Chapitre 9 : Rêve étrange

933 Words
Emily J'ouvre péniblement les yeux. J'ai mal à la tête. Je regarde autour de moi : je remarque que je suis enchaînée, je devais m'y attendre. Je regarde autour de moi, je suis dans un cachot plus sale que celui où je dors. Un cachot plus sale que celui où je dors. Les chaînes sont en argent. Sont-ils vraiment bêtes ? Pensent-ils que je suis une louve ? Pensent-ils me faire du mal en m'enchaînant avec des chaînes en argent ? Je souris, mais l'image du roi me apparaît et mon sourire s'éteint aussitôt. Il semble très en colère. J'aime le voir aussi en colère. Je regarde dans sa main un fouet aussi long qu'une corde. - Donc, tu te permets de mordre ton roi ? Qui t'a donné la permission de mettre tes sales dents sur moi ? - Vous majesté. Il ouvre grand les yeux, il ne s'attendait pas à ce que je lui réponde. Mais d'où tire-t-elle cette impertinence ? Comme si je n'avais pas peur qu'on me corrige. Je suis vraiment suicidaire. - Et tu oses me répondre ? Tu oses répondre à ton roi ? Il lève le bras et je reçois un premier coup de fouet. Le fouet me traverse l'épaule et me traverse le ventre. Une plaie géante apparaît là où le fouet est passé. Je pousse l'un de ces hurlements de bêtes sauvages. Ah ! Que ça fait mal… Aïe, que ça brûle… Aïe ! Mon Dieu ! Haaa... Merde, je crois que c'est mieux que je perde connaissance, encore, pour qu'il passe à autre chose. Je reçois un autre coup de fouet et je fais semblant d'être évanouie...Mais et s'il me frappe encore ? Comment faire pour ne rien ressentir ? Ô mon Dieu, aidez-moi ! Aide-moi ! J'ai tant besoin de toi ! Que ce ne soit plus lui qui me frappe. Je reçois un autre coup de fouet, et étrangement, je ne ressens rien. Seigneur, merci beaucoup, merci de me soutenir dans ma douleur. Un autre coup et je ne ressens toujours rien. Mon Dieu m'a entendu. L'imbécile me donne plusieurs coups et, quand il remarque que je ne réagis pas, il s'arrête de me frapper et sort de là. s****d, violeur de femmes ! Tu n'auras pas ma peau. J'ouvre un œil pour le regarder sortir de la pièce. Imbécile, monstre ! Darel Je suis confortablement installé dans mon fauteuil et j'attends que cette esclave me fasse du bien avec sa langue. Elle avait bien commencé, j'étais aux anges, j'ai senti quelque chose quand elle m'a effleuré avec sa langue. Quelque chose que j'ai senti au plus profond de mon être. C'était si bon ! Je ne sais pas comment elle a fait, mais p****n, j'ai senti sa langue à l'intérieur de mon sexe, quelque chose que je n'avais jamais senti avec aucune autre femme. Mais la seconde suivante, c'était la descente aux enfers : j'ai senti la douleur la plus atroce qui ait jamais existé en moi. Je me suis rendu compte qu'elle m'avait mordu, cette esclave m'avait mordu. Le coup de pied que je lui ai donné l'a projetée contre le mur. C'était si fort qu'elle avait perdu connaissance. Je me suis redressé et j'ai regardé mon sexe, il était tout rouge et je voyais les traces de ses dents. Elle est très courageuse, il faut l'admettre. Je la loue son courage, mais je sais aussi que je vais lui donner une leçon dont elle se souviendra longtemps. Je remonte mon pantalon sur mon sexe qui continue de me faire très mal. Je me ferai un plaisir de la b****r sauvagement quand j'irai mieux. Je me ferai une joie de lui presser ses jolis seins quand elle sera sous moi, en train de gémir de douleur. J'appelle les gardes : — Emmène-la au sous-sol. - Mon roi, vous avez dit sous-sol ? - Oui, vous êtes sourds ? - Non, majesté, nous allons l'amener maintenant. - Et enchaînez-la avec des chaînes en argent. Pas d'eau ni de repas pendant trois jours. - Oui, majesté. - Et prévenez-moi dès qu'elle se réveille. — Bien, majesté. Adine arrive en courant : - Mon roi, que se passe-t-il ? - Ta... l'esclave que tu m'as envoyée est la plus effrontée de toutes et je lui ferai regretter ce qu'elle vient de me faire. - Majesté, pardonnez-moi, elle est si petite, c'est la plus jeune des esclaves. Elle est encore une enfant. Soyez indulgents, je vais lui parler ! — Sais-tu ce qu'elle a fait ? - Non, majesté ! - Non, majesté. — Cette effrontée m'a mordue. Tu m'entends ? Elle a essayé de me tuer et je devrais la pendre pour ce qu'elle a osé faire. Elle se met à genoux pour me supplier : — Mon roi, je vous en supplie, cette petite, je ne sais pas pourquoi, mais, j'ai de la pitié pour elle. Elle ressemble tellement à ma petite fille, si elle était toujours vivante ! S'il te plaît, fais-le pour moi, ne sois pas trop remonté contre elle. Je lui parlerai. - J'ai compris, sortez maintenant. Ils sortent tous, et emmènent l'effrontée. Je regarde mon sexe qui me fait un mal de chien. J'appelle mon médecin, qui est aussi un bon ami, à mon secours. Il doit être quelque part dans le palais à faire des expériences bizarres. Il arrive dès qu'il reçoit mon appel. Il me trouve dans ma chambre, cette chambre que je n'ouvre à personne, à part lui et de temps en temps ma maîtresse. - Que t'arrive-t-il ? - J'ai besoin de pansement.
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