*Magasin.
(Dans le même magasin où sont partis Isabelle et sa mère, se trouvent aussi Krist, sa sœur et leur mère. Ariane prend le même couloir que sa mère et Krist prend un autre couloir pour contempler la beauté de la mode féminine. Isabelle n'était jamais aller dans un endroit pareil, elle était émue par toutes ces choses magnifiques. Elle contemplait de ses yeux et elle ne voit plus sa mère. Elle vire dans un couloir et trouve deux habits qui retiennent son attention. Elle les prend tous les deux et les observe. C'est à ce moment que Krist arrive devant elle et dit).
Krist : vous avez l'embarras du choix ?
(Elle lève la tête et ses yeux se sont posés sur Krist et les siens sur elle. Quelle belle fille, quel bel homme ! Ils se regardent un moment, Isabelle senti de nouveaux battement dans son cœur, elle se rend compte que les battements de son cœur ne sont plus les mêmes, elle ne comprenait pas pour quoi. Krist ressent aussi la même chose. Il s'approche plus près d'elle et dit).
Krist : je peux vous aider ?
(Elle se ressaisi à peine).
Isabelle : euh...quoi...je...vous...m'aider, comment ?
Krist : je croyais que vous n'arriviez pas à choisir ?
Isabelle : choisir, choisir quoi ?
Krist : les habits que vous avez à la main.
(C'est à ce moment qu'elle se rappelle qu'elle a pris deux habits dans ses mains).
Isabelle : ah oui,je...
Krist : celui à votre droite vous iras très bien, sinon vous pouvez les prendre tous les deux.
Isabelle : OK, merci monsieur.
Krist : appelez-moi Krist.
Isabelle (sourire) : Krist, Krist, enchanté Krist, moi c'est Isabelle.
Krist : Isabelle ! Quel nom aussi magnifique que celui qui le porte ! Vous avez une voix si douce et si mélodieuse!
Isabelle (sourire) : hum, merci Krist.
Krist : Vous avez aussi un sourire radieux, si magnifique, le genre qui peut apprivoiser même l'homme le plus dangereux. Votre sourire peut transformer un loup en agneau Isabelle.
Isabelle (sourire) : merci, Krist. Vos compliments me touchent beaucoup. Vous avez aussi un très joli nom qui vous reflète tel que vous êtes.
Krist : merci, on vous a déjà dit que vous êtes exceptionnellement belle Isabelle ?
Isabelle (sourie): oui, on me le dit souvent, mais cela ne m'a jamais fait autant de plaisir que maintenant.
Krist : dès que j'ai posé le regard sur vous, mon cœur a tremblé dans ma poitrine comme la terre tremble à l'approche d'un séisme. Votre beauté fait fondre mon Coeur.
Isabelle (sourire) : je vous fait vraiment cet effet là !
Krist : je vous assure, votre beauté peut faire fondre même le cœur le plus dur et pourrait même pousser le diable à devenir bon. Quant à moi, elle me rend fou.
Isabelle (sourire) : merci pour votre compliment Krist, ça me va droit au cœur.
Krist : ça me vient tout droit du cœur aussi. Sinon, vous êtes venue toute seule ici ?
Isabelle : non, je suis venue avec ma mère mais je ne sais pas où elle est passée. Et vous, qu'êtes-vous venu faire dans un magasin pour femmes ?
Krist : je suis venu parce que Dieu m'a dit que je vous trouverai ici.
Isabelle (sourit) : vraiment ?
Krist : non, je plaisante, j'ai accompagné ma mère et ma sœur et je me balade pour contempler ces merveilles.
Isabelle : d'accord, tenez ça !
(Elle lui donne un de ses habits qu'elle a pris).
Krist : pourquoi vous me donnez ça ?
Isabelle : vous pouvez l'offrir à votre sœur, je suis sûr que cela lui plaira.
Krist : c'est gentil de votre part mais merci.
Isabelle : ce n'est pas à vous que je le donne mais à votre sœur et elle n'est pas là pour refuser. Tenez donc et offrez-la lui.
Krist : d'accord, merci beaucoup Isabelle, que Dieu vous bénisse !
Isabelle : amen.
Krist : dites-moi mademoiselle Isabelle, qu'est-ce que je dois faire pour gagner votre cœur ?
Isabelle : je n'en sais rien, impressionnez-moi ?
Krist : Isabelle, je ne suis pas fort dans les discours mais je veux simplement vous dire que je vous aime et je veux vous épouser.
(Elle éclate de rire).
Krist: qu’est-ce qui vous fais rire?
Isabelle : vous êtes sérieux là ?
Krist : je suis très sérieux Isabelle.
Isabelle : mais, on vient à peine de se rencontrer ?
Krist : c'est vrai, mais je ne saurais vous expliquez ce que je ressens pour vous en ce moment, je vous aime vraiment beaucoup et moi-même je ne comprends plus ce qui m'arrive.
(Curieusement, Isabelle ressent aussi la même chose pour lui, elle a l'impression de l'avoir connu depuis longtemps).
Isabelle : je....
(C'est à ce moment que sa mère arrive en l'appelant).
Isabelle : c'est ma mère.
(Elle arrive et Krist s'en va mais il se cache pour les écouter).
Rachel : mais où t'étais passé ?
Isabelle : je t'ai perdu maman en regardant toutes ses belles choses. Je voulais aller t'attendre à la réception.
Rachel : ok, c'est qui cet homme que je venais de voir ?
Isabelle : quelqu'un qui m'a aidé à choisir cette robe.
Rachel : hum, elle est magnifique, il sait choisir vraiment ! Il connait le goût des femmes on dirait. Allons-y maintenant.
(Elles s'en vont et Isabelle regarda derrière elle, elle voit Krist et ils se regardent jusqu'à ce qu'elles disparaissent derrière les habits. Krist regagne la réception pour voir encore cette merveille divine. Lui et Isabelle se regardent sans cesse. Krist veut tout faire pour avoir son numéro mais la mère d'Isabelle ne la quitte pas des yeux. Elles ont réglé leur factures et quand elles s'en vont, la mère et la sœur de Krist arrivent. Krist ne leur porte pas son attention car elle est orientée vers Isabelle qui partait. Elle aussi regardait Krist par derrière. Elle et sa mère sortent et Krist les suit dehors pour regarder encore cette belle œuvre d'art taillée des mains de Dieu. Avant d'entrer dans la voiture de sa mère, Isabelle regarde encore Krist une dernière fois avant de disparaître dans la voiture. Krist regarde la voiture jusqu'à ce qu'elle disparaisse dans la circulation. Sa sœur vient toucher son épaule et il sursaute).
Krist (effrayé) : Oh Ariane !
Ariane : mais qu'est-ce qui t'arrive grand frère, depuis là on ne fait que t'appeler mais on dirait que tu n'es pas sur cette terre ?
Krist : je suis amoureux petite sœur, oh Seigneur, pourquoi est-elle partie ?
Ariane : Krist, tu vas bien, tu es amoureux de qui ?
Krist : je n'ai jamais vu une fille aussi belle de toute ma vie petite sœur, peut-être qu'elle vient d'ailleurs.
Ariane : je ne te comprends pas grand frère, de quoi est-ce que tu parles ?
Krist : je n'ai pas pu prendre son numéro, comment vais-je la retrouver ?
Ariane : je pense qu'il y'a quiproquo grand frère, ne me laisse pas dans l'incertitude ?
Krist : OK, je viens de rencontrer une fille très belle et c'est elle que je regardais. Sa mère était là et je n'ai pas pu prendre son numéro. Maintenant elle est partie et elle me manque déjà.
Ariane : c'est quel genre d'amour comme ça grand frère ?
Krist : tu ne peux pas comprendre. On appellee cela le coup de foudre.
Ariane : viens, maman nous attend.
Krist : ne lui dit rien.
(Ils rejoignent leur mère et Krist offre la robe qu'Isabelle lui a donnée à sa sœur).
Ariane : mais grand frère, tu as fait un meilleur choix que nous. Merci beaucoup.
Clémence : tu étais où mon fils ?
Krist : je contemplais les merveilles de la mode feminine maman.
Clémence : OK, rentrons maintenant.
(Ainsi, ils montent tous dans la voiture de Clémence et ils rentrent à la maison).