LOVE ISN'T FAIR ( TOME III)

CHAPITRE 8 (P2)

Peyton force a décidé de reposer son esprit pendant quelques minutes après une scéance de travail avec ses collègues il fallait absolument qu'ils obtiennent ce nouveau marché non pas parce qu'elle veut mpressionner son père mais parce qu'elle s'est promis de dépasser ses propres chiffres, elle s'arrêta au balcon de son bureau pour se vider l'esprit en observant la ville en mouvement mais il a une chose qui n'arrivait pas à sortir de son esprit : Brandon Ridley.

Ce bel homme qui l'a embrassé puis s'est excusé, celui qui avait l'air de sortir tout droit d'un conte de fée et qui s'est transformé peu à peu en cauchemar. Pourquoi faut-il que les choses soient aussi compliquées ? Elle se pose cette question à chaque fois que ce beau visage apparaît dans ses pensées, à chaque fois qu'elle se souvient de son sourire, du moment où il était content de la voir, content de passer du temps avec elle, et ce parfum si enivrant qui lui a retourné la tête la dernière fois qu'ils étaient dans la même pièce avant que son b****r aussi doux que possessif la fasse décoller pour qu'elle s'écrase brutalement au sol lorsqu'il t s'excusa.

Peyton ne sait pas pourquoi elle espérait qu'il revienne après ça, qu'il sorte de nulle part et apparaît dans son bureau pour lui dire qu'il aimerait qu'ils se donnent le temps de se connaître et peut-être de s'aimer mais certainement que tout comme quand elle était avec Derek elle espère beaucoup trop des autres, beaucoup trop des hommes ou alors beaucoup trop des personnes pour qui elle est prête à tout donner, c'est comme ça qu'elle est faite et puisqu'elle ne peut pas s'en empêcher elle se sent toujours utilisé à la fin, voilà l'histoire de sa vie se pensa t-elle avant d'essuyer une larme qui s'échappaot de son œil droit.

-- Peyton, tu es là ? entendit-elle à l'intérieur de son bureau elle revint sur ses pas pour trouver son père installer sur le fauteuil en face du sien

-- Ah, c'est toi papa

-- Oui à moins que tu attende quelqu'un d'autre

-- Non, je faisais juste une pause avant de me remettre au travail

-- Ah d'accord, à la tête que tu fais j'imagine que tu n'as pas vu ton frère

-- Qui, Patrick ?

-- Oui qui d'autre. Ah oui, j'avais oublié que Alex est aussi ton frère

-- Patrick est de retour ?

-- Oui en chair et en os

-- Et il est où ? Dans ton bureau ?

-- Il y était il y a environ une heure, comme d'habitude il m'a fait une scène avant de s'en aller dans un grand chaos

-- Tu veux dire comme d'habitude vous vous êtes disputés, n'est-ce pas

-- Non, je dis des choses censées et lui il se comporte comme un gamin voici ce qui se passe à chaque fois

-- Non mais papa, tu n'aurais pas pu faire un effort pour tenir ta langue pour une fois ?

-- Je suis désolé si ton frère est une inconscience sans pareil

-- Et bien moi je dis que vous vous ressemblez énormément

-- C'est une autre façon de m'insulter mais ne t'en fais pas je comprends

-- Alors Patrick rick est parti sans même chercher à me voir ?

-- Tu sais très bien que la seule personne qui compte pour lui c'est lui-même mais j'espérais au fond de moi qu'il ferait une exception pour toi

-- Ou alors c'est juste qu'il avait d'autres choses à faire, après tout tu lui a dit certainement des choses blessantes

-- on ne blesse que les gens qui ont une conscience et je doute bien que ton frère en ai une

-- Je t'ai bien dit que si tu veux l'insulter je suis la moins dernière personne que tu devrais solliciter pour écouter toutes ses sottises

-- Je sais bien que toi et ta mère vous le soutiendrez toujours

-- Papa si tu as fini tu peux t'en aller je vais me remettre au travail

-- Heureusement que je t'ai toi et maintenant alex, je me demande ce que je serai devenu avec trois enfants comme Patrick

-- Et bien ça t'aurait peut-être changé un peu pour que tu comprennes qu'il n'y a pas que le travail que tu veux qu'on fasse qui peut te rendre fier

-- Ce n'est pas mon travail c'est notre travail à tous, c'est le travail de tes arrière-grand-père, c'est le travail de notre famille alors quiconque est de cette famille est censé y prendre part

-- Et bien je suis là moi ça ne te suffit pas ? Je te rappelle que tu étais enfant unique tout comme ton père avant toi alors si tu as trois enfants pourquoi est-ce que tu veux que tous les trois travaille à tes ordres ?

-- Je pense que vous avez une mauvaise définition de la Dynastie

-- Et moi je pense que tu as une mauvaise définition de la famille

-- Et bien au moins nous sommes fixés

-- Va-t-en papa

-- Pas la peine de me chasser j'étais déjà sur le départ

-- Tant mieux ! dit-elle en le regardant s'en aller jusqu'à ce qu'il ferme la porte

-- Alors comme ça Patrick est rentré et il n'a vraiment pas cherché à me voir ? Se dit-elle à haute voix avant de rejoindre son balcon.

C'est vrai que patrick et son père n'ont jamais pu s'entendre depuisbien longtemps mais là il venait d'arriver, après tout ce qui s'est passé avant son départ elle espérait que ces deux là puissent faire une trêve au moins pour qu'il puisse avoir un dîner en famille tranquillement, mais c'est mal connaître les hommes de cette famille, Quelle Dynastie ! pensa t-elle avant d'entendre d'autres bruits de pas dans le bureau

-- Papa, je t'ai dit de t'en aller, ce n'est pas parce que je suis au balcon que ça te donne le droit de revenir dit-elle

-- Et bien Forgette on peut dire que tu n'aime pas ta famille

Peyton resta figé à l'entente de cette voix avant de se retourner doucement ne sachant pas comment réagit

-- Stacy...

-- En chaire et en os, je t'ai manqué dit cette dernières en avançant pour la prendre dans ses bras

Stupéfaite, Peyton mis quelques secondes avant de se joindre à l'étreinte.

-- Avoue que mon câlin t'a surpris

-- Je n'ai pas besoin de l'avouer ça se voit sur mon visage je pense

-- Oui mais sur un visage beaucoup trop triste à mon goût

-- Alors, tu es rentrée depuis quand ?

-- Depuis deux jours maintenant

-- Toi au moins tu sais que lorsqu'on rentre on vient voir ses proches

-- J'imagine que tu dois faire allusion à Patrick

-- Comment tu sais, tu l'as vu ?

-- Non, du moins pas depuis New-York et à part moi c'est lui qui s'était absenté, non ?

-- Oui en effet et aujourd'hui j'apprends qu'il est rentré depuis je ne sais quand et il n'a même pas chercher à voir sa petite sœur

-- Ah les grands frères parfois on ne les comprend pas

-- Ça tu peux le dire, je t'apporte quelque chose, un café ou autre ?

-- non rien ça va, tu n'es quand même pas ma servante

-- Attends un peu, tu as dit que tu as vu Patrick à New-York yoalors c'est là-bas qu'il était tout ce temps ?

-- Et oui ma chère, pourquoi tu ne le savais pas

-- Non je ne savais pas, il n'a dit à personne où il et était maintenant je commence à comprendre pourquoi dit-elle en lançant un regard des plus signifiant à Stacy

-- Wow wow wow attends, qu'est-ce que tu veux dire par "maintenant je comprends pourquoi"

-- Et bien que vous étiez ensemble visiblement et comme par magie quand il rentre tu rentres aussi

-- Normalement c'est là que je dois être blessé que tu imagines ça de moi mais je ne t'en veux pas, je te comprends

-- Qu'est-ce que tu racontes encore ?

-- Et bien ça peut-être surprenant mais je n'ai absolument rien à voir avec le voyage de Patrick à New-York d'accord ? On s'est vu un soir ou deux et c'est parce que j'étais tombé sur lui par hasard dans un bar où l'essayer de frapper Derek Bones

-- Quoi, attends quoi ?

-- C'est beaucoup trop d'informations pour ton petit cerveau ? Oui, j'avais oublié comment tu absorbes les informations

-- Arrête, ce n'est pas une blague

-- Je ne blague pas, avec toi il faut toujours aller lentement. Bon je t'explique, un soir je me suis rendu dans un club où j'avais remarqué que Derek trainait avec ses potes, j'avais prévu de lui met une raclée c'était juste après que je sache ce qu'il t'a fait eet c'est là que quelqu'un m'a devancé dans en lui mettant une gifle, j'ai vu que c'était Patrick lorsqu'ils à été jeté hors du club

-- Alors Derek était aussi à New-York avec toi

-- Je ne sais pas ce que tu penses mais je t'assure que c'est absolument pas du tout ce que tu crois, d'accord ? Je ne t'ai ni volé ton petit ami, ni volé ton frère, j'étais juste là je ne sais pas si je dois dire au bon ou au mauvais endroit à l'instant qu'il fallait, d'accord ?

-- Franchement je ne sais pas quoi penser

-- Enfin Peyton tu m'imagines essayer de draguer quelqu'un comme Derek ? Je t'ai toujours dit que c'était un abruti et il l'a confirmé lui-même en se comportant mal avec toi

-- Peut-être mais tu allais toujours dans le même bar que lui, qu'est-ce que tu lui voulais ?

-- Attends un peu, ce n'est pas le moment de faire une crise de jalousie, d'abord je te rappelle que c'est ton ex d'accord ? Tu l'as dit toi-même, tu l'a plaqué alors je ne vois pas pourquoi je dois te donner des explications sur ce que je faisais à New-York

-- Oui c'est vrai tu as raison, je suis désolée je ne sais même pas pourquoi est-ce que j'essaie encore de parler de lui surtout en t'accusant toi parce que même si tu y étais pour quelque chose dans cet rupture il n'avait pas le droit de me traiter ainsi

-- Je suis rassurée, en plus je n'y suis pour rien dans cet rupture, mais alors là pour rien

-- Très bien, je veux bien te croire

-- Merci, c'est déjà un bon début

-- Et pour Patrick alors ?

-- Quoi pour Patrick ? Je te l'ai dit je suis tombé sur lui par hasard, d'accord ?

-- Stacy je te rappelle que tu faisais des mains et des pieds pour attirer l'attention de Patrick en l'éloignant de Camélia et quand je dis mains et pieds c'est peu dire vu tous les plantes que tu as mis en action pour arriver à tes fins alors ne me fais pas croire que tu es tombé sur lui par hasard et que tu l'as gentiment laissé passer

-- J'avais peut-être l'habitude de penser que ton frère était ma propriétaire privée mais je te rappelle que trois ans sont passés avant qu'il ne vienne à New-York, trois ans d'accord ? Alors même si j'étais obsédé par ses beaux yeux et c'est ce n'est pas le cas, je n'aurais pas mis en place tout ce plan pour qu'il vienne me retrouver là-bas, tu sais très bien que je ne serai jamais la maîtresse de personne, j'ai beaucoup trop de valeur pour ça

-- Oui c'est vrai tu as raison, si tu voulais être avec Patrick ça serait pour t'afficher sur les plus grands panneaux publicitaires de Coryland mais avoue que c'est quand même une coïncidence un peu compliqué et difficile à croire

-- Ah oui c'est vrai Forgette et d'ailleurs moi-même je n'y croyais pas lorsque je l'ai vu débarquer là-bas mais je t'assure qu'il ne s'est rien passé entre nous

-- Parce qu'il t'a rejeté ou alors tu ne le voulais pas ?

-- C'était juste un vieil ami que j'ai revu une nuit,nous sommes sortis un ou deux soirs pour aller au restaurant parce qu'il était déprimé et qu'il ne voulait pas manger seul rien de plus, rien de moins c'est même moi qui l'ai convaincu de rentrer auprès de sa petite femme chérie

-- Alors là pour une histoire tiré par les cheveux c'en est une

-- Oui une mais c'est la vérité crois-moi et même si tu ne me crois pas je ne t'en voudrais pas d'ailleurs personne ne me croit vraiment quand je dis que j'ai changé alors...

-- Moi je te crois

-- Ah oui, merci Peyton !

-- Je te crois parce que vous j'ai toujours voulu que tu changes enfin et aussi parce que ça me ferait plus de bien de le croire plutôt que de t'imaginer en train de mettre en place un autre plan pour fatiguer cette pauvre Camélia

-- Et bien peu importe les raisons pour lesquelles tu me crois ai tu le fais ça me suffit

-- Tant mieux, alors tu es de retour pour de bon ?

-- Oui, ma punition est levé apparemment, cool hein ?

-- Oui si on veut, quoi qu'il en soit ça me fait plaisir de te revoir

-- Oui moi aussi, tes grands yeux m'ont tellement manqués

-- Et toi cette longue tignasse rouge feu m'a manqué également

-- Alors ça y est, fini l'université tu travailles ici maintenant ?

-- Faut crois que oui, plein de choses ont changé en trois ans

-- Je vois. Ça alors, ton bureau est dément, et le balcon a trop de classe !

-- Oui c'est vrai, c'est plutôt classe ici

-- Sinon à part ça, quelles sont les nouvelles ?

-- Tu sais, rien de nouveau je pense que tu sais déjà tout

-- Alors là je n'en suis pas si sûr, il y a eu quelque chose de nouveau après ta rupture avec Derek il y a quelques mois

-- Non pas vraiment grand-chose, tu sais dans ma vie il n'y a jamais quelque chose d'intéressant qui se passe

-- C'est pour ça que tu faisais cette tête d'enterrement ?

-- Faut croire que oui

-- Alors dis-moi qu'est-ce qui devait se passer et qui ne s'est pas passé ?

-- Rien je te dis

-- Forgette, je pense que tu as oublié qui je suis et qui tu es toi. Moi je suis la liseuse automatique et toi tu es un livre ouvert

-- Tu as toujours en tête cette vieille phrase lque tu m'a dite en primaire ?

-- Oui parce qu'elle est toujours d'actualité à ce que je vois

-- Très bien, il a bien quelque chose

-- Je le savais ! Vas-y, crache le morceau

-- Il y a cet homme, Brandon

-- Oulaaa je crois qu'on va bien s'amuser

-- C'est sérieux Stacy. Les choses avaient bien commencé entre nous et ensuite à minuit le conte de fées s'est arrêté

-- Pourquoi, tu as découvert qu'il est marié ?

-- Non, c'est encore pire

-- Ne me dis pas qu'il a des jumeaux, oh je déteste les jumeaux

-- Non bien pire. Il a découvert que je ne fais plus confiance aux hommes

-- Quoi, qu'est-ce que c'est que ça ? Et comment est-ce qu'il a découvert ?

-- Oui Stacy, depuis ce qui c'est passé avec tu sais qui je ne sais pas, j'ai peur de retomber amoureuse, de m'accrocher, d'y croire et que finalement cette personne me laisse tomber comme une vieille chaussette

-- Et tu as dit tout ça à Brandon ? Mais c'est normal qu'il se soit éloigné, Peyton personne n'a envie de venir ramasser les morceaux que quelqu'un d'autre a détruite, je suis sûr que toi non plus tu ne voudrais pas ça

-- Oui je sais, c'est que je n'ai pas fait exprès d'accord ? J'ai craqué, je me suis mise à pleurer et je lui ai dit tout ça de but en blanc bien-sûr je l'ai regretté à la minute où c'est sorti mais c'était déjà trop tard

-- Oh mon Dieu, je savais très bien que tu ne pourrais pas vivre sans moi, pourquoi tu ne m'as pas appelé pour me le dire j'aurais pu t'aider, si je le savais je serai rentré plus tôt

-- Non tu n'y es pour rien et Derek non plus, je ne suis qu'une idiote qui ne sait même pas passé à autre chose après que son copain l'ai trompé

-- Non tu n'es surtout pas cette fille que tu viens de décrire, d'accord ? Je pense que ce n'est pas pour ça que Brandon s'est éloigné de toi

-- Quoi, qu'est-ce que tu veux dire ?

-- Je veux dire que s'il c'est d'abord approché de toi c'est parce qu'il a vu quelque chose de génial en toi comme nous le voyons tous c'est juste que tu l'as un peu effrayé ça arrive parfois mais il faut croire que c'est un grand trouillard, il est parti sans demandé son reste.

-- Et bien s'il est un trouillard autant dire que nous sommes pareils

-- Justement et c'est pour ça que vous devriez être ensemble

-- C'est plus facile à dire qu'à faire, il m'a dit que c'était mieux qu'on en reste là et je pense qu'il a raison, comme tu l'as dit personne ne veut ramasser les débris que quelqu'un d'autre à cassé

-- Ne dis pas de bêtises Peyton, je vais trouver une solution que tu vas mettre en pratique et tout va s'arranger, non mais tu as oublié qui je suis ? Je suis la fille qui a toujours un plan

-- Oui c'est vrai sauf que tous les plans que tu as toujours eu jusqu'ici étaient conçu pour détruire et non pour construire

-- Exactement alors ça va détruire cette barrière que vous avez mis entre vous

-- Très bien si tu le dis, ça ne coûte rien d'essayer

-- Oui exactement et fais-toi un peu confiance s'il, tu fais pitié à voir

-- Très bien je m'y mets tout de suite

-- Finalement apporte-moi un café, il faut que je réfléchisse à un plan.

-- À vos ordres mademoiselle !

Patrick forge gara sa voiture devant l'entreprise fusion je suis un grand arrivé dans le bâtiment tout le monde lui lança un regard stupéfait pendant que d'autres étaient contents de le voir. Arrivée devant son bureau à la place Gary il vit une autre assistante très occupée alors il avança vers le bureau soudain l'assistance se leva pour essayer de l'arrêter mais dès qu'elle le reconnu elle s'arrêta dans sa course ne sachant pas comment réagir il l'a dépassa et ouvrit la porte brusquement pour tombé sur une vision qui le laissa sans voix

-- Mo... monsieur Forge ?

Sans répondre il s'approcha du bureau avant de poser ses deux mains dessus et de mettre son visage en face de son interlocuteur

-- Alors c'est toi la super recrue ?

-- Bonne arrivée monsieur Forge

-- Ne fais pas cette tête d'horreur Gary, je ne suis pas là pour te faire quelque chose de mal

-- Ah oui ? Parce que vous avez l'air d'être sur le sur le pont de faire sortir un Ak47

-- Ça s'appelle de la détermination tout simplement. dit-il avant de prendre place

-- Ce n'est pas ce que vous croyez monsieur, je n'ai pas voulu.... Enfin je veux dire c'est arrivé tellement vite je ne voulais qu'aider

-- Relax Gary, je te crois

-- C'est vrai monsieur ?

-- Mais puisque je te le dis

-- Tant mieux parce que je ne veux surtout pas que vous pensiez que j'avais planifié tout ça, je ne pense même pas avoir la moitié de vos compétences

-- Ok et oui tu l'as, je dirais même que tu as beaucoup plus de compétences que moi

-- Mais enfin monsieur...

-- Non Gary, la seule chose qui me met au-dessus de toi c'est mon nom de famille, rien que ça

-- Et aussi vos diplômes et vos méthodes de travail

-- Oui, oui si tu veux mais si tu es là c'est parce que tu fais du bon travail

-- Vous avez vérifié ce que je fais ?

-- Non mais je l'ai entendu d'une source infaillible

-- N'écoutez pas madame Forge elle aime beaucoup me flatter, je fais de mon mieux pour atteindre les chiffres du mois tout simplement

-- Alors c'est bien Camélia qui t'a offert ce poste ? Demanda t-il surpris

-- Oui c'est elle qui me l'a offert au moins une un mois après votre départ, je lui ai bien dit que je ne pouvais pas accepter mais elle a insisté et donc je lui ai fait confiance et maintenant j'y suis

-- Ah bon ? D'accord, et il n'y a qu'à Camélia que tu fais tes rapports ? Tu es sûr que cet offre d'emploi soudaine n'était pas du faut de quelqu'un comme mon père par exemple

-- Je ne pense pas non, votre père est les plusieurs fois passés à mon bureau lorsqu'il y avait des réunions du conseil mais c'était seulement pour s'assurer que je faisais bien mon travail, mais ce n'est pas à lui que je fais les rapports

-- Très bien, je vois.

-- Non mais où sont mes manières ? Je vous apporte votre café comme d'habitude monsieur Forge ?

-- Oui merci Gary, avec ce que je viens d'entendre je pense que j'en aurai bien besoin.