Emily
- Es-tu sûr que tu vas bien ?
- Et pourquoi ?
- J'ai l'impression qu'un esprit a pris possession de ton corps, c'est la raison pour laquelle tu demandes autant de choses tout en sachant que c'est impossible de les avoir.
- Je le sais bien, mais il n'est pas interdit de rêver, alors je préfère rêver.
- Tu m'étonnes toujours.
Comment vas-tu ce soir ?
Je fais un geste de la tête pour lui montrer son entrejambe.
- Ça va un peu, je ressens toujours des douleurs et la nuit, c'est comme s'il était toujours en moi. Je ressens encore cette douleur.
- C'est pourquoi je fais tout pour ne pas passer là-bas.
- Finalement, c'est Isabelle qui va passer à la casserole.
J'ai peur pour elle, j'ai peur, comme si c'était moi qui allais passer.
On nous apporte notre repas. Adine demande à Manuella de s'apprêter. Elle va voir le roi.
— Madame Adine, peut-on avoir autre chose à manger ?
— Pourquoi ?
- C'est immangeable ! Nous n'aurons pas la force de travailler demain.
Elle éclate de rire :
- Ma petite, tu es bien drôle. C'est la nourriture des esclaves.
- Mais comment faire pour ne plus être esclave ? Comment faire pour travailler dans le palais comme servante ?
- Il faut taper dans l'œil du roi, ou, quand il aura fini avec vous, s'il vous cède à ses hommes et qu'il y en a un qui est très amoureux de toi, il pourra te faire travailler dans le palais en tant que femme de ménage.
- Ho...donc, tout vient du roi ?
- Exactement.
- Mais, tu ne pourras pas prendre cette décision ? Juste pour nous aider ?
- Désolée ma petite, je n'ai pas envie d'avoir des problèmes. Mais s'il y a des restes, je vais vous l'envoyer au lieu de les jeter.
- Merci beaucoup, madame.
— Maintenant, Isabelle, suis-moi.
Je suis dans mon bureau, j'envoie un message de mon ordinateur à Thérèse, la jeune sœur des frères Alcatraz, les deux princes lycans. Leur sœur veut que nous passions un contrat pour unir nos deux royaumes. Étant moi-même un demi-lycan, j'ai besoin d'une lycan pour perpétuer ma lignée. Je ne crois pas que je trouverai un jour mon âme sœur et de toute façon, à quoi bon la chercher ? Elle ne fera que me compliquer la vie. Car s'il lui arrive quelque chose, je le ressentirai. Elle m'affaiblira et je ne veux pas être faible.
Je suis le loup le plus puissant du pays. J'ai pratiquement la même force qu'un lycan. Et avec une femelle lycan, j'aurais une belle descendance.
On frappe à la porte et c'est Adine. Elle est comme une mère pour moi, elle a toujours été là pour moi.
- Entre Adine.
— Mon roi, j'ai amené l'esclave comme vous l'avez demandé. Je la dépose où ?
- Dis-lui d'entrer et laisse-nous.
- Bien mon roi.
Elle fait entrer une petite fille qui tremble comme une souris dans l'eau. Son regard rempli de peur me fait plaisir. Je le nourris de ça.
- Approche et déshabille-toi.
Elle avance doucement, trop lentement à mon goût.
- Vais-tu te dépêcher ?
Elle enlève rapidement ses haillons. Elle a une belle poitrine.
- Approche.
Elle s'avance.
- À genoux.
Elle s'exécute, elle transpire.
- Enlève mon sexe et s**e-moi.
Je m'installe confortablement et je la regarde faire, ses mains tremblent.
Elle enlève mon sexe et la regarde avec avidité. Elle avale difficilement sa salive.
- Caresse-moi doucement.
Elle le fait, mais ses mains sont dures et calleuses.
On frappe à la porte. Elle enlève rapidement ses mains :
- Ai-je demandé d'arrêter ?
- Non, majesté.
- Alors continue.
Elle reprend mon membre qui se lève lentement. On frappe à nouveau à la porte et j'autorise la personne à entrer. Je vois apparaître la tête de ma maîtresse.
— Mon roi…, elle s'arrête quand elle remarque la jeune fille à mes pieds.
Ses yeux brillent de colère, mais elle prend un instant pour se calmer :
— Je... Elle referme la porte et vient près de moi. Il fallait me dire que tu avais besoin de détente, j'allais m'occuper de toi. La petite continue de me caresser. Je baisse la tête vers elle et lui demande :
- s**e-moi maintenant.
Elle se lèche les lèvres et commence à humidifier mon g***d. Maîtresse s'approche de moi, je crois qu'elle a aussi envie de se détendre. Elle le caresse affectueusement les épaules et commence à déboutonner la chemise. Je la laisse faire. Je veux voir ce qu'elle a l'intention de faire. Elle me caresse la poitrine pendant que l'autre me prend dans sa bouche. Elle fait descendre les bretelles de sa robe et me montre sa belle poitrine. Elle la porte à mes lèvres. Je les s**e savamment. Puis, ma main lui broie les seins, elle gémit de douleur. Elle sait que j'adore faire mal, j'aime ça, c'est essentiel pour moi. Je lui torse les tétons.
- Vas-y plus vite !
L'esclave essaie d'aller plus vite. Mais malgré sa volonté, elle est très lente.
J'attaque ses cheveux, je les tire et je bouge la hanche pour embrasser sa bouche.
Maîtresse continue de me caresser, elle se penche pour lécher mes tétons.