— Aïe ! non non arrête !
Il est désormais sur mon bras, tout son poids écrase ce dernier, mon coude, mon poignet et mes doigts sont écrasés par le talon de ses bottes.
— Je t’en supplie ! non je serai sage promis !
La douleur est intenable, je ne peux plus réfléchir, je le supplie d'arrêter sachant pertinemment que mes supplications l'excitent. Il resserre davantage sa poigne et me projette dans le mur d'en face, ma tête contre un vase, mon dos contre le mur de pierre en relief ce qui me coupe la respiration. Le sang coule le long de mon corps meurtri, l'angoisse me prend les tripes quand je le vois arriver lentement, un objet dans la main, tandis que je suis accroupie sur le sol, la tête dans les miennes essayant de trouver un semblant de respiration stable.
— Tu n'aurais pas dû ! je
