CHAPTER 2

3675 Words
Zack eut un sourire en coin. Il à pas pu s'en empêcher. Il aimait les gens tenace. Celle-ci en faisait certainement partie. Cette hargne. Quand on veut quelque chose il faut avoir les couilles de s'en saisir. Personne ne donne plus rien gratuitement. Pour gérer dans le monde de la bourse il faut se montrer sans cœur et vigoureux. Les coups bas viennent de partout, il faut savoir esquiver et rendre coup par coup. Cela dans la plus grande discrétion. Le monde du travail. C'est un gâteaux glacée saupoudré d'une bonne dose d'hypocrisie. Il mit la main dans la poche de sa veste et prit son téléphone, fallait qu'il donne ce coup de fil avant d'oublier  Son interlocuteur répondit à la deuxième tonalité. - Bureaux de M Barry  j'écoute ? Répondit une voix d'homme - Tu sais que je t'appelle sur ton portable ? - Oui est alors ? C'est mon portable je réponds comme je veux - Crois moi venant de toi l'effet n'est pas le même. C'est quelqu'un d'autre qui doit prendre l'appel, pour que ça ait un sens. - Mais si la personne ne me connait pas je peux toujours dire que je ne suis pas la - Pourquoi tu vas faire ça ? - Pour filtrer mes appels - Ben alors pourquoi tu décroches ? Laisse juste sonner - Si je réponds pas ils vont insister - Mais... - Ho ho ho ça suffit tu appelles pourquoi même - Plus aimable que toi tu trouves pas. - Zacharia  ?? - J’appelle pour que tu me reparles de ce jeune homme que tu as chaudement recommandé - M'en rappelle pas dit il d'un ton bourrue - Si si tu t'en rappelle. Tu as dit beaucoup de bien sur lui, fais un effort un indice, il s'appelle Adama - Si je l'ai recommandé ça veut dire qu'il à du potentiel. Et alors ? - Tu n'as rien oublié de me dire d'autre grand-père ? - Zack si tu as découvert après l'avoir embauché qu’Adama est une femme c'est ton problème pourquoi tu m'appelles ? - Tu vois je le savais. Tu l'a fait exprès de me mettre volontairement dans le doute - Je m'en fou je fais ce que je veux. Si tu es trop paresseux pour vérifier par toi-même c'est ton affaire - J'aurai du revérifier quand j'ai vu que c'était toi la référence un vieil  homme à la retraite qui n'a plus toute ça tête - Le peu qui me reste de tête peut te botter le c*l. Sale ingrat. N'est ce pas tout ce que tu sais faire dans ta vie c'est moi qui te l'ai appris Zack riait sous cape. Il adorait ces petites chamailleries avec son grand-père. Il l'aimait autant que ses parents et le vieux à toujours été la pour lui - Okay je m'excuse si tu me dis que tu es désolé de m'avoir jouer ce tour. - Ça me paraît équitable. Vas y - Je suis désolé de penser que tu es un vieux fou. A ton tour - Je ne suis pas du tout désolé de t'avoir fait embaucher Adama. - Grand-père !!! - Tu es bête. Tu m'as oublié - Pfffff laisse tombé. Mais toi mieux que personne, tu connais mes raisons. Les femmes au boulot c’est des problèmes. - C'est juste que tu as eu une mauvaise expérience fiston. Mais elle peuvent se montrer très compétente et si jamais tu as envie de faire de trucs pas m******n tu peux les faire venir et verrouiller la porte de ton bureau. - Je refuse de poursuivre cette conversation. - Adama est bien, elle est une battante. J'ai vu ça dans son regard. Tu vas pas le regretter tu n'as pas vu son derrière - Grand-père !!! Tu es dégueu arrêtes ça maintenant. On se voit demain pour le RV chez le médecin. - Tu es malade ? - Oui à force de t'y accompagner tu m'as transmis tous tes défauts. Il faut que je m'en débarrasse. - Domram dit ça à ton père Il à raccroché sans autre forme de cérémonie. Zack avait l'habitude lui-même était comme ça. Il raccrochait dès que la conversation était finie. C'est finie kay pourquoi des au revoir encore. Il se replongea dans son travail sans vraiment être concentré. Adama qu'allait il faire d'elle soupira t'il si lui avait assez de self contrôle. Pour y résister, il n'en jurait pas autant de ses employés. Jamais il n'aurait pensé être attiré par ce genre de femme bien en rondeur. Il avait juste envie de tâter ses fesses. Juste pour voir si elles étaient aussi douce et ferme qu'elles laissaient voir. Ça aurait été une expérience tentante que celle de la glisser dans son lit. Il l'aurait prise par derrière juste pour sentir ses fesses rebondir à chaque coup de rein. Sérieusement est ce qu'il est entrain de fantasmer sur son assistante stagiaire? A croire que oui. Il se sentait serré dans son pantalon. Mieux valait éviter. Rester professionnel. On ne fricote pas avec le personnel. C'est quand même bizarre qu'il soit attiré par les fesses de cette fille. Son truc à lui c'est les femmes mince avec des courbes là ou il faut… comme Aida. Adama essayait tant bien que mal de se concentrer sur tout ce que lui disait Amadou. Il y avait une multitude de choses à apprendre si jamais elle voulait rester, elle se devait de se rendre indispensable aux yeux « vert » de Mister Important. La mâtiné était passé sans encombre. Il lui a pas une seule fois adressé la parole. En fait il ne l'a même pas regardé. Il appelait  Amadou donnait ses directives et puis c'était fini. Rien pour elle. Elle avait compris à la minute près qu'il n'allait pas lui rendre les choses faciles. Pas de panique ma vielle même pas peur. Moi femme forte, plus courageuse, plus p****n de chiffre à apprendre par cœur. - Et donc disait Amadou il est important d'assimiler cette courbe de fréquences chaque matin tu dois la réactualiser et mettre le bosse au courant des derniers  changements. Tu m'écoutes Adama. - Bien sûr, je suis toute ouïe. - Parce que ce tableau et super important je te parle de milliards d'argent - Fictifs - Ha ha ha. Si tu veux. - Enfin tu rigoles je pensais que comme ton patron tu avais avaler un balaie - Chut tu es folle. Premier jour et tu veux me faire licencier - Mais non t'inquiète je suis sûr que si tu faisais une erreur. Je suis celle qui va perdre son emploie. - Je fais jamais d'erreur - Quoi ? Jamais jamais - Jamais. La bourse c'est les montagnes russes je ne peux pas me permettre la moindre petite erreur. Le boss fait en sorte de nous donner le bon exemple, chaque jour il arrive en premier et rentre le dernier. Il se donne à fond et tout ce qu'il touche se transforme en or - Il peut pas me toucher pour voir ? Crois moi j'en ai besoin. - Si tu travailles bien il t'apprendra à faire de l'argent « liquide » - Vivement ce jour - Plus sérieusement. Si tu veux qu'il te garde il te faudra faire un sans faute. - Sinon il me fiche à la porte. - Mais non il vire personne. Il renvoie Fall, Fall c'est le directeur des ressources humaines, toutes les semaines  et il est toujours là.  - Alors qu'est ce qu'il va faire de moi. - T'envoyer dans un autre service très très loin de son bureau. Mais toi tu ne veux pas ça. Ce que tu veux c'est réussir. Alors apprend ce tableau. - J'ai pas le choix on dirait. Tu as placé la barre très haute. M Parfait Il sourit - Ouais je suis assez fier de moi. La soirée s'étira en longueur. Hoooo mais m***e il veut pas rentrer chez lui ou quoi. Il est 20h,ma mère n'arrête pas de m'appeler. À force de lui répondre que je suis toujours au bureau elle va vider le peu de batterie qui me reste. Déjà que le téléphone à déjà fait son temps. Si ma mère me rappelle, il se suicide. Apparemment mon père s'énerve. Est-ce de ma faute si mon patron nous prends en otage dans son bureau. En plus elle commençait à avoir faim. Son déjeuner à la cantine remontait à l'après-midi. Elle avait déjeuné avec le personnel toute seule à l'écart pendant que le boss et Adama se rendait à un déjeuner d'affaire. Fall était arrivé juste au moment ou elle terminait son dessert. Il lui fit la conversation poliment. Ce qui donna du courage à d'autres de ses collègues qui rejoignirent leur table. Elle s'éclipsa lorsqu'ils commencèrent à devenir nombreux. Chose qu'elle ne devait pas faire. A peine s’était-elle levé quelle sentait leur yeux sur ses fesses. Elle s'empressa de sortir aussi dignement qu'elle pouvait sans céder à la panique de courir jusqu'à la porte. Sa mère lui disait toujours que ses grosse fesses allait la plonger dans tous les problèmes du monde. Quel plaie. Quand certaines femmes les voulaient grosse. Moi je veux m'en débarrasser. Même quand je perds du poids, mes fesses restent. . Je crois que je vais éviter la cantine un moment. Je me reconcentrais sur l'énorme dictionnaire que je lisais quand je dis dictionnaire je parle bien sûr de cet énorme bouquin rempli de chiffre à apprendre par cœur. Amadou quant à lui était posé au calme sur son ordinateur. Je voulais lui poser la question à savoir quand est-ce qu'on allait rentrer, mais je voulais pas le déranger il semblait immerger dans les chiffres. Si on me valide dans un mois. Il pourra tranquillement rejoindre son nouveau boulot. En Suisse. La classe. Il est tout content apparemment c'est le premier qui a une orientation à l'extérieur. Les autres ont commencé au sein même de l'entreprise ou ont été pistonné par le grand manitou dans d'autres entreprises. Si c'est le cas c’est sûrement comme il le dit alors. Il ne fait jamais d'erreur j'ai intérêt à mettre des bouchées double. Il est 20h45 lorsqu'il appelle pour nous libérer. - Range tes affaires on y va. - Il est pas trop tôt - Estime toi heureuse ma grande. Il aurait pu te garder plus longtemps. - C'est comme ça tous les jours ? - Oui. Tu vas devoir en parler à tes parents. J'ai vu que ta mère n'a pas arrêté d'appeler. Si tu veux rester se sera sur ses conditions. Tu vois pourquoi il veut pas des femmes. Adama comprenait mais ce ne sera pas une raison pour qu'elle abandonne si près du but. Elle devra entrer en négociation avec son père. En guerre peut être, mais elle n'allait pas lâcher prise  - Tu habites ou ? - Ouakam. - Waou tu es loin. Je peux te déposer aujourd'hui. Mais il te faudra un taxi que tu pourras appeler surtout pendant la nuit. Dans sa tête elle pensa « comme si je n'avais pas assez de problème d'argent. Comment je vais prendre se taxi. » - Et lui il rentre pas ? - Non il commence tard les mardis alors il reste plus longtemps la veille. - Okay je vois - Tu es prête oui Ile sortirent. La ville était déserte fini les bruit de klaxon, les cris des marchands ambulants de la journée. On pourrait presque juré que personne n'y vivait tellement c'était calme. En route Amadou lui expliqua le programme de la journée suivante. Tout était réglé comme une montre à la minute près.  Chaque service à un jour de réunion qui lui est dédié. Et le vendredi réunion générale avec tout les services concernés. Il l'a déposa sur le bord de la route. Malgré son insistance pour la raccompagner devant sa porte elle refusa. Le pauvre il aller faire le chemin en sens inverse. Elle ne pouvait pas a***é encore plus. Elle regarda sa montre il était déjà 21h00 passé lorsqu'elle tapa à la porte de chez elle. Sa sœur ouvrit - Wa ou est-ce que tu étais il va faire une syncope le vieux t'as pas vu mes messages - Le téléphone c'est éteint. Vite pousse toi - Adama c'est toi cria sa mère depuis le salon. Sa sœur lui fit une grimace qui voulait dire. Je te souhaite bonne chance.  Un fois dans le salon. Elle fit une génuflexion en saluant ces parents depuis la porte. Son plan étant de filer le plus vite dans sa chambre. - Père, mère Elle allait ressortir lorsque son père lui demanda de venir s'assoir. Son ton était tranchant. Elle s'assit comme une petite fille prise en faute. - Adama tu étais ou ? - Au travail papa - Au travail jusqu'à cette heure ci tu te fous de moi. - Non papa - Ça c'est des heures de travail normal ? Travail kay 18h la yem (le boulot finit à 18h) - Mais papa mon entreprise et une grande entreprise, raison de plus pour travailler deux fois plus. Et puis je t'ai dit - Adama c'est pas parce que je n'ai pas fait l'école que tu peux me leurrer. Le travail commence à 8h et ce termine à 17h bou fékkei ligueye bi nga beuga moubo pour takhawalou yakkeu nga ko dome nakh mane ma la mak. (Si tu penses utiliser le boulot pour traîner toute la soirée dehors tu te trompes lourdement) - Non papa je te jure que j'étais au bureau tu me connais je ne suis pas comme ça mais ce nouveau boulot ce n'est pas comme mon stage à la banque. Ou je terminais à 16h - Une fille ne traîne pas dans la rue jusqu'à 22h si c'est ça tu arrêtes  Adama regarda sa mère pour que cette dernière lui vienne en aide. Elle n'allait pas perdre son boulot avant même d'avoir commencer. Et son père plus que quiconque était conscient de l'importance de ce travail - On en rediscutera Aladji. Il est presque l'heure de dîner. Dit à ta sœur de faire chauffer le dîner en attendant que tu te changes. Elle se leva à contre cœur. Elle ne voulait pas que la discussion se termine sur cette note hors de question pour elle d'arrêter. Elle regarda autour d'elle. La peinture était défraichi. Rien que le fauteuil sur lequel elle était assise était usée jusqu'à l'os. L'éponge qui était sensé recouvrir le bois, au fil des années était devenue un mince filet ressemblant à du tissue ce qui fait que qu'on avait mal au fesse si on restait assis trop longtemps. Toute la maison avait un goût de vieillot. Pas comme on lit dans les romans pour décrire une maison ancienne et stylée. Mais la maison en elle-même était vielle, usée, fatiguée. Les murs fissurés par l'érosion les poignées des portes et les fenêtres rouillées.  Cette maison tombait en décrépitude. Elle se dirigea vers sa chambre le visage serré. Évoqué cette maison lui faisait mal au cœur. Au fond d'elle, elle éprouvait une certaine honte. La maison est vielle et tellement peu présentable. Alors pourquoi son père se drapait dans cette fausse dignité. Elle claqua la porte si fortement que le verrou tomba. Saleté de maison en ruine pensa t'elle. - Wa hé ne nous bousille pas ce qui nous reste de porte Lui dit ça sœur d'un ton mi-figue mi-raisin. Elle sourit à son tour. - Premier jour de travaille et il faut déjà que j'arrête. - Je l'ai entendu. Mais c'est juste son inquiétude qui parle. Il est quand même tard - Et apparemment encore très tôt pour mon boss. Je l'ai laissé à son bureau.  Elle se déshabillait en même temps. Elle pliait ses vêtements avec délicatesse. Elle pourrait les porter une deuxième fois avant de les laver. Avec le peu qu'elle en avait elle se devait d'en prendre soin. Son premier salaire ne lui permettrai même pas de se faire une petite garde-robe. Il allait passé entièrement dans la maison. Dans la cuisine surtout. Ils ne mouraient certes pas de faim, mais un petit changement dans leur assiettes ne leur ferait que du bien. À la voir avec ces rondeurs on ne pourrait pas imaginer qu’elle se privait de manger pour maigrir. Et pourtant c'était le cas. Elle prenait du poids sans effort. On ne pouvait pas lutter contre la génétique. Il lui suffisait juste de voir sa mère, pour s'avouer vaincue. Sa sœur elle avait plus de chance. Elle était mince et pouvait manger n'importe quoi. - Maman à dit de faire chauffer le dîner. - C'est bon j'ai déjà commencé - Ya quoi à manger ? - Ce qu'il y avait à midi - Et il y avait quoi à midi ? - Du yassa poisson comme tu aimes. - Sympa - Tu as mangé ? J'ai pas arrêté de me demander comment tu allais faire. Tu as partagé avec moi le reste de ton argent, je m'en veux tellement - Arrêtes on vas pas revenir sur le sujet. Je suis ta grande sœur si j'ai l'opportunité je dois t'aider. En plus faire le bien ramène du bien. Figure toi que j'ai une allocation pour manger à la cantine. - Excellent ça - Dommage juste que je ne puisse pas prendre l'argent. - Te casse pas la tête avec ça, pour une fois pense à toi. On vit très bien - Non on survit. Crois moi, on peut faire mieux. Et dans un  mois si tout ce passe bien. J'aurais un bon salaire. Pour le moment je suis à l'essai. - Je croyais que c'était dans la poche ? - Je le croyais aussi. Mais mon bosse m'a prise pour un mec - Quoi lui dit ça sœur incrédule - Ben figure toi que M ne bosse qu'avec des hommes - ya pas de femme dans l'entreprise ? - Siiiiii, mais pas dans son entourage proche. - Tu peux me donner plus de détails - Je vais me laver le visage je reviens - Je te suis kay. Cette histoire et intéressante Adama secoua la tête. Quelle petite curieuse celle la. - Va voir le dîner à coup sûr tu vas l'oublier sur le gaz et il va cramer comme la dernière fois. Je me lave la figure pour enlever tout ce maquillage. Ouste Sa sœur alla dans la cuisine. Le riz blanc était chaud. Elle l'enleva pour déposer la sauce. Et mis le gaz à petit feu, pour pouvoir profiter au maximum des explications de sa sœur. Elle courue dans la chambre pour trouver Adama entrain de s'essuyer le visage. - J'ai du démaquillant, - Super. Le mien et fini depuis. Et si tu vois le niveaux des jeunes femmes la bas. Je dois investir dans des produits de beauté. - Tu es belle toi, et tu as une belle peau, trouve juste un fond de teint adéquat un rouge à lèvre un crayon noir et un crayon marron. Tu achèteras le reste au fur et à mesure. - Si seulement, arrêtes de me flatter. - Wa racontes ton bosse est gay ? - Saffouroulay. - Fo kay taf ? Pourquoi il veut pas des femmes  - ‍♀️‍♀️ - Mais parles - Doucement. Il à pas l'air gay. Pour lui les femmes ne sont pas aussi efficace que les hommes et crois moi, papa et entrain de lui donner raison. - Non mais il se croit en quel année lui. C'est fini tout ça. Les femmes travaillent plus dure que les hommes. Et elles touchent beaucoup moins. Pour le même boulot en plus - Ho ho calme toi la féministe. - Je suis dégoûtée. - Bon bref. Apparemment les femmes ont beaucoup de projets en dehors du travaille et cela ne va aucunement avec la prestation qu'il attend de ses employés. De ses assistants je précise - Tchuiiiiip. Tu sais seul les hommes peu sûr d'eux et faible ressentent le besoin d'écraser les gens autour d'eux Adama éclata de rire. Elle imaginait son patron faible. No way - Minute jeune fille. Je t'arrêtes tout de suite. Mon patron et trop imbus de lui-même pour ressentir un quelconque besoin de rabaisser, qui que ce soit, non. J'ai pas été clair en fait. À en  croire Amadou c'est un bourreaux du travail. Il bosse, bosse, bosse. Il à pas construit son entreprise en se couchant sur ses lauriers. Loin de là. Les assistants qu'il prend son ses seconds dans tout, raison pour laquelle, auprès de lui, ils sont assez formé pour intégrer un nouveau poste supérieur au bout d'une à deux années. Pour cela il a besoin de pouvoir se reposer sur eux de déléguer parfois. - Et une femme ne peux pas y arriver ? - Il a dit qu'il doit faire venir une réunion d'urgence à 3h du mat en cas de crise. Me faire travailler jusqu'à 22h au besoin. - Ho !!! - J'ai terminé à 20h aujourd'hui, et tu as vu la réaction de papa. - Oui je comprends mieux,  mais dit moi pas de femme ni enfants  qui l'attendent à la maison ? - C'est le premier jour. Comment j'aurais pu le découvrir - Moi je l'aurais découvert. Qui sait, c'est peut-être un beau partie. Même s’il est vieux. À ton âge tu ne peux plus faire la difficile - Je te crois sur paroles. Quoi ??? Comment ça à mon âge. Et qui à dit qu'il était vieux - Ben… tu as parlé d'une multinationale je suppose qu'il faut beaucoup d’expérience pour ça - Justement. La raison de son acharnement. Il est jeune. Il doit sûrement bosser deux fois plus pour rester au top. - Il est jeune. Hum hmm. Physiquement il est comment ? Adama observa une minute de silence. Comment décrire son patron. Waou. Elle allait le dessiner se serai encore mieux. Tout chez cette homme était parfait. En commençant par ses incroyables yeux vert, son beau visage. Sa peau mat, ses cheveux qui avaient l'air si doux au toucher qu'on avait envie d’y glisser les doigts. Sa veste sur mesure qui venait direct d'un grand couturier. Maintenant qu'elle y pense il était assis toute les fois qu’elle la vu. Est qu'il est grand de taille, sûrement sinon ça allait tout gâcher. Un homme un vrai fait le mètre 90. Selon ces critères à elle. - Pourquoi tu souris - Hum… quoi, je souris pas - Est ce que tu aurais le béguin pour ton bosse - Jamais de la vie. Il arrogant, autoritaire, et il à cette façon de regarder. On dirait qu'il jauge tout le monde de haut - N'empêche cette expression sur ton visage. Qu’est ce que tu me caches - Arrêtes tu sais que Ismeu et le seul qui fait battre mon cœur - Ismeu mom yow rek ya ko nob. (Et tu es la seule à être amoureuse de lui.  Adama allait répondre quand sa mère cria depuis le salon. - Madjiguen Kassé. Rère ba ngi kheum. (Le dîner et entrain de brûler)  Salam mes loulous tout ceci n'est encore que la présentation de persos, vous me direz ce que vous en pensez on vote mercii ET N OUBLIEZ PAS DE LIKER
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