La faucheuse
Tu sais, je commence, ma voix rauque teintée d’un mélange de désir et de possessivité, je n’aime pas du tout te savoir dans les bras d’autres hommes.
Je glisse mes mains le long de son corps, la redécouvrant à chaque coup de rein, chaque mouvement puissant. Mon désir se transforme, se nourrit d'une colère qui bouillonne en moi à l'idée de la partager, même dans de simples pensées.
Elle me regarde, les yeux brillants d’une lueur provocante, comme si elle cherchait à défier chaque mot que je prononce.
— Et pourquoi pas ? dit-elle avec un sourire malicieux.
Cette provocation ne fait qu’attiser mon feu intérieur. J’augmente le rythme de nos mouvements, chacun plus sauvage que le précédent.
— Parce que tu es à moi, répliqué-je avec véhémence, mes coups de reins se faisant plu
