu ensemble donc rentrons ensemble. 

Tapha:tu connais le chemin OK 

Et puis il s'en va. A peine parti 

Aziz:ne l'écoute pas. Fais ce que ton coeur te dit. 

Malick: OK. Si tu voyais cette fille même toi tu tomberai sur son charme. Elle est rayonnante machallah.

Aziz: oh le petit amoureux. Personne ne va entendre maintenant(rire)

Et puis il était entrain de parler de tout et de n'importe quoi quand Yaye Nafi entra dans le salon. 

Yaye Nafi:mon fils t'es rentré. Je t'ai pas vu arrivé. 

Malick:je suis arrivé depuis longtemps. 

Yaye Nafi: où est Tapha (thiip juste en regardant Aziz )

Malick:il est parti ça fait un bon moment. 

Yaye Nafi:tu sais mon fils j'aime pas les personnes sans vergogne.

Malick:maman toi aussi laisse nous parler en paix (chuchote à l'oreille de ma mère)

Aziz:mon pote je crois que je vais partir. Il commence à faire nuit et je dois aller me préparer pour la prière du crépuscule. 

Yaye Nafi:c'est mieux pour toi. Vas y avec ton dos de voleur là (thiip)

Malick:maman toi aussi. Pourquoi ne peux pas tu aimer aziz comme moi qui suis ton fils (tout en criant car j'étais super énervé)

Aziz:Malick ne cries jamais sur ta mère. Quelques soit son comportement, elle restera toujours ta mère donc un peu de respect. Excuses toi auprès d'elle. 

Yaye Nafi:tes conseils tu peux les garder pour toi (thiip)

Aziz:mon pote d'accord je m'en vais. Au revoir. 

Malick: OK laisse moi te raccompagner. 

Puis Malick le raccompagne jusqu'à la porte puis reviens. 

Yaye Nafi:je ne sais pas où il t'a mis mais je vais le savoir . depuis que tu le connais, y a toujours des différends entre nous. Tu ne peux pas le laisser.

Malick:on n'aura plus de différends que quand tu l'acceptera. 

Yaye Nafi:c'est ça que tu dis(toute fâchée)

Malick: OK ne te fache pas. Je suis désolé. Tu sais que je ne veux pas te voir fâché aussi.allez souris. Je t'aime

Yaye Nafi:tu sais que je t'aime aussi mais tu dois laisser Aziz. Encore une fois vous n'êtes pas de la même classe sociale. 

Il ne la répond même pas sinon ils vont encore se disputer.

Malick:OK je te laisse, je vais monter dans ma chambre et prendre un bon bain pour me rafraîchir car il fait grave chaud. 

Yaye Nafi:allez vas y. 

DANS LA PEAU D'AÏCHA 

Après avoir parlé avec ce monsieur qui était sur le point de me renverser. Je prends mon chemin. J'avais grave peur car je me disais si je meurs qui va s'occuper de ma mère et de mes deux petites soeurs Nafi et Sarata. A peine 15minutes j'arrive chez moi car j'habite pas loin de mon lieu de travail. Arrivé ma mère me dit:

Yaye kiné:t'es rentré tôt aujourd'hui et la journée ça était.

Moi:Que dois je faire. Tout mes oranges sont gâchées. 

Yaye kiné:qu'est ce qui t'es arrivé ma fille? 

Moi:j'ai failli être renversé par une voiture. 

Yaye kiné:enverser!!t'es blessé? 

Moi:non j'ai rien du tout. 

Yaye kiné:Alhamdoulilah.allez raconte. 

Et puis je lui raconte tout. Après avoir fini. 

Nafi:(une des jumelles )t'as de la chance toi. Y a des personnes quand il te renverse il ne s'arrête même pas. 

Moi:toi. Tu vas me tuer. Comment connais tu ça (rire)

Yaye kiné:elle ne parle pas de choses dont les petites doivent parler (rire)

Sarata:on a de la chance. Et si t'étais morte. Que va t'ont faire.

Yaye kiné:ferme ta bouche . tu dis que des malheurs toi. 

Moi:maman je te laisse je vais aller préparer le dîner. 

Nafi:qu'est ce que tu vas préparer. 

Moi:sombi(bouillie de riz )car on a pas d'argent aujourd'hui. 

Sarata:c'est bien. L'essentiel est que nous mangerons. 

Yaye kiné:allez vas y ma fille. dépêche toi d'aller à la boutique et revenir vite car il commence à faire nuit. 

Moi:d'accord ne t'inquiète pas. 

DANS LA PEAU DE MALICK

Après avoir pris mon bain, je me pose sur le lit pour essayer de dormir un peu mais je pouvais pas car ma pensée était envahi par cette jolie fille que j'ai renversé tout à l'heure et dont je suis tombé éperdument amoureux. 

À SUIVRE 

Comment va faire Malick pour encore rencontrer Aicha la fille qu'elle a renversé? 

Se rencontront t-ils au même endroit? 

Si vous voulez savoir, regardez la suite. N'oubliez pas de commenter et de voter si l'histoire est bon. Je vous donne rendez vous pour une partie.