Chapitre 21

1223 Words
#14 LE POINT DE VUE D'Hanna Nous fîmes notre entré dans la foule qui n'arrêtait pas de crier. Dans cette foule il y avait un ring de box . C'était un box privé, je pouvais voir que c'était hors la lois et qu'ils n'était pas autorisé à le faire.. J'avais la trouilles rien qu'en voyant les coups de poing et le crachement de sang qui s'éjectèrent de la bouche de ces derniers. _Ulrich, c'est qu'elle genre d'endroit que tu m'amène. Donc vous ne vous contentez pas de prendre des verres avec des potes ou de faire un petit ciné quoi _"relax, tu vas aimer. Attend que je monte sur le ring" _" quel ring. Ne me dis pas que t'es venu pour te battre _" tu verras." _" non Ulrich fais pas ça" _"t'inquiète pas, il n'aura pas le temps de me toucher " _" sérieux c'est ridicule " _"tu ne trouve pas ça excitant ?" _" ça t'excite de te taper dessus" _" j'ai pas peur de la douleur" _"et de la douleur de l'autre. C'est faire du mal au autres qui t'excite peut-être ? " _"c'est juste que j'aime me battre" _" j'ai du mal à comprendre" _" c'est une manière comme une autre de me défouler" _" pourquoi. Contre quelle traumatisme tu te bas , pour avoir l'envie de te défouler comme ça" _"fous lui la paix sérieux tu commences à sérieusement à me faire chier. C'est quoi son problème à cette conne, tu vas pas quand même te dégonflé à cause d'elle. C'est pas le moment". Dit sa copine Maya Il ne m'avait pas écouter, au lieu de cela il monta sur le ring pour se battre. Il était vraiment fort. Mais moi j'arrivais pas à supporter toute cette violence, tous les coups de poing qu'il donnait à son adversaire me rendait instable. Ça me rappelait l'époque où mon père tabassait ma mère ou quand il me fermait dans un armoire. C'était vraiment méchant de ça part de frapper un adversaire de cette manière. Si pour lui c'était juste, moi je vois les choses autrement.. Je pouvais pas supporter une minute de plus dans cette salle avec toute la foule qui criait" Ulrich, Ulrich, Ulrich "... J'étais terrorisée. Je me suis retirée en courant et Mario me suivit. _" Mario, tu savais où on venait toi ? C'est quoi tout ce scénario " _" oui je m'en doutais " _" pour s'amuser en plus, c'est n'importe quoi. Et si demain il décidait de frapper un sans abris pour se défouler " _" oublie tout ça, oublie . Parce que ça n'en vaut pas la peine. " _"d'accord si tu le dis" _"voilà. Tiens, je voulais te remercier de m'avoir proposé de venir à la soirée. Ça m'a fait très plaisir " _" t'inquiète c'est rien. Ça été un peu à l'improviste " Mario s'approcha de moi pour me voler un baisé. C'était inattendu, je savais pas qu'il irait jusqu'à oser m'embrasser. Mais je restai muette face à ce baisé, je ne lui avais pas répondue. Ces lèvres étaient juste posées sur les miennes. Ulrich sortit de nul part pour le pousser de force, mettant à terme le baisé que Mario me donnait. Il se retrouva au sol en une fraction de seconde. _" Non mais Ulrich qu'est ce qui te prend de le pousser de cette façon " _" je veux pas que ce petit c*n pose ces mains sur toi. " Je me suis abaissée pour lui tendre la main, essayant de l'aider à se relever. _"je suis désolée, vraiment" . _" t'inquiète Hanna, ça va je vais bien. À vrai dire je me doutais de quelques. Mais là je le confirme. Je vais m'en aller, bonne soirée à toi Hanna". Grogna Mario avant de me tourner dos. _"Mari tu peux pas partir à pieds " Il s'arrêta pas et continua sa route. Je l'ai regardé s'en aller puis je retournai mes talons _"tu te prends pour qui Ulrich" grogna-je d'une méchante voix. _"j'en sais rien. J'avais jamais été jaloux de toute ma vie, tu me rend fou Hanna " ces yeux étaient sombres et noir" _" c'est tout ce que t'as me proposer, pas vrai. Je veux plus jamais que ça se reproduise " _"je te jure que ça se produira plus promis Hanna" _" non je veux plus jamais qu'il se passe quelque chose entre nous. Plus jamais. " dis-je sèchement en me retournant, il m'arrêta par les bras, faisant pression, j'avais énormément mal sous sa peau. _" quoi tu peux pas me faire ça". Sa voix était colérique, remplie de rage _" Ulrich tu me fais mal lâche moi. " _" tu n'arrête pas de me mener en bâteau encore et encore. " _" j'ai peur, aiie " ma voix pleurant de frayeur _" peur de quoi, à part du noir quand on est une petite fille " _"tu comprends pas." Dis-je en pleurant des larmes aux yeux. "je veux plus jamais quelqu'un de violant dans ma vie Espoir . J'ai peur de toi" Il me laissa de son emprise et je sentis mon corps se dégonflé, laissant ces empreintes sur ma fine peau. Mes mots l'avaient touché au plus profond mais son visage était toujours rempli de rage. La férocité dans son regard me faisait énormément flipper encore et encore. Je voulais plus le sentir proche de moi parce qu'il commençait par me rappeler la violence de mon père. Je coulais des larmes, parce que j'aimais vraiment pas ce moment. LE POINT DE VUE d'Ulrich "J'ai peur de toi... Je veux plus qu'il se passe quoi que ce soit entre nous". Ces phrases résonnaient comme un coup tonnerre dans ma tête. J'étais vraiment impuissant après ce moment, j'avais l'impression que mon cœur avait était broyé et écrasé en mille morceaux,dont je pouvais certainement plus recoller. J'étais de plus en plus fou de rage, j'envoulais énormément à ce Mario. Le voir, me remplissait de haine. A cause de lui, Hanna me voyait comme un monstre auquel devait s'éloigner. J'ai lu la peur en elle. Elle était énormément terrorisée par ma faute. Rien que le fait de savoir que j'étais à la base de sa frayeur me rendait encore plus malade. La fraîcheur inondait la ville ce soir. J'ai dû marcher jusqu'à la maison parce que Hanna ne voulait plus de moi. Elle était rentrée avec ces amies et ce Mario dans ma voiture. DEUX JOURS PLUS TARD... LA distance entre ma sœur devenait insupportable, deux jours qu'elles m'évitait dans tous les coins et recoin de la maison. Chaque matin je me réveillais en pensant à elle et c'était pareil au cours de la journée qui, devenait fade. Elle faisait ces sorties sans moi, ce qui me m'angoissait énormément, mais je l'avais quand même mérité après tout... Un beau matin, alors que je rêvais du sport, j'ai croisé Hanna sur la pelouse entrain de manipuler son téléphone. Je me suis arrêté en ralentissant mes pas. Elle me faisait carrément dos, n'ayant pas remarqué ma présence, je me suis dis que j'allais pas la déranger. De toute façon elle voulait littéralement plus de moi, et je pouvais absolument rien n'y faire. Mon coeur se serra contre ma poitrine en bloquant toute paroles dans ma bouche. J'ai donc continué mes pas me retrouver dans ma chambre à coucher.
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