Au petit matin, la chambre baignait dans la lumière douce de l’aube qui filtrait à travers les rideaux clairs. Atlas et Meredith étaient encore allongés, enlacés dans la chaleur de leur lit. Le bras d’Atlas entourait Meredith, la rapprochant de lui, tandis qu’elle reposait sa tête contre son épaule, ses cheveux étalés sur l’oreiller. Leurs visages, détendus par le sommeil, reflétaient la satisfaction et le calme d’un réveil partagé. La pièce était silencieuse, à l’exception du souffle régulier de leurs respirations et du chant des oiseaux qui parvenait de l’extérieur. C’était un moment de paix, un instant de complicité où rien d’autre n’existait que cette présence rassurante, le début d’une journée dans leur nouvelle vie ensemble. Meredith bougea légèrement dans son sommeil, crispant son

